Journée encore froide, mais c’est normal pour la saison. Plus ensoleillée que prévu, mais avec une très légère et brève pluie (genre neige fondue) vers 15h-16h pendant notre balade à pied à la découverte de Kassel.
Très bel itinéraire en pleine campagne et forêt, de Korbach à Balhorn, c’est à dire les 32 premiers kilomètres, avec beaucoup de chemins non goudronnés, mais à peu près correctement cyclables, sauf une portion d’un à deux kilomètres où des travaux récents non terminés ont bousillé la piste. Partie un peu galère, il faut marcher à pied en poussant le vélo.
Toute cette première partie, ce sont que montées et descentes parfois fort raides, mais ça passe.
Pause pique-nique à Balhorn, à 11h. J’ai sous mes yeux le vélo de Michel, et je constate de loin que le flanc de sa jante arrière est fortement creusé. Visiblement, elle ne tiendra pas encore 3 semaines.
Coup de chance, nous sommes sur une place publique, juste devant un marchand et réparateur de vélo !
Malheureusement, il n’a pas le modèle de roue arrière disponible, mais donne, à Michel, l’adresse d’un réparateur de vélos à Kassel.
Nous ne sommes qu’à 2O kilomètres de Kassel et la roue devrait tenir jusque là bas.
Par précaution, nous prenons l’itinéraire « Vélo de route » pour rejoindre Kassel, ainsi nous sommes sûr de toujours rouler sur du goudron, plus lisse, moins destructeur du matériel. C’est un peu moins drôle, plus de circulation, cela reste tout à fait supportable.
En nous guidant avec GoogleMaps, nous repérons facilement le réparateur de vélo et pendant que Michel se fait changer sa roue, je rejoins l’hôtel situé plein centre-ville.
Il me rejoint vite et nous partons découvrir la ville à pied.
Kassel, 200 000 habitants, a été détruite à 80 % en octobre 1943, et c’est donc une ville récente. La voiture dispose de grands boulevards à 2 ou 3 voies dans chaque sens, mais aussi un centre-ville totalement piétonnier, très animé, et irrigué sans interruption par plusieurs lignes de tramway.
Ce soir, la météo dit qu’il neige, mais, de la fenêtre, cela ne se voit pas. Cela ne doit être que quelques flocons,
et le temps semble se maintenir au sec pour la semaine prochaine.

L’hôtel de ville de Korbach.

Le pilori de Korbach. Un pilori est un poteau ou un dispositif vertical auquel un condamné est attaché temporairement, à l’aide de cordes ou d’un carcan, pour être vu et raillé par la foule. Les piloris présentent, malgré leur diversité, une caractéristique commune, celle de leur implantation dans un lieu public (place, carrefour, pont, porte de la ville) ancré dans le paysage urbain, choisi pour maximiser la publicité de ce supplice.

Ancienne voie ferrée en quittant Korbach.

Passage à proximité de Freienhagen.

Église de Balhorn.

Passage dans le village de Hoof.

La place du Roi à Kassel, Königsplatz. Photo prise de la fenêtre de notre chambre. Le hasard fait que Michel revient juste du réparateur de vélo qui a changé sa roue arrière..

L’hôtel de ville de Kassel.

Le musée d’Histoire.

Les frères Whilhelm et Jacob Grimm. De 1805 à 1830, les frères Grimm habitent à Cassel, y écrivant la plupart de leurs contes. Ils y travaillèrent comme bibliothécaires de la cour.

Le GrimmWelt – Le Monde de Grimm

La Nouvelle Galerie. C’est un musée d’exposition d’art du XIXe siècle, et plus particulièrement de peintures.

Au fond, l’Orangerie, au premier-plan le monument à la mémoire des victimes des deux guerres mondiales, le Mahnmal Karlsaue.

Le Fridericianum, musée de Kassel. Il accueille continuellement des expositions temporaires d’art contemporain.
Depuis 1955, le festival d’art quinquennal documenta est centré sur le site.
La documenta est une exposition quinquennale d’art moderne et contemporain. Chaque édition dure 100 jours. La quinzième édition a lieu en 2022

Le clocher de l’église Sainte Elisabeth.

Le museum d’histoire naturelle.

Non identifié.

L’église Martin.

L’église Martin.

L’église Martin.

L’église Martin.

L’église Martin.

L’église Martin.

L’église Martin.
Pratiquement, il faut faire une mini vérif de son vélo tous les jours à l’arrivée de l’étape.
Belle réaction Pierre!