Costa-Brava – jour 10 – Olot – Perpignan – 123 km

Hier soir s’est terminé cet excellent séjour sur la Costa Brava après une étape de 123 kilomètres avec le passage d’un col pyrénéen à 1513 mètres.

1160 mètres de dénivelé en 43 kilomètres (comme on aurait calculé autrefois avec les cartes Michelin, du point le plus bas 354 mètres au point le plus haut 1913 mètres), soit 2,7 % de dénivelé. Pas très méchant.

Une montée à peu près continue avec le passage d’un premier col, le Capsacosta à 820 mètres d’altitude (mais on n’est pas vraiment en haut, on est à 900 mètres d’altitude un peu plus loin !).

Je fais ma première pause casse-croûte à Camprodon, 30 km après le départ et 3 heures de route. Mon petit-déjeuner a été moins riche et moins copieux que ceux de Lloret de Mar.

La deuxième partie de la montée se passe bien aussi. Tous les kilomètres, il y a un panneau indiquant le reste de route à parcourir et le pourcentage moyen restant, information pas très pertinente. Il vaudrait mieux savoir le pourcentage moyen du kilomètre suivant. Certains sont plus durs que d’autres. Sur la fin, le pourcentage moyen est plutôt 5%, avec des portions à 10%.

Parti à 8h, après 48 kilomètres, je suis au sommet du col d’Arès peu avant 13h, ce qui correspond à mon tableau de marche.

Toute la route s’est faite sur une route d’excellente qualité avec une certaine circulation, mais supportable, sauf 11 kilomètres avec le col de Capsacosta, où la circulation était nulle, pas une voiture, montée super agréable, les voitures prenant un autre itinéraire avec un long tunnel interdit aux vélos.

Comme le montre les photos, temps magnifique toute la journée.

Dès l’entrée en France, la qualité de la route change … et il n’y a plus du tout de circulation.

Dans la montée du col, j’avais croisé ou était doublé par de très nombreux cyclistes espagnols. Côté français, jusqu’à Perpignan, je ne verrai pas un seul cycliste, sauf en arrivant sur Prats de Mollo où je croise un groupe de 6 cyclistes qui s’apprête à remonter le col d’Arès par le versant français, mais ce sont des Espagnols qui m’avaient doublé dans la montée et qui rentrent chez eux.

Mais il est 13 heures passés et dans la vallée du Tech, il fait très chaud. Peut-être que les cyclistes français ont roulé le matin et sont maintenant tranquillement en train de prendre l’apéro au frais.

La descente du Tech est belle, mais il fait très chaud et j’ai un bon vent de face, vent chaud.

Je fais une deuxième pause casse-croûte à Arles sur Tech, il me reste 50 kilomètres jusqu’à Perpignan.

Passage à Amélie les Bains, puis la vallée s’élargit, le vent est plus frais, rafraîchissant, même s’il est toujours défavorable.

Je suis sur une grande route rectiligne, mais j’ai une bonne bande cyclable et la circulation n’est pas très importante. La pénétration dans Perpignan n’est pas très secure pour les vélos, aucune proposition ou possibilité évidente d’alternative. Heureusement, on est dimanche, et ce ne sont pas encore les retours de week-end par ce côté là !

J’arrive vers 17h30 après cette longue et dernière étape. Aujourd’hui journée tranquille à Perpignan avant le retour sur Nantes, en train, demain.

Ainsi se termine ce voyage sur la Costa Brava :

  • 10 jours
  • 950 kilomètres
  • 11 300 mètres de dénivelés positifs cumulés (calcul Brouter, à peu près équivalent à OpenRunner).

Profil du jour : 1160 mètres de dénivelé en 43 kilomètres (comme on aurait calculé autrefois avec les cartes Michelin, du point le plus bas 354 mètres au point le plus haut 1913 mètres), soit 2,7 % de dénivelé

L’église d’Olot ce matin au départ.

En descendant d’Olot, vue vers les Pyrénées.

Paysage.

San Salvador Ca l’Escola.

Entrée dans le parc naturel de la zone volcanique de la Garrotxa.

Sommet du premier col de la journée, le Capsacosta à 870 mètres d’altitude.

Paysage au sommet du col de Capsacosta.

Paysage dans la descente du col de Capsacosta.

Saint Pau de Seguries.

Chevaux, avec cloches tintinnabulantes, à Saint Pau de Seguries.

Paysage à Saint Pau de Seguries.

Début de la montée au col d’Arès à partir de Camprodon. 17,9 km de montée, moyenne 3,2 %.

Début de la montée au col d’Arès à partir de Camprodon. 17,9 km de montée, moyenne 3,2 %.

Église de Mollo.

Église de Mollo.

Le village de Mollo vu d’au-dessus.

Paysage dans la montée du col d’Arès.

Sommet du col d’Arès, 1513 mètres.

Du sommet du col d’Arès, vue vers Molllo, le côté espagnol.

Du sommet du col d’Arès, vue vers le massif du Canigou, le côté français.

Du sommet du col d’Arès, vue vers le massif du Canigou, le côté français.

Arivvée sur Prats de Mollo.

Prats de Mollo.

Descente de la vallée du Tech.

Ponts sur le Tech à Pont de Reynès.

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Costa-Brava – jour 9 – Lloret de Mar – Olot – 75 km

Très belle journée aujourd’hui, la température est montée à 30 degrés à Olot. Quand j’y suis arrivé vers 14h30, il ne faisait que 26 degrés.

Départ vers 8h30 ce matin après un dernier et toujours excellent et très copieux petit-déjeuner, et les adieux au groupe. Certains rentrent directement pour la Vendée, le Maine et Loire, La Chapelle sur Erdre, et sont bien arrivés d’autres y vont plus doucement profitant d’être dans le Sud, sur d’autres plages de la Costa Brava, ou dans le Lubéron.

Merci à tous pour l’excellente ambiance de ce séjour, particulièrement à Jean-Claude son organisateur et animateur, et à Philippe qui a transporté mon sac de vêtements complémentaires à ce que je transporte sur mon vélo.

Moi je prends la direction d’Olot, empruntant au départ, sur les 40 premiers kilomètres, le même itinéraire que mes copains cyclo-sportifs hier.

5 kilomètres de montée un peu raide pour rejoindre le tunnel qui permet ensuite de basculer vers Vidreres.

Puis ce sera le passage à Sils, et à Riudarenes, où je suis déjà passé plusieurs fois sans prendre le temps de m’arrêter, mais aujourd’hui, l’étape est courte et je prends mon temps.

J’arrive ensuite à Sant Coloma de Farners que j’ai visité jeudi, et je continue jusqu’à Angles, route que j’ai déjà parcouru hier dans l’autre sens.

12 kilomètres que j’avais trouvé un peu pénible hier, même sensation aujourd’hui dans l’autre sens. De longues montées-descentes pas très douces sur une route large et assez rectiligne et avec une certaine circulation, pas gênante en terme de sécurité, je suis dans ma bande, mais circulation bruyante et rapide. J’ai bien pensé à mes copains, particulièrement Philippe qui n’aime pas les côtes, qui ont parcouru ces 12 kilomètres dans les deux sens hier. Il est vrai qu’en groupe, et ils étaient nombreux, une quarantaine peut-être, il y a un entraînement mutuel.

Pause casse-croûte à Amer sur la place centrale en face de l’affiche invitant Carles Puigdemont à ne pas capituler.

Il commence à faire bien chaud, montée vers les Plannes d’Hostoles.

Découverte du village de San Felui de Pallerols, un peu à l’écart de la route, je ne suis pas pressé.

Puis fin de la montée du jour, un col à 578 mètres avant de redescendre sur Olot.

Pas de difficulté particulière aujourd’hui, mais cette nuit, j’avais eu une petite crampe à la jambe après une heure de sommeil, soignée avec massage et exercice et n’ayant pas récidivé (ouf !),

et un peu de mal aux jambes ce matin, et dans certaines reprises dans la journée.

Bonne sieste en arrivant, et je termine très bien cette journée de récupération.

Demain c’est le retour en France, mais toujours en Catalogne !

La gare de Sils.

Riudarenes.

Riudarenes.

Riudarenes.

Indication routière de la Cellera de Ter. Peut-être le point où les copains du groupe ont fait hier leur demi-tour avant de rentrer à Lloret de Mar.

La vallée du Ter, vue vers l’amont.

La vallée du Ter, vue vers l’aval.

La place centrale d’Amer pavoisée avec le drapeau catalan à connotation politique (L’estelada, drapeau indépendantiste catalan. L’étoile blanche sur fond bleu est empruntée au drapeau cubain, des volontaires catalans ayant participé aux révoltes de Cuba contre l’Espagne).

Place du village d’Amer. Invitation pour Carles Puigdemont à ne pas capituler.

Fresque revendiquant le retour des exilés politiques (suite à la tentative d’indépendance de la Catalogne en 2017).

Amer.

En montant vers les Planes d’Hostoles.

En montant vers les Planes d’Hostoles.

En montant vers les Planes d’Hostoles.

San Felui de Pallerols.

San Felui de Pallerols.

San Felui de Pallerols.

San Felui de Pallerols.

La place centrale de San Felui de Pallerols.

San Felui de Pallerols.

San Felui de Pallerols. Affiché sur ce qui doit être l’hôtel de ville, Année 2024, 17 morts à la suite de violences sexistes

Le tunnel permettant de franchir le col, altitude 578 mètres.

La descente vers Olot après le passage du col à 578 mètres.

L’arrivée sur Olot.

Le centre de la vieille ville d’Olot.

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Costa-Brava – jour 8 – Boucle Lloret de Mar – 160 km

Boucle Lloret de Mar – Tossa de Mar – Sant Grau de l’Ardenya – Llagostera – Cassa de la Selva – Aéroport de Girone – Aiguaviva – Anglès – Santa Coloma de Farners – Sant Hilari Sacalm – Arbucies – Hostalric – Blanes – Lloret de Mar

Profil de la journée : essentiellement 2 cols : 473 mètres et 820 mètres – Selon l’application utilisée, le dénivelé positif est évalué à 2282 mètres par Brouter, 2933 mètres par LocusMap, 3578 mètres par MyGpsFiles

Photos sans commentaires aujourd’hui.

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Costa-Brava – jour 7 – Boucle Lloret de Mar – Sant Hilari Sacalm – 100 km

Journée magnifique aujourd’hui.

Frais le matin, mais je termine la journée en T-shirt.

Mon objectif de la journée est de monter jusqu’à l’altitude de 820 mètres.

Je pars par la même route que dimanche mation avec le groupe officiel « détente ».

Route le long de la côte (mais on ne la voit pas) jusqu’à Blanes, puis on bifurque vers l’intérieur des terres jusqu’à Hostalric où le groupe avait sa pause ravitaillement dimanche.

Mais au lieu de revenir directement sur Lloret de Mar via Sils et Vidreres,

je poursuis vers l’intérieur des terres en traversant Hostalric que j’avais visité au retour de ma sortie de lundi,

et j’arrive à Arbucies, malheureusement sur une route avec une certaine circulation, pas trop, mais route un peu large.

Je continue jusqu’à Sant Hilari Sacalm, le point culminant de ma boucle, toujours sur cette route un peu large. Dommage !

Je casse la croûte sur la place de cette petite ville, plutôt village, mais bien animée, surtout à l’heure de sortie d’école qui doit être vers 12h30.

Je repars ensuite vers Santa Coloma de Farners par une petite route très tranquille, belle descente.

Visite de Santa Coloma de Farners et retour à Lloret de Mar via Sils et Vidreres, et la route habituelle avec son tunnel jusqu’à Lloret de Mar. Difficile de trouver un autre itinéraire pour rentrer, les routes sont rares et certaines strictement réservées aux automobiles.

Carte de l’étape du jour. Lloret de Mar, Blanes, Hostalric, Arbucies, Sant Hillari Sacalm, Santa Coloma de Farners, Sils, Vidreres, Lloret de Mar.

Profil de l’étape du jour. Point culminant altitude 820 mètres.

La forteresse d’Hostalric et le ruban jaune, expression de la volonté indépendantiste de la Catalogne.

En Catalogne, nombreuses sont les communes qui affichent leur volontarisme dans la lutte contre les agressions sexistes.

Hostalric.

Hostalric.

Hostalric.

Décor d’un restaurant sur la route entre Hostalric et Arbucies.

Décor d’un restaurant sur la route entre Hostalric et Arbucies.

En s’approchant d’Arbucies, montagnes et champs de colza.

La Riera d’Arbucies, vue vers l’aval.

La Riera d’Arbucies, vue vers l’amont.

Le château de Montsoriu, je n’y monterai pas, mais je l’aurai lontemps à vue, dans la montée à Sant Hilari Sacalm, point culminant de la journée, et même en redescendant.

Arbucies.

Arbucies.

Vue dans la montée entre Arbucies et Sant Hilari Sacalm.

Échangeur dans la montée entre Arbucies et Sant Hilari Sacalm.

Vue dans la montée entre Arbucies et Sant Hilari Sacalm.

Fontaine au sommet en entrant dans Sant Hilari Sacalm.

Monument mégalithique daté entre le néolithique et l’âge de bronze (de -2500 à -1800 ans avant Jésus-Christ)

Monument place Joseph Moragues à Sant Hillari Sacalm. Je suppose, n’ayant pas trouvé explicitement le sens de ce monument, que cela symbolise la tête de Joseph Moragues, mise dans une cage suspendue à une porte de la muraille de Barcelone. Josep Moragues i Mas, né en 1669 à Sant Hilari Sacalm et mort en 1715 à Barcelone est un général catalan austrophile qui lutta aux côtés de Charles de Habsbourg lors de la Guerre de Succession d’Espagne, souvent considéré comme un défenseur et martyr de la Catalogne dans sa lutte contre l’armée française de Philippe d’Anjou, futur Philippe V d’Espagne. A la fin de la guerre, il fut torturé et exécuté le 27 mai 1715. Auparavant, les honneurs militaires lui sont retirés, et une fois déchaussé et habillé avec une tunique de pénitence, il est traîné par un cheval dans les rues de Barcelone. Puis, il est égorgé, dépecé, et sa tête est mise dans une cage suspendue à une porte de la muraille de Barcelone, pour prévenir d’éventuels intéressés du destin qui attend ceux qui veulent se soulever.

Lieu de ma pause casse-croûte à Sant Hilari Sacalm.

Église de Sant Hilari Sacalm.

Église de Sant Hilari Sacalm.

Vieille maison (1692) de Sant Hilari Sacalm.

Le château de Roca à Sant Hilari Sacalm.

Dans la descente de Sant Hilari Sacalm.

Viaduc de l’autoroute C25.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Peinture représentant Santa Coloma de Farners.

Sainte Marie de Montserrat, appelée la « Moreneta », réplique de l’originale vénérée à la basilique de Montserrat. (même réplique que celle vue hier à Tossa de Mar).

Rond-point d’entrée dans Santa Coloma de Farners en venant de Lloret de Mar.

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Costa-Brava – jour 6 – Lloret de Mar – Tossa de Mar – 24 km

Journée dite « de repos ».

Ce matin,

visite de l’église Sant Roma dans un vieux quartier de Lloret de Mar,

balade sur le remblai de Lloret de Mar,

et visite du Musée de la Mer de Lloret de Mar

Petit musée qui se visite en moins d’une heure (entrée 4 €) avec un audioguide en français à écouter sur son smartphone, très intéressant et facile à écouter.

On y apprend qu’autrefois le village était très pauvre.

Pour survivre, les habitants construisait des bateaux qui leur permettait de descendre la côte jusqu’en bas pour passer dans l’Atlantique et remonter ensuite jusqu’à Cadix pour vendre leur production agricole locale (de Lloret) et l’échanger avec des marchandises venues d’Amérique.

Les bateaux ramenaient alors ces marchandises jusqu’à Alicante où ils les revendaient, et rentrer ensuite à Lloret plus riches qu’à leur départ. Voyage long et difficile.

En 1778, il y eut la libéralisation du marché des produits venus d’Amérique. Auparavant, seuls les bateaux venant de la ville de Cadix avait le droit de commercer avec les Amériques, à partir de 1778, tout le monde eut ce droit.

Ce fut l’âge d’or de Lloret. Les chantiers navals se multiplièrent à Lloret, des gros bateaux furents construit à même le sable sur la plage, et le commerce avec les Amériques se développa intensément. Ce fut l’histoire des Indianos, pauvres habitants qui partirent en Amérique et en revinrent colons riches.

Mais les bateaux à vapeur firent disparaître la navigation à la voile et les chantiers navals n’était pas adapté à la construction de bataeaux à vapeur. La ville de Lloret déclina,

jusqu’à ce que l’industrie du tourisme vienne réveiller la ville.

L’après-midi, route à vélo jusqu’à Tossa de Mar, 12 kilomètres, mais avec une bonne côte de 200 mètres de dénivelé,

et visite de la vieille ville et de sa forteresse.

Commentaires des photos un peu baclés, les journées sont trop courtes …

Il y aurait pourtant beaucoup de choses à raconter.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

Sainte Élisabeth et Saint Jean.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

Sainte Christine.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’Economie (?).

Cabestan pour remonter la flottille de 17 embarcations de 8 à 10 mètres de long, opérationnel de 1934 à 1975.

Hommage à la danse traditionnelle catalane, Sardena ! (La Sardane).

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Vue de la terrasse du musée de la Mer de Lloret de Mar.

Vue de la terrasse du musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

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Costa-Brava – jour 5 – Vélo « master adapté » – 136 km – 2076 mètres de dénivelé positif

Départ 8h – Retour 18h.

Très bel itinéraire, très belle étape.

Initialement prévue 123 km, mais ayant subi une très grosse averse de durée une heure pendant laquelle il était à peu près impossible de regarder l’écran tactile de mon smartphone GPS, c’est avec 7 km de retard que je me suis aperçu que j’avais oublié de bifurquer. Pas grave … demi-tour sur 7 km, moins un petit raccourci, soit un total de 136 km. Peu d’influence de l’erreur sur le dénivelé, j’étais dans une plaine à peu près plate. 2076 mètres de dénivelé.

Profil du jour – 136 kilomètres, 2076 mètres de dénivelé positif cumulés, 5 sommets sans compter toutes les montées-descentes sur la corniche entre Tossa de Mar et San Feliu.

L’itinéraire officiel « master » prévoyait de prendre la route en corniche le long de la mer vers le nord jusqu’à Calonge avant de bifurquer dans l’intérieur des terres jusqu’à La Bisbal d’Emporda, via le col de la Ganga à 211 mètres,

mais prévoyait le retour par le même itinéraire. Dommage !

J’ai préféré boucler. A partir de La Bisbal d’Emporda, j’ai repris la route que j’avais faite samedi en arrivant de Figueres, repris le joli col de Santa Pellaia (360 mètres), redescendu sur Cassa de la Selva (et c’est là que j’ai oublié de bifurquer).

Après retour sur mon erreur, passage à Lagostera, puis le Collet de Can Noguerea à 245 mètres avant de redescendre sur Tossa de Mar où j’étais passé à l’aller. Il me restait 12 kilomètre pour rejoindre Lloret de Mar avec une bonne côte (170 mètres de dénivelé) pour finir.

La boucle du jour : Tossa de Mar, San Feliu Guixols, Platja d’Aro, La Bisbal d’Emporda, Cassa la Selva, Lagostera, Tossa de Mar.

En rouge, mon étape de Figueres à Lloret de Mar. En bleu, mon étape d’aujourd’hui avec la partie commune de La Bisbal d’Emporda à Cassa de la Selva.

Je fais une première pause casse-croûte à La Bisbal d’Emporda, devant le château, comme samedi lors de mon étape Figueres – Lloret de Mar.

Comme je suis bien dans mon planning horaire, je prends le temps de visiter le village de Cruilles et le village de Sant Sadurni de l’Heura, légèrement à l’écart de la route.

Deuxième pause casse-croûte à Lagostera après le gros orage avec éclairs et tonnerre dans la montée du col de Santa Pellaïa et la descente sur Cassa de la Selva où je pensais m’arrêter sous un abri-bus pour regarder ma route, mais les abri-bus sont rares et fort occupées sous l’orage …

Forme excellente à l’arrivée. On verra demain matin …

Ce matin, très bonne récupération, mais cela fait six jours que je roule sans interruption et il me semble plus raisonnable de faire une journée de repos, ce qui m’a laissé du temps pour compléter cet article avant d’aller faire un tour à pied.

Vue de la corniche entre Lloret et Tossa de Mar.

Vue de la corniche entre Lloret et Tossa de Mar.

Vue vers l’intérieur des terres, de la corniche entre Lloret et Tossa de Mar.

Rond-point à l’entrée de Tossa de Mar.

Tossa de Mar, et en particiler, l’enceinte de la vieille ville, vue de la corniche en poursuivant vers San Feliu.

La route de la corniche entre Tossa de Mar et San Feliu de Guixols.

Habitat touristique au niveau de la Cala Pola (une calanque) à Tossa de Mar.

Habitat touristique (camping ?) au niveau de la Cala Pola (une calanque) à Tossa de Mar.

La route de la corniche entre Tossa de Mar et San Feliu de Guixols.

La route de la corniche entre Tossa de Mar et San Feliu de Guixols.

La route de la corniche entre Tossa de Mar et San Feliu de Guixols.

Le port de San Feliu Guixols.

Le port de San Feliu Guixols.

Sur un rond-point à Platja d’Aro.

Vue côté mer au sommet du col de la Ganga (211 mètres) entre Platja d’Aro et La Bisbal d’Emporda.

Borne indiquant le sommet du col de la Ganga (211 mètres) entre Platja d’Aro et La Bisbal d’Emporda, Forallac est le nom de la commune dans laquelle on entre.

Petit château (ferme ?) avant d’arriver à La Bisbal d’Emporda.

Château de la Bisbal d’Emporda.

Château de la Bisbal d’Emporda.

Le château de la Bisbal d’Emporda (photo prise samedi, lors de mon voyage d’arrivée de Figueres à Lloret de Mar).

Village de Cruilles.

Village de Cruilles.

Village de Cruilles.

Village de Cruilles. En quittant de Cruilles, je pars par la mauvaise route, je m’en aperçois très vite et revient sur mes pas, découvrant une nouvelle vue du village.

Sant Sadurni de l’Heura, photo prise samedi lors de mon voyage d’arrivée de Figueres à Lloret de Mar, mais je n’étais pas entré dans le village.

San Sadurni de l’Heura.

San Sadurni de l’Heura.

San Sadurni de l’Heura.

Dans la montée du col de Santa Pellaïa. Pause photo, j’en profite pour préparer mon équipement de pluie, j’enfile les couvre-chaussures et met ma cape de pluie à portée de main. 5 minutes après, c’est une pluie torrentielle qui commence et va durer une heure.

Santa Pellaïa sous la pluie.

Ruisseau débordant sur la route.

Ruisseau débordant sur la route.

Après la pluie et l’erreur de parcours à Cassa de la Selva, arrivée à Lagostera.

Lagostera.

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Costa-Brava – jour 4 – Vélo « master » – 97 km

Comme prévu, ce matin petit-dejeuner à l’ouverture 7h30 et départ à vélo à 8h en solo.

Je serai rejoint par le groupe de tête des master à 10h30 environ dans les deux derniers lacets du col de Collsacreu (361 mètres), col régulier, sans difficulté particulière.

Ce groupe d’une vingtaine de coureurs me dépasse à toute allure, très concentré sur leur allure. La queue de ce petit peloton est plus souriante, mais pas un Chapelain. Dès le départ, un feu rouge a scindé le peloton et la tête n’a pas attendu le reste.

Au sommet du col, les coureurs ont une pause ravitaillement, je les redépasse et poursuit directement dans la descente, très tranquillement.

Peu après Vallgorgina, ils me redépassent, encore plus vite.

Je pensais voir arriver mes copains peu après, mais je ne les verrai pas. M’étant détourné de l’itinéraire pour aller visiter la forteresse de Hostalric, je pense que c’est à ce moment là qu’ils ont du me doubler.

Je m’adapte aux itinéraires, les routes sont rares et sur certaines portions très fréquentées, mais on est toujours en sécurité sur une bande cyclable, un peu moins quand il y a des travaux, mais les Espagnols respectent bien les cyclistes.

La fin de parcours est la même qu’hier, ce qui me permet de prendre des photos que je n’avais pas pu prendre hier, respectant la marche du groupe.

A l’apéro, je montre la photo des silos de la société Esporc, où nous sommes passés deux fois, hier et aujourd’hui, certains se rappellent de cet élément caractéristique du paysage, mais d’autres, pas du tout. En groupe, il faut être concentré sur le groupe, la roue de celui qui précède pour être prêt à réagir à tout incident, pas trop le temps de regarder le paysage.

Je suis dans ma chambre à 14h30.

A 7 kilomètres de Lloret, la traversée du fleuve Tordera, 55 kilomètres de long. Bien à sec, juste avant de se jeter dans la mer.

Le remblai de Malgrat de Mar.

La plage à Santa Susanna.

La plage à Santa Susanna.

Maraîchage à Pineda de Mar.

Bord de côte à Calella.

Arrivée sur Sant Pol de Mar.

Sant Pol de Mar.

Bord de côte à Sant Pol de Mar. La voie ferrée est sous la route, presque au ras des flots.

Arenys de Mar.

Dans la descente du col de Collsacreu (365 mètres).

Vallgorgina.

Le chemin pour monter à la forteresse de Hostalric.

La forteresse de Hostalric.

La forteresse de Hostalric.

Mon point casse-croûte à la forteresse de Hostalric.

Vue de mon point casse-croûte, en bas une école, les enfants jouent dans la cour et je les entends.

Le village de Hostalric vu de la forteresse.

Vue de la forteresse.

Vue de la forteresse.

L’entrée dans la vieille ville de Hostalric.

Descente dans la vieille ville de Hostalric.

L’hôtel de ville d’Hostalric.

Mannequins (à préciser, probablement les costumes locaux autrefois) dans l’enceinte de l’hôtel de ville de Hostalric.

La rivière Santa Coloma, affluent de la Tordera (elle n’est pas tout à fait à sec, mais doit s’infiltrer dans le sol avant d’arriver à la mer).

Ce doit être une usine de traitement de céréales pour augmenter la teneur en protéines de l’alimentation animale d’hiver … Société Esporc. Le mur des silos est recouvert de panneaux photovoltaïques.

Tunnel au sommet du petit col qui permet de descendre à Lloret de Mar. C’est la troisième fois que je prends ce col dans le même sens. Cela vaut bien une photo.

Je termine ma journée en me rendant à pied, après ma sieste, au cimetière moderniste des Indianos, à Lloret de Mar.

C’est l’un des principaux cimetières indianos de Catalogne et l’un des plus représentatifs de tout le territoire espagnol. À Lloret de Mar, l’arrivée des Indianos, ces émigrants partis faire fortune en Amérique, définit l’essence du cimetière. Conçu par Joaquim Artau i Fàbregas, il comporte une allée principale le long de laquelle se succèdent toute une série de panthéons et de caveaux rutilants marqués par un modernisme extrêmement évocateur. Bonaventura Conill i Montobbio, élève de Gaudí, est un des architectes qui y a réalisé le plus d’œuvres, comme les croix élevées, les dragons qui surveillent l’obscurité et la mort, ainsi que des anges qui pleurent la mort comme le commun des mortels.

Forts de leurs bonnes relations, les Indianos purent compter sur les services d’architectes comme Puig i Cadafalch, qui y laissa des créations telles que la statue de la femme, en marbre pâle, symbolisant la mort, reposant entourée de roses rouges, créées par Ismael Smith i Marí. Au fond de l’allée centrale se trouve la chapelle, entourée des caveaux de deuxième rang. Des rues entières de panthéons mitoyens, pratiquement tous identiques, arborés de décorations, ornés de fleurs fraîches ou non, arpentent le cimetière.

Plus on s’éloigne du centre du cimetière, plus les tombes sont modestes, reflétant la hiérarchisation de la vie sociale (voulue par les concepteurs du cimetière, construit entre 1896 et 1901).

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le vol de la Liberté. Statue dans le parc de l’Aguila à Lloret de Mar, traversé en revenant du cimetière.

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Costa-Brava – jour 3 – Vélo « détente » – 54 km – Marche 7 km

Contrairement à ce que j’avais prévu (faire le parcours vélo « master » – 97 kilomètres – 1436 mètres de dénivelé), j’ai fait comme tout le groupe du club, le parcours vélo « détente » – 54 kilomètres – 564 mètres de dénivelé).

Nous devions être environ 70 cyclistes au départ. J’ai très vite été distancé par le groupe de tête (dont le groupe ACC), normal avec mon vélo lourd, mais à la première pause, je n’étais pas le dernier et il y en avait un certain nombre derrière.

Reprise ! Cela commence avec un petit raidillon, et surprise ! C’est un peu n’importe quoi ! Des cyclos se laissent surprendre, n’arrive pas à passer la bosse et cela se met à zigzaguer, voire à déchausser.

J’en double quelques-uns qui me rattraperont bien vite ensuite.

Finalement je roule tout seul, doublé de temps en temps par un retardataire qui revient sur moi.

Au bout d’une dizaine de kilomètres, sur un rond-point, petite pagaïe, une voiture encadrante ne nous indique pas la route. Heureusement, j’ai mon GPS.

Mais quelques minutes plus tard, nous sommes rattrapés par ce que je pense être le groupe de tête avec une partie du groupe ACC. Ils ont été induits en erreur par la moto ouvreuse, ont fait quelques kilomètres dans une mauvaise direction, ont dû faire demi-tour et viennent de nous rattraper.

Deuxième pause.

Il n’y a plus personne derrière. Bizarre !

En fait il s’avère que la deuxième partie du groupe de tête a bien continué dans la bonne direction et arriveront à l’hôtel avant notre groupe. Je dis notre groupe, mais en réalité, je suis loin derrière.

Mais j’ai l’impression qu’il doit y avoir encore plus loin derrière moi, un groupe de queue.

Parti à 9h30, nous étions à déjeuner à 13h après une bonne douche.

Petite sieste, puis, pour moi, 2 heures de balade le long de la côte, d’abord vers le sud en passant près du château médiéval de Sant Joan, puis retour au centre-ville par de petites rues, pour longer ensuite la plage de Lloret de Mar vers le nord et suivre la côte sous le château de Lloret et revenir par des petites rues.

Pas très long, mais le chemin côtier est redoutable, beaucoup d’escaliers à monter et à descendre avec des marches tout à fait irrégulières et souvent très hautes, souvent avec une rampe pour s’aider, pas toujours.

Vers 15h le vent soufflait fort en bord de mer, vers 17h, c’était beaucoup plus calme.

A vélo, le matin, le temps était plutôt couvert, mais pas froid, à l’arrivée, c’était encore brumeux, il me semble, mais avec une belle luminosité.

Demain, le groupe ACC va probablement majoritairement opter pour le parcours « master ». Moi aussi, mais je prévois de partir aussitôt mon petit-déjeuner à 7h30, alors que le départ officiel est 9h. Je me ferai vite rattraper, doubler, et je finirai tranquille. J’emmène mon casse-croûte, difficile pour moi d’être de retour avant la fermeture du self.

Le groupe ACC au départ ce matin. De gauche à droite : Pierre, Sandra, Philippe, Jacques, Eric, Patrick, Jean-Claude, Maryline, Bernard.

La plage de Lloret de Mar.

Le débouché de la rivière de Lloret. Elle passe en souterrain sous la grande avenue du centre et débouche sur la plage en étant canalisée et protégée des assauts de la mer (pour éviter probablement que, par fort vent ou tempête, la mer ne remonte dans le centre-ville.

Le chemin côtier de la plage de Lloret à la plage de Fenals.

La statue de la Dona Marina (1966), sculpture en bronze d’Ernest Maragall, qui représente la souffrances des femmes attendant leurs maris pêcheurs.

No comment !

Le chemin côtier de la plage de Lloret à la plage de Fenals.

Vue vers le nord depuis le chemin côtier de la plage de Lloret à la plage de Fenals.

Vue du chemin côtier de la plage de Lloret à la plage de Fenals.

Le château médiéval de Sant Joan (XIe siècle), situé au sommet d’une colline, entre les plages de Lloret et de Fenals. Il servit principalement de tour de guet pour prévenir les éventuelles attaques maritimes.

Le chemin côtier de la plage de Lloret à la plage de Fenals.

Vue sur la plage de Fenals.

Pêche en bord de mer.

Et ça mord ! Pauvre poisson ! Une dorade ?

Au retour, descente dans ce qui doit être le vieux village de Lloret de Mar.

Sur le remblai de la plage de Lloret de Mar, un monument en l’honneur des champions automobiles du rallye de Catalogne.

Le palmarès des champions automobiles du rallye de Catalogne de 1957 à 1990.

A partir de 1990, les champions sont honorés par une plaque individuelle avec l’empreinte de leur main.

Bateau-promenade déposant des touristes sur la plage.

La remontée de la passerelle avec de bonnes vagues poussant le bateau sur la plage.

A quoi servent ces embryons de passerelle ? Obsolètes depuis le renfort de la digue avec des gros rochers, ou mises en place en été ?

Défoulement d’adolescents sur la plage.

Le château de Lloret de Mar, à l’extrémité nord de la plage.

Le château de Lloret de Mar, à l’extrémité nord de la plage.

La plage de Lloret de Mar vue de son extrémité nord.

Le chemin côtier au nord du château, après avoir contourné la pointe.

Vue du chemin côtier au nord du château, après avoir contourné la pointe.

Un poumon vert derrière le château, propriété (privée ? publique ?) fermée à la promenade. Espérons qu’ils sauront préserver ce parc de l’urbanisation.

Citronnier.

La Casa de la Vila (l’hôtel de ville) de Lloret de Mar.

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Costa-Brava – jour 2 – Figueres – Lloret del Mar – 104 km

Longue étape aujourd’hui, mais pas très difficile.

Température un peu fraîche, temps couvert le matin, mais à partir de midi, ça chauffe bien, agréable, pas d’excès.

Je commence la journée en montant à la forteresse de Figueres, découverte en rédigeant mon article hier. Malheureusement elle n’ouvre qu’à 10h, voire 10h30 en hiver. Mais de toute façon, j’ai de la route devant moi.

Petite route sur les 32 premiers kilomètres avec des petits villages, Vilamalla, Garrigas, Vilaür, Colomers,

Puis une route plus importante sur les 30 kilomètres suivants, et j’arrive à La Bisbal d’Emporda, grande ville, vieux centre-ville agréable à parcourir.

Ensuite c’est une route assez tranquille au départ, très tranquille ensuite, qui me conduit au sommet de mon col de la journée, altitude 373 mètres, un peu plus haut qu’hier, mais la montée se fait tranquillement, pas de mur à escalader.

Belle descente jusqu’à Cassa de la Selva.

Il me reste alors 36 kilomètres à parcourir, pas très intéressant, je longe une autoroute, ou un voie express, mais je suis sur la voie dite « de service », route normale à double sens, bande cyclable, revêtement impeccable et pas une voiture, le « rêve », mais on s’ennuie un peu et pas de beaux paysagex.

A Vidreres, je fais une pause un peu plus longue avec un Zoom familial.

Puis c’est une route simple avec de la circulation, avec un petit col et un tunnel avant de redescendre sur Lloret del Mar.

Partir à 8h00, j’arrive à 17h.

Et je retrouve mes camarades de l’ACC.

Entrée du Castell de Sant Ferran, forteresse militaire construite au XVIIIe siècle, la plus grande forteresse d’Europe.

Le Castell de Sant Ferran, forteresse militaire construite au XVIIIe siècle, la plus grande forteresse d’Europe.

Église de Vilamalla.

Ferme « fortifiée » (porcherie) à Garrigas. De nombreux lions montent la garde.

Gué à Arenys d’Emporda sur le Riu Fluvia (fleuve côtier de 84 km de long)

Village de Vilaür.

Village de Vilaür.

Village de Vilaür.

Village de Camallera.

Village de Camallera.

Village de Colomers.

Village d’Ultramort.

Le fleuve côtier Daro (35 km de long à La Bisbal d’Emporda.

La Bisbal d’Emporda.

La Bisbal d’Emporda.

La Bisbal d’Emporda.

La Bisbal d’Emporda.

Sant Sadurni de l’Heura.

Le sommet du col de Santa Pellaia (altitude 373 mètres).

Santa Pellaia (altitude 373 mètres).

Santa Pellaia (l’autre face).

Vidreres.

Route en approchant de Lloret del Mar. Toujours la bonne bande cyclable ! La ligne bleue matérialise, je pense, la trace de la fibre optique enterrée. Il faut noter que la qualité du rebouchage, il est fait au ciment, et il est totalement lisse, n’altérant pas du tout la bande cyclable. On aimerait que ce soit pareil en France ! Et la circulation est très apaisée ! Pas de fous furieux. Tout se fait en douceur, doucement !

Le pot d’accueil à Lloret del Mar (regroupement de 225 Français, majoritairement cyclistes et des accompagnants).

Une partie du groupe des Chapelains.

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Costa-Brava – jour 1 – Perpignan – Figueres – 80 km

Hier, je finissais mon article sur les horreurs de ce monde, aujourd’hui ce sera plutôt sur la beauté du monde.

Très belle étape, très différente de celles de Bretagne qui étaient très belles aussi,

mais ici c’est avec le soleil et une douce chaleur, l’air qui sent l’anis, le pin, et autres fleurs, parfois aussi l’élevage industriel de cochons (un peu en Espagne).

40 kilomètres de Perpignan à Banyuls via

Saleilles, un labyrinthe de lotissements de maisons individuelles, probalement banlieue-dortoir de Perpignan. J’ai du ma à trouver son centre-ville (bof) et son vieux village, tout petit.

Alénya me paraît beaucoup plus sympathique,

Saint Cyprien, grande ville balnéaire, mais ma route ne s’approche pas du bord de la mer.

Argelès et sa belle plage,

Port-Vendres,

Banyuls,

Tout ceci sur des voies sans circulation ou bien aménagées pour le vélo, bandes cyclables, voire pistes cyclables en site propre, le long de routes où il y a une certaine circulation. La densité de la population est assez forte en bord de mer, les villes sont vivantes, les retraités, mais probablement aussi des vacanciers.

Puis c’est une petite route qui, de Banyuls, permet de monter au col de Banyuls et de passer en Espagne.

Col à 355 mètres, c’est pas grand-chose, mais je m’en souviendrai. Effectivement, après vérification ce soir, B-router me dit qu’il y a un premier passage sur 500 mètres avec une pente de 10 à 15 %, j’ai été obligé de poser pied à terre, et un deuxième passage sur 800 mètres avec la même pente que j’ai pu monté en appuyant bien sur les pédales. 10 à 15 %, c’est très imprécis, et je pense que la pente du premier était nettement plus forte que celle du second.

En haut, je retrouve un couple de Hollandais cyclo-voyageurs qui pique-niquent tranquillement. Ils viennent de Emmen, nord-est des Pays-Bas. Ils ont suivi la Moselle, la Saône, le Rhone et vont jusqu’à Barcelone.

Contraste total avec ma première partie d’étape, en Espagne, je traverse plutôt des montagnes un peu désertiques avec quelques villages, petits, calmes, mais bien vivants.

Il est encore tôt, je musarde …

Espolla, Sant Climent Sescebes, Masarac, Vilabertran,

et j’arrive à Figueres où j’étais déjà passé en 2018, mais je n’avais pas pris tout à fait le même itinéraire de Perpignan à Figueres, j’étais passé par Port-Bou et Cerbère.

A Figueres, j’avais visité le musée de Salvador Dali dont on retrouvera des photos dans mon compte-rendu de voyage 2018. J’en garde un excellent souvenir.

Aujourd’hui, j’ai fait un tour en ville et visité la magnifique église Saint Pierre.

Parti vers 7h30, j’étais à mon hôtel peu avant 17h. Longue et riche journée.

C’est bien agréable de rouler en Espagne.

Saleilles

Saleilles

Saleilles

Saleilles

Saleilles

Saleilles

Saleilles

Artichauts. De très grands champs d’artichauts.

Tiers-lieu de Alénya, sur le site des anciennes caves Ecoiffier.

Tiers-lieu de Alénya.

A Alénya. Un chariot pour transporter le raisin ou le presser ?

Saint Cyprien.

Saint Cyprien.

Argelès sur Mer.

Coteau de vin de Banyuls. Les 1 750 hectares de vignes sont structurés en terrasses soutenues par plus de 6 000 km de murettes de pierres sèches. Elles constituent, associées à des canaux obliques et verticaux, un réseau de filtrage et de canalisation des rares mais violentes eaux de pluie. Cet ouvrage gigantesque, qui façonne tout un paysage, a été construit il y a plus de sept siècles et entretenu par les vignerons pour préserver de l’érosion la fine couche de terre et de schiste en décomposition qui recouvre le sol

Coteau de vin de Banyuls.

Le fort Carré à Collioure.

Le fort Carré à Collioure.

Collioure vue du fort Carré.

Collioure

Collioure

Port-Vendres.

Port-Vendres.

Banyuls.

La route du col de Banyuls.

Le chemin de la liberté. Hommage à 56 Banyulencs qui partirent rejoindre la France Libre entre 1940 et 1944.

Fontaine sur la route du col de Banyuls. Malhuereusement, elle ne semble pas amorcer. Peut-être en raison de la sécheresse ?

Du col de Banyuls, la vallée vers Port-Vendres et Banyuls.

Du col de Banyuls, la vallée vers Port-Vendres et Banyuls.

Col de Banyuls 355 mètres.

Du col de Banyuls, vue sur le versant espagnol.

Le col de Banyuls, vu côté espagnol, en me retournant dans la descente.

Espolla.

Espolla (le château).

Espolla (le château).

Espolla (le château).

D’Espolla vue vers des montagnes plus élevées et même enneigées, peut-être, probablement, le massif du Canigou (en France).

Sant Climent Sescebes.

Sant Climent Sescebes.

Sant Climent Sescebes.

Sant Climent Sescebes.

Sant Climent Sescebes.

Sant Climent Sescebes.

Le confort d’une route espagnole pour les vélos !

Cabanès.

Cabanès.

Cabanès.

Vilabertran.

Vilabertran.

Vilabertran.

Vilabertran.

en arrivant sur Figueres, une autre vue vers des montagnes plus élevées et même enneigées, peut-être, probablement, le massif du Canigou (en France).

La place de l’hôtel de ville de Figueres.

Figueres

Figueres.

Figueres.

Le musée Salvador Dali de Figueres.

L’église Saint Pierre de Figuéres.

L’église Saint Pierre de Figuéres.

L’église Saint Pierre de Figuéres.

L’église Saint Pierre de Figuéres.

L’église Saint Pierre de Figuéres.

L’église Saint Pierre de Figuéres.

L’église Saint Pierre de Figuéres.

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