Costa-Brava – jour 4 – Vélo « master » – 97 km

Comme prévu, ce matin petit-dejeuner à l’ouverture 7h30 et départ à vélo à 8h en solo.

Je serai rejoint par le groupe de tête des master à 10h30 environ dans les deux derniers lacets du col de Collsacreu (361 mètres), col régulier, sans difficulté particulière.

Ce groupe d’une vingtaine de coureurs me dépasse à toute allure, très concentré sur leur allure. La queue de ce petit peloton est plus souriante, mais pas un Chapelain. Dès le départ, un feu rouge a scindé le peloton et la tête n’a pas attendu le reste.

Au sommet du col, les coureurs ont une pause ravitaillement, je les redépasse et poursuit directement dans la descente, très tranquillement.

Peu après Vallgorgina, ils me redépassent, encore plus vite.

Je pensais voir arriver mes copains peu après, mais je ne les verrai pas. M’étant détourné de l’itinéraire pour aller visiter la forteresse de Hostalric, je pense que c’est à ce moment là qu’ils ont du me doubler.

Je m’adapte aux itinéraires, les routes sont rares et sur certaines portions très fréquentées, mais on est toujours en sécurité sur une bande cyclable, un peu moins quand il y a des travaux, mais les Espagnols respectent bien les cyclistes.

La fin de parcours est la même qu’hier, ce qui me permet de prendre des photos que je n’avais pas pu prendre hier, respectant la marche du groupe.

A l’apéro, je montre la photo des silos de la société Esporc, où nous sommes passés deux fois, hier et aujourd’hui, certains se rappellent de cet élément caractéristique du paysage, mais d’autres, pas du tout. En groupe, il faut être concentré sur le groupe, la roue de celui qui précède pour être prêt à réagir à tout incident, pas trop le temps de regarder le paysage.

Je suis dans ma chambre à 14h30.

A 7 kilomètres de Lloret, la traversée du fleuve Tordera, 55 kilomètres de long. Bien à sec, juste avant de se jeter dans la mer.

Le remblai de Malgrat de Mar.

La plage à Santa Susanna.

La plage à Santa Susanna.

Maraîchage à Pineda de Mar.

Bord de côte à Calella.

Arrivée sur Sant Pol de Mar.

Sant Pol de Mar.

Bord de côte à Sant Pol de Mar. La voie ferrée est sous la route, presque au ras des flots.

Arenys de Mar.

Dans la descente du col de Collsacreu (365 mètres).

Vallgorgina.

Le chemin pour monter à la forteresse de Hostalric.

La forteresse de Hostalric.

La forteresse de Hostalric.

Mon point casse-croûte à la forteresse de Hostalric.

Vue de mon point casse-croûte, en bas une école, les enfants jouent dans la cour et je les entends.

Le village de Hostalric vu de la forteresse.

Vue de la forteresse.

Vue de la forteresse.

L’entrée dans la vieille ville de Hostalric.

Descente dans la vieille ville de Hostalric.

L’hôtel de ville d’Hostalric.

Mannequins (à préciser, probablement les costumes locaux autrefois) dans l’enceinte de l’hôtel de ville de Hostalric.

La rivière Santa Coloma, affluent de la Tordera (elle n’est pas tout à fait à sec, mais doit s’infiltrer dans le sol avant d’arriver à la mer).

Ce doit être une usine de traitement de céréales pour augmenter la teneur en protéines de l’alimentation animale d’hiver … Société Esporc. Le mur des silos est recouvert de panneaux photovoltaïques.

Tunnel au sommet du petit col qui permet de descendre à Lloret de Mar. C’est la troisième fois que je prends ce col dans le même sens. Cela vaut bien une photo.

Je termine ma journée en me rendant à pied, après ma sieste, au cimetière moderniste des Indianos, à Lloret de Mar.

C’est l’un des principaux cimetières indianos de Catalogne et l’un des plus représentatifs de tout le territoire espagnol. À Lloret de Mar, l’arrivée des Indianos, ces émigrants partis faire fortune en Amérique, définit l’essence du cimetière. Conçu par Joaquim Artau i Fàbregas, il comporte une allée principale le long de laquelle se succèdent toute une série de panthéons et de caveaux rutilants marqués par un modernisme extrêmement évocateur. Bonaventura Conill i Montobbio, élève de Gaudí, est un des architectes qui y a réalisé le plus d’œuvres, comme les croix élevées, les dragons qui surveillent l’obscurité et la mort, ainsi que des anges qui pleurent la mort comme le commun des mortels.

Forts de leurs bonnes relations, les Indianos purent compter sur les services d’architectes comme Puig i Cadafalch, qui y laissa des créations telles que la statue de la femme, en marbre pâle, symbolisant la mort, reposant entourée de roses rouges, créées par Ismael Smith i Marí. Au fond de l’allée centrale se trouve la chapelle, entourée des caveaux de deuxième rang. Des rues entières de panthéons mitoyens, pratiquement tous identiques, arborés de décorations, ornés de fleurs fraîches ou non, arpentent le cimetière.

Plus on s’éloigne du centre du cimetière, plus les tombes sont modestes, reflétant la hiérarchisation de la vie sociale (voulue par les concepteurs du cimetière, construit entre 1896 et 1901).

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le vol de la Liberté. Statue dans le parc de l’Aguila à Lloret de Mar, traversé en revenant du cimetière.

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