Costa-Brava – jour 10 – Olot – Perpignan – 123 km

Hier soir s’est terminé cet excellent séjour sur la Costa Brava après une étape de 123 kilomètres avec le passage d’un col pyrénéen à 1513 mètres.

1160 mètres de dénivelé en 43 kilomètres (comme on aurait calculé autrefois avec les cartes Michelin, du point le plus bas 354 mètres au point le plus haut 1913 mètres), soit 2,7 % de dénivelé. Pas très méchant.

Une montée à peu près continue avec le passage d’un premier col, le Capsacosta à 820 mètres d’altitude (mais on n’est pas vraiment en haut, on est à 900 mètres d’altitude un peu plus loin !).

Je fais ma première pause casse-croûte à Camprodon, 30 km après le départ et 3 heures de route. Mon petit-déjeuner a été moins riche et moins copieux que ceux de Lloret de Mar.

La deuxième partie de la montée se passe bien aussi. Tous les kilomètres, il y a un panneau indiquant le reste de route à parcourir et le pourcentage moyen restant, information pas très pertinente. Il vaudrait mieux savoir le pourcentage moyen du kilomètre suivant. Certains sont plus durs que d’autres. Sur la fin, le pourcentage moyen est plutôt 5%, avec des portions à 10%.

Parti à 8h, après 48 kilomètres, je suis au sommet du col d’Arès peu avant 13h, ce qui correspond à mon tableau de marche.

Toute la route s’est faite sur une route d’excellente qualité avec une certaine circulation, mais supportable, sauf 11 kilomètres avec le col de Capsacosta, où la circulation était nulle, pas une voiture, montée super agréable, les voitures prenant un autre itinéraire avec un long tunnel interdit aux vélos.

Comme le montre les photos, temps magnifique toute la journée.

Dès l’entrée en France, la qualité de la route change … et il n’y a plus du tout de circulation.

Dans la montée du col, j’avais croisé ou était doublé par de très nombreux cyclistes espagnols. Côté français, jusqu’à Perpignan, je ne verrai pas un seul cycliste, sauf en arrivant sur Prats de Mollo où je croise un groupe de 6 cyclistes qui s’apprête à remonter le col d’Arès par le versant français, mais ce sont des Espagnols qui m’avaient doublé dans la montée et qui rentrent chez eux.

Mais il est 13 heures passés et dans la vallée du Tech, il fait très chaud. Peut-être que les cyclistes français ont roulé le matin et sont maintenant tranquillement en train de prendre l’apéro au frais.

La descente du Tech est belle, mais il fait très chaud et j’ai un bon vent de face, vent chaud.

Je fais une deuxième pause casse-croûte à Arles sur Tech, il me reste 50 kilomètres jusqu’à Perpignan.

Passage à Amélie les Bains, puis la vallée s’élargit, le vent est plus frais, rafraîchissant, même s’il est toujours défavorable.

Je suis sur une grande route rectiligne, mais j’ai une bonne bande cyclable et la circulation n’est pas très importante. La pénétration dans Perpignan n’est pas très secure pour les vélos, aucune proposition ou possibilité évidente d’alternative. Heureusement, on est dimanche, et ce ne sont pas encore les retours de week-end par ce côté là !

J’arrive vers 17h30 après cette longue et dernière étape. Aujourd’hui journée tranquille à Perpignan avant le retour sur Nantes, en train, demain.

Ainsi se termine ce voyage sur la Costa Brava :

  • 10 jours
  • 950 kilomètres
  • 11 300 mètres de dénivelés positifs cumulés (calcul Brouter, à peu près équivalent à OpenRunner).

Profil du jour : 1160 mètres de dénivelé en 43 kilomètres (comme on aurait calculé autrefois avec les cartes Michelin, du point le plus bas 354 mètres au point le plus haut 1913 mètres), soit 2,7 % de dénivelé

L’église d’Olot ce matin au départ.

En descendant d’Olot, vue vers les Pyrénées.

Paysage.

San Salvador Ca l’Escola.

Entrée dans le parc naturel de la zone volcanique de la Garrotxa.

Sommet du premier col de la journée, le Capsacosta à 870 mètres d’altitude.

Paysage au sommet du col de Capsacosta.

Paysage dans la descente du col de Capsacosta.

Saint Pau de Seguries.

Chevaux, avec cloches tintinnabulantes, à Saint Pau de Seguries.

Paysage à Saint Pau de Seguries.

Début de la montée au col d’Arès à partir de Camprodon. 17,9 km de montée, moyenne 3,2 %.

Début de la montée au col d’Arès à partir de Camprodon. 17,9 km de montée, moyenne 3,2 %.

Église de Mollo.

Église de Mollo.

Le village de Mollo vu d’au-dessus.

Paysage dans la montée du col d’Arès.

Sommet du col d’Arès, 1513 mètres.

Du sommet du col d’Arès, vue vers Molllo, le côté espagnol.

Du sommet du col d’Arès, vue vers le massif du Canigou, le côté français.

Du sommet du col d’Arès, vue vers le massif du Canigou, le côté français.

Arivvée sur Prats de Mollo.

Prats de Mollo.

Descente de la vallée du Tech.

Ponts sur le Tech à Pont de Reynès.

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