Alpes Européennes – Jour 27 – Montanaro – Turin – Avigliana – 70 km

Départ 5h45, il fait bon.

Je choisis l’itinéraire cyclo-touriste, pour arriver à Turin en suivant le Pô.

Au début, c’est bien, puis cela devient un chemin pourri pour finir par un chemin interdit au vélo.

Je prends donc la route en passant par Gassino Torinese et San Mauro Torinese où je prends le bord du Pô sur une piste béton de très mauvaise qualité.

Je suis à l’entrée de Turin à 8h, au centre-ville vers 9h.

Je reprends la route vers 10h, la sortie est longue.

J’arrive à Avigliana vers 12h30. Il faisait 30°.

J’avais l’intention de ressortir faire une balade à pied après mon installation dans l’auberge de jeunesse, mais petit orage (il ne fait plus que 27° après l’orage), et je rédige ce compte-rendu avant de ressortir.

Demain grande étape de montagne pour rentrer en France.

En quittant Montanaro ce matin.

Traversée du torrent Orco, vue vers l’amont, avant qu’il ne se jette dans le Pô. L’Orco est un torrent aurifère.

Le torrent Orco, vue vers l’aval.

Brandizzo, les 3 faces d’une sculpture.

Brandizzo, les 3 faces d’une sculpture.

Brandizzo, les 3 faces d’une sculpture.

Paysage de la vallée du Pô.

Le village de Mezzi Po.

Le Pô à San Mauro Torinese.

Le Pô à San Mauro Torinese.

Torino Porto Susa, la gare de Turin.

Torino Porto Susa, la gare de Turin.

La citadelle de Turin

L’Hôtel de Ville de Turin.

Statue de bronze d’un chevalier terrassant ses ennemis morts à ses pieds. Il s’agit du comte vert, Amédée II de Savoie, représenté triomphant lors des guerres d’Orient au XIVe siècle.

La place Reale (Royale) de Turin et le musée Royal.

La Place Royale.

Le palais Madame, face baroque.

Le palais Madame, face médiévale.

Le palais Madame, face médiévale, et le monument à la mémoire d’Emanuele Filiberto, duc de Savoie-Aoste (1869 – 1931), membre de la famille royale italienne, et général italien. Fils d’Amédée Ier d’Espagne et de Maria Vittoria du Puits de la Citerne. Pendant la Première Guerre mondiale, il commandait la 3e armée italienne, qu’il mena avec succès lors des batailles de l’Isonzo, notamment la bataille de Gorizia. Il est reconnu pour sa ténacité et son leadership, étant surnommé le « Duc invaincu » par la propagande italienne. En 1926, il fut nommé maréchal d’Italie en reconnaissance de ses mérites militaires. Il est considéré comme une figure majeure de l’histoire militaire italienne, notamment pour son rôle durant la Première Guerre mondiale, sa bravoure et son leadership sur le champ de bataille.

La Mole Antonelliana (ou d’Antonelli) dont la construction commença en 1863. C’est l’un des plus hauts édifices en maçonnerie d’Europe, devenu le monument qui symbolise la ville, elle doit son nom à l’architecte qui l’a conçue, Alessandro Antonelli. Destinée à l’origine à devenir le lieu de culte de la communauté juive de Turin, elle est aujourd’hui devenue le siège du musée national du cinéma.

La Mole Antonelliana (ou d’Antonelli) dont la construction commença en 1863. C’est l’un des plus hauts édifices en maçonnerie d’Europe, devenu le monument qui symbolise la ville, elle doit son nom à l’architecte qui l’a conçue, Alessandro Antonelli. Destinée à l’origine à devenir le lieu de culte de la communauté juive de Turin, elle est aujourd’hui devenue le siège du musée national du cinéma.

La rue Garibaldi de Turin, grande rue piétionne du centre de Turin. Noter les gros pavés, toutes les rues du centre-ville de Turin sont pavées ainsi, piétonne ou à circulation automobile, pas trop confortable à vélo, mais on a vu pire.

La Piazza Statuto rebaptisée Place de la Palestine.

Le monument du tunnel Cenis-Fréjus, inauguré en 1879 à l’ouverture du tunnel. Il célèbre la réalisation du tunnel, en mettant en avant la victoire de la science et de l’ingéniosité humaine sur la force brute, tout en rendant hommage aux travailleurs qui ont participé à cette entreprise.

La vallée vers Suze, dans la brume, ma route demain.

La Chapelle Sant Antonio di Ranverso.

La Chapelle Sant Antonio di Ranverso.

La vallée vers Suze, dans la brume, ma route demain.

L’Institut Technique Statale « G. Galilei » à Avigliana.

Avigliana

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