Étape avec moins de dénivelé positif qu’hier, seulement 915 mètres, mais pas plus facile, car beaucoup plus accidenté.
Étape mal commencée, je démarre à 7h30 comme d’habitude, et je descends une partie de la route par laquelle je suis arrivé hier.
Manque d’attention, je me paye un gros trou en bord de route. Sous le choc, un de mes bidons d’eau valse. Je m’arrête, je récupère mon bidon, je regarde si je n’ai pas voilé mes roues. Non, tout paraît OK.
Je repars dans ma descente, mais 500 mètres plus loin, je roule sur ma jante avant, le pneu est crevé.
Démontage de la roue et du pneu, c’est la chambre à air qui est fendue sur 1 cm. Heureusement, j’ai une chambre à air de secours.
Démontage-Remontage, je ne perds pas de temps, tout se passe bien, mais il m’aura fallu pas loin de 45 minutes pour ce dépannage réussi. J’ai pu reprendre la route et n’ai pas constaté d’autres anomalies. J’ai eu beaucoup de chance, cela aurait pu être beaucoup plus embêtant.
Très bel itinéraire sans circulation sauf 12 km où j’ai longé les plages de Garucha, et 22 km, en fin de parcours, pour rejoindre mon hôtel.

En partant ce matin.

Réparation en cours, la roue avant est démontée …

C’est reparti !

Dans la montée du premier col.

Dans la montée du premier col.

Dans la descente du premier col.

Citronnier.

Les environs de Pulpi.

Champ de pastèques.

Arrosage, probablement avant plantation.

Culture en cours.

Village de La Fuente.

Vieux pont désaffecté à Las Canalejas.

Arrière d’un lotissement à Palomares. J’aurai dû prendre aussi la face avant, c’était plus joli.

Palomares.

Garrucha.

Garrucha.

Garrucha.

Le Castillo de Macenas, tour de défense datant de la fin du XVIIIème.

Le village de Sopalmo, sommet d’un petit col à 158 mètres d’altitude.

Dans la montée sur un deuxième petit col après celui de Sopalmo. Au fond, dans le creux, on voit la mer.

Au sommet du deuxième petit col à 158 mètres, vue vers Carboneras.

Arrivée à Carboneras.

Le château de Carboneras.

L’hôtel de ville de Carboneras.

Falaise à Carboneras.

La cimenterie Holcim de Carboneras. Carboneras serait également connue pour avoir la plus grande usine de dessalement d’eau de mer d’Europe(en 2009, depuis Barcelone a aussi son usine). Fabriquer du ciment demande beaucoup d’eau … ce qui a certainement appauvrie, voire polluée, la ressource locale en eau, et mon interprétation, c’est que les communes ont préféré investir dans une usine de dessalement plutôt que chasser la cimenterie qui fournit 400 emplois.

Chemin d’accès à une plage sauvage. Je me suis arrêté au sommet de cette côte pour attendre la fin d’une micro-averse. A peine arrêté, il ne pleuvait plus.

La descente sur Agua Amarga.