Journée sèche, plutôt couvert le matin, plutôt ensoleillé l’après-midi.
Petite étape, fonction des opportunités de logement, mais comme souvent très bel itinéraire très varié. Parti à 7h30 et en musardant beaucoup, je termine à 14h30.
Première côte 280 mètres de dénivelé, 3 passages de 10% à 15%, je pose 3 fois pied à terre. Normal quand cela devient vraiment trop raide, le rythme cardiaque monte. Il ne faut pas casser la machine.
L’après-midi, j’ai une côte avec 72 mètres de dénivelé en 800 mètres, soit 9%, ça passe.
Passage à Saint Georgen. Petite ville de montagne, pas très belle, mais bien développée économiquement, probablement grâce à l’entreprise Ebmpapst.
Je suis très étonné par le calme de la ville quand je la traverse.
Il faudra que j’arrive à Villingen pour que je réalise que nous sommes le jeudi de l’Ascension, jour férié en Allemagne comme en France, le matin les gens dorment.
Villingen, très jolie ville ayant encore ses remparts.
Bad Dürrheim, ville thermale, rien de très remarquable, mais un cadre bien vert, reposant avec beaucoup de parcs pour se promener. Beaucoup de cliniques.
En quitant Bas Dürrheim, petite côte et j’assiste à une chute de vélo, apparemment sans gravité, dont je suis indirectement la cause. Croisement sur une piste cyclable d’un vélo chargé qui monte (moi) et d’un vélo électrique qui descend, pas très vite. La femme sur son vélo serre trop sa droite (ce qui n’était pas nécessaire) et bute sur une bordure, bien inutile, qui limite la piste cyclable.
L’explosion du vélo électrique a beaucoup de bons côtés, cela permet à beaucoup de 3éme âge de se mettre, ou remettre, au vélo, mais je crains que cela conduise à l’augmentation de l’accidentologie.
Aujourd’hui, j’ai croisé des centaines de vélo, 75 % sont électriques, beaucoup de retraités mais aussi beaucoup de jeunes. C’est tellement bien pour traîner une cariole avec des enfants. C’est très bien, cela fait autant d’automobilistes en moins. Je crois qu’on assiste vraiment à un changement majeur, au moins en Allemagne. La sortie du dimanche devient une sortie de proximité en vélo électrique.
Après Bad Dürrheim, j’aperçois un espace festif en haut d’une colline, je pense plutôt à un rassemblement de quads. Je me détourne de ma route, j’ai le temps, et je monte voir. C’est simplement une fête locale, repas plantureux et orchestre, très bonne ambiance.
Passage à Immendingen, tous les commerces sont fermés, pas de courses ce soir ! Manque d’organisation ! mais j’ai toujours de quoi manger.
Pour terminer je rejoins l’eurovéloroute du Danube qui va de l’Atlantique (Saint Nazaire) à la Mer Noire (Constanta en Roumanie). Itinéraire que nous avions parcouru avec Chantal en 2007, de Nevers à Regensburg, et le 4 août 2007 nous passions au Donauversinkung (article intéressant) où je suis passé en fin d’étape.
Demain l’étape sera plus longue.

Gare de Triberg.

Gare de Triberg.

Gare de Triberg. Petite exposition sur l’histoire du train de la Forêt Noire.

Affiche touristique sur le train de la forêt noire.

Vieille locomotive à vapeur du train de la forêt noire.

Vieille locomotive à vapeur du train de la forêt noire.

Nussbach.

Sculpture en bois.

Ferme dans la montée.

Autre face de la même ferme, côté soleil).

Altitude 875 mètres, limite des bassins versants du Rhin et du Danube. Triberg, côté Rhin, Saint Georgen où je vais descendre, côté Danube.

3 églises à Saint Georgen, évangélique, catholique, et évangélique-méthodique.

Saint Georgen.

Entreprise Ebmpapst à Saint Georgen. Grosse entreprise d’aérolique et de moteur, pompe à chaleur … 3 sites en Allemagne, implantaion dans plus de 90 pays dans le monde. Contribue assurément à la vitalité et à la richesse de Saint Georgen. Site internet trsè intéressant!.

Collège de Saint Georgen.

La gare de Saint Georgen.

Passage à niveau de Groppertal.

Le train de la Forêt Noire, il monte, mais passe à toute allure à ce passage à niveau.

Le train de la Forêt Noire. Il va de Constance à Karlsruhe. La rame normale est renforcée à son extrémité par une locomotive électrique supplémentaire. Alternativement, cette loco est devant ou derrière.

Le train vient de Karlruhe et va vers Constance, la loco électrique en tête.

Petit chemin très bien empierré, en approchant de Villingen.

Messe en plein air, avec un orchestre, dans un parc, en approchant de Villingen.

Villingen.

Villingen.

Villingen.

Villingen.

Villingen.

Villingen.

Villingen.

Villingen.

Villingen.

Villingen.

Bad Dürrheim. Ville thermale.

La mairie de Bad Dürrheim. deux grandes maisons face à face, autrefois c’était les bureaux de l’usine d’exploitation des mines de sel.

La mairie de Bad Dürrheim. deux grandes maisons face à face, autrefois c’était les bureaux de l’usine d’exploitation des mines de sel.

Le site des forages d’extraction du sel souterrain avec les tours d’assèchement de la saumure.

Paysage.

Fête locale en pleine nature,beaucoup de vélos (beaucoup électriques) à proximité de Bad Dürrheim.

Fête locale à proximité de Bad Dürrheim.

L’orchestre de la fête locale à proximité de Bad Dürrheim.

Biesingen.

On n’est pas encore Halloween. Décoration d’une maison en arrivant à Immendingen.

Immendingen.

Immendingen.

Immendingen.

Pause sur l’Eurovélo 6, véloroute de Saint Nazaire à la Mer Noire. Il y a même un espace pour planter sa tente la nuit.

Le Donauversinkung, les pertes du Danube.

Le Donauversinkung, les pertes du Danube.

Extrait de notre carnet de voyage (Chantal et moi, de Nevers à Regensburg, le 4 août 2007

Chantal, le 4 août 2007 au Donauversinkung