Aujourd’hui, étape assez difficile, le franchissement des Pyrénées par le Port de la Bonaigua à 2072 mètres d’altitude en partant de Viehla à 960 mètres, soit un peu plus de 1100 mètres de dénivelé en 23 kilomètres d’ascension, et il restait ensuite 90 kilomètres pour arriver à Tremp.
Montée pas très difficile, 5 % en moyenne, mais 23 kilomètres, c’est long, et à 5 km du sommet, c’était raide, mais les kilomètres suivants étaient plus faciles.
Parti à 7h30, je suis en haut à 10h30 après quelques pauses photos, une pause alimentation/rafraichissement et une petite pause repos.
Aucune circulation, sauf des hordes de moto. Un cyclosportif isolé et un groupe de 4 cyclosportifs m’ont doublé dans la montée, mais les vacances sont finies. Un premier dimanche de rentrée, les sportifs ont autre chose à faire.
Après la montée, il me reste 90 kilomètres de descente.
Initialement j’avais prévu une étape de 93 km, mais au cours de l’été je me suis aperçu que mon itinéraire empruntait un tunnel de 5 kilomètres de long. Je craignais que le tunnel soit interdit aux vélos (même si cela n’était pas spécifié sur les cartes OpenMap), et j’ai préféré opter pour un détour par le port de la Bonaiga. Par le tunnel, c’était plus court et je ne montais qu’à 1600 mètres au lieu de 2072 mètres.
90 kilomètres de descente après l’effort de la montée, c’est long, très long …
Un pique-nique, quelques pauses, quelques curiosités, je termine bien ma journée.
Il fait 32° à Tremp. Je tiens deux heures avant d’allumer la clim, mais je finis par craquer…
Demain sera plus facile.

Betrén, petit village au-dessus de Vielha, ce matin en partant.

La route en partant ce matin.

Paysage.

Arties.

Vue sur la vallée d’où je viens.

Vue vers le port de la Bonaigua. Tout à gauche de la grande barre rocheuse que l’on voit au fond.

Peu avant d’arriver au Port de la Bonaigua, 2072 mètres d’altitude.

Port de la Bonaigua, 2072 mètres d’altitude.

Chasse-neige au sommet du port de la Bonaigua. Non daté.

La descente du port de la Bonaigua.

La descente du port de la Bonaigua.

Vue sur Esterri d’Aneu, la route n’y passe pas.

Rafting sur le Noguera Pallaresa, rivière pyrénéenne espagnole, affluent droit du Sègre, lui même affluent de l’Èbre. Le Noguera Pallaresa prend sa souce à quelquse mètres de la souce de la Garonne qui se jette dans l’Atlantique, alors que l’Ebre se jette dans la Médierranée entre Barcelone et Valence.

Rafting sur le Noguera Pallaresa.

Arrivée sur Rialp.

Gerri de la Sal

Arrivée sur un tunnel, mais contrairement aux tunnels précédents, celui-ci est interdit aux vélos qui partent dans les gorges à gauche du tunnel.

Les gorges du Noguera Pallaresa.

Les gorges du Noguera Pallaresa.

Les gorges du Noguera Pallaresa.

Les gorges du Noguera Pallaresa.

Bizarre cette rampe d’irrigation, sur roues, comme on en voit beaucoup en France. Comme d’habitude, celle-ci comporte de nombreux segments pour arroser le champ qu’on aperçoit. Pas très grand, et aucun autre champ du même type à l’horizon. Quelle culture veut-on arroser pour nécessiter un tel investissement ?

Paysage.

La Pobla de Segur.

La Pobla de Segur.

Le Panta de Sant Antoni, un réservoir de 10 km2 fermé par un barrage construit entre 1913 et 1916.
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Torrent à sec d’alimentation du Panta de Sant Antoni.

Le village de Talarn, juste avant d’arriver à Tremp.