Maroc – Jour 27 – Algeciras – Ceuta (Espagne) – Fnideq (Maroc) – 10 km

Aujourd’hui,une nouvelle aventure a commencé, je vais rouler au Maroc pendant une dizaine de jours.

Ferry FRS de d’Algeciras à Ceuta. Départ 10h30, Arrivée 11h30, le détroit de Gibraltar fait une quinzaine de kilomètres de large.

Il faut se présenter 90 minutes avant le départ … mais les opérations ne commencent qu’une heure avant et il n’y aura qu’une quinzaine de véhicules à embarquer. Il y a deux compagnies sur cette ligne, ce qui fait à peu près un ferry toutes les heures.

Le ferry part un peu en avance, et arrive un peu en avance.

Pas de contrôle de papier à l’embarquement, ni au débarquement, mais lors de la commande de mon billet sur Internet hier soir, j’ai fourni mon numéro de passeport.

Petit tour pour découvrir Ceuta.

Grande côte pour quitter Ceuta (je ne suis pas convaincu que c’était nécessaire … il y avait une route à plat en bord de mer, avec de la circulation, mais plutôt qu’une côte dure …

Arrivée à la frontière avec le Maroc, je retrouve toutes les voitures et camping-cars descendus du ferry, dont un couple portugo-suisse avec qui j’avais bavardé en attendant l’embarquement.

Je suis dans la file avec les motos, mais je n’ai pas le droit de passer avant.

Contrôle de police, l’attente est assez longue, mais encore plus longue pour les voitures.

Contrôle de douane, je dois ouvrir mes sacoches et mon sac à dos.

Entrée au Maroc, je vais au bureau de change que j’avais repéré. La monnaie officielle du Maroc est le dirham marocain (MAD). 1 Euro = 10,63 dirham

Il me reste à acheter une puce marocaine pour mon smartphone. J’ai repéré la boutique Maroc Télécom que l’on m’a conseillé comme opérateur téléphonique. Je la trouve, pas si facile, je prends un ticket pour la file d’attente. Au bout d’une demi-heure, c’est mon tour. Mais non ! Il faut aller quelque part, dans un espèce de bureau de tabac … Je trouve une boutique qui a l’air de faire ça … et c’est réglé en moins de 5 minutes, la puce 20 dirham (2 euros), l’abonnement internet 15 Go 100 dirhams (10 euros).

Je suis paré côté finances et internet.

Petit tour dans le centre-ville, mon hôtel est en plein dedans, beaucoup de monde et de commerces ambulants, c’est peut-être jour de marché ou jour de foire, à moins que cela soit toujours comme ça. C’est toute une ambiance, très différente de celle des villes espagnoles. Dépaysement total, mais je retrouve cette ambiance découverte en 2019 lors de mon voyage de Tanger à Laayoune en suivant la frontière algérienne.

Demain je roule vers l’est.

Le Ferry Jet dans lequel je vais embarquer.

Le Ferry Jet dans lequel je vais embarquer.

Intérieur du ferry.

La sortie du port d’Algéciras.

La sortie du port d’Algéciras.

La sortie du port d’Algéciras.

En s’éloignant d’Algéciras.

En s’éloignant d’Algéciras. Je reconnais la grand barre d’immeuble, la plus haute au centre. Je suis passé pas loin hier en arrivant à Algerciras.

Le rocher de Gilbratar, enclave anglaise en Espagne. Je l’ai visité début octobre 2018 en fin de parcours Perpignan-Barcelone-Madrid-Lisbonne-Algeciras-Gibraltar-Tarifa-Tanger.

Le détroit de Gibraltar. A gauche, l’Afrique. A droite, l’Europe.

Arrivée à Ceuta, enclave espagnole au Maroc.

Arrivée à Ceuta, enclave espagnole au Maroc.

Premier rond-point en sortant du ferry

Un autre rond-point à Ceuta.

La sortie du port de Ceuta.

El revellín del Ángulo de San Pablo

Buste de Estrabon, géographe et historien grec qui décrit Ceuta, qu’il appelle « Hepta Adelphoi », dans son ouvrage « Géographie », son ouvrage le plus important composé de 17 volumes, qui compilent toutes les connaissances géographiques de cette période (Ier siècle).

Tulipier du Japon.

Cathédrale Sainte-Marie de l’Assomption, à Ceuta.

Parc dans le centre historique de Ceuta.

La Virgen de los Remedios, figure mariale vénérée à Ceuta.

Les deux colonnes d’Héraclès (Hercule). Les colonnes d’Hercule symbolisent sa force et sa capacité à surmonter les obstacles.

La Comandancia General de Ceuta, unité de l’Armée de Terre espagnole, spécifiquement de la Force Terrestre. Sa mission principale est de préparer des organisations opérationnelles avec les unités stationnées dans la ville de Ceuta, conformément à la doctrine terrestre spécifique.

En roulant vers frontière avec le Maroc.

Vue vers Ceuta en m’éloignant.

Première mosquée aperçu en arrivant à Fnideq (Maroc).

Paysage en arrivant à Fnideq.

Étal de fruits et légumes au marché.

La grande (?) mosquée de Fnideq.

La grande (?) mosquée de Fnideq.

Plage vers le sud de Fnideq.

Plage vers le nord de Fnideq, au fond, c’est Ceuta.

Publié dans Non classé | Un commentaire

Espagne – Jour 26 – Ronda – Algeciras – 107 km

Je prends du retard sur mes comptes-rendus …

Encore une très longue journée hier, mais difficile de faire mieux compt-tenu des hébergements identifiés sur Internet. Facile à trouver dans les grandes villes, quasi impossible dans les petits villages.

Ronda est une très jolie ville, mais difficile à admirer à l’arrivée de la longue étape venant de Malaga, et le lendemain, il faut partir pour encore une nouvelle longue étape, donc visite rapide au lever du jour, mais je pourrai approfondir a posteriori, maintenant que je situe les lieux.

Etape pour Algeciras longue, mais pas trop difficile puisque je descends vers la mer. Il y a quand même un col à 1000 mètres, et même un peu plus, et surtout une succession de 5 petits cols sur une ligne de crête avant de plonger dans la vallée.

Je monte le premier col sans pluie, mais en haut je trouve le brouillard qui se transforme en crachin breton (!) dans la descente. Mais je n’ai pas besoin de mettre ma cape. Et un peu plus bas, je peux faire ma pause à Atajate sans pluie.

Contour compliqué d’Algeciras, il y a deux gros rios à franchir, le rio Guadarranque et le rio Guadacorte, qui sont franchis sans problème par l’autoroute, mais on a « oublié » les vélos. Je triche un peu (sur 1 km, il n’y avait pas d’interdiction vélo), pour franchir le Guadarranque, mais cela ne me sert pas à grand chose, il reste le Guadacorte, et j’effectue le contournement que me propose B-router..

Départ 7h30, arrivée 16h30.

C’était mon dernier jour en Espagne que j’ai traversé sans pluie significative nécessitant de mettre la cape de pluie. Hier, Valence est en alerte rouge, et il semble qu’il y ait eu encore cette année de fortes pluies et des inondations dans la nuit du dimanche 28 au lundi 29 septembre 2025. Ces intempéries ont provoqué des inondations, notamment autour de Tarragone (j’y suis passé pas loin, Reus), et ont fait déborder une ravine à Aldaia, une localité valencienne déjà fortement touchée par les inondations meurtrières d’octobre 2024. Des crues éclairs et inondations ont été observées dans les secteurs d’Oliva (j’y ai dormi une nuit).

Centre nouvelle ville de Ronda, le matin.

Centre nouvelle ville de Ronda, le matin.

Centre nouvelle ville de Ronda, le matin.

Le ravin du Rio Guadalevin qui sépare la vieille ville de la nouvelle ville. Cette configuration me rappelle Constantine en Algérie

Le ravin du Rio Guadalevin qui sépare la vieille ville de la nouvelle ville.

Ronda a toujours été une ville d’une grande importance historique. Ses racines remontent au néolithique, puis elle a été habitée par les Celtes, les Phéniciens, les Romains et les Maures, qui ont tous laissé leur empreinte sur ce lieu fascinant. Mais l’une des périodes les plus intéressantes de l’histoire de Ronda est sans aucun doute l’époque romantique.Au XIXe siècle, au cours de ce que l’on a appelé « La période romantique », des voyageurs de toute l’Europe ont commencé à explorer l’Espagne à la recherche d’expériences exotiques et d’inspiration. De nombreux artistes, poètes et écrivains ont trouvé leur muse dans les paysages spectaculaires de Ronda et dans sa culture locale dynamique. Des personnalités célèbres comme Gustavo Adolfo Bécquer (poète romantique espagnol renommé), Alexandre Dumas (auteur des Trois Mousquetaires) ou Washington Irving (qui a écrit les Contes de l’Alhambra) font partie de ceux qui sont tombés sous le charme de Ronda. Ces personnages sont souvent appelés « Viajeros Románticos » ou « voyageurs romantiques ». Leurs œuvres ont attiré l’attention sur cette partie méconnue de l’Andalousie dans toute l’Europe, faisant d’elle l’une des destinations touristiques les plus prisées aujourd’hui. Pour commémorer l’impact de ces visiteurs influents sur la reconnaissance locale et internationale de la ville elle-même, les habitants organisent chaque année depuis 2005 le festival « Ronda a los Viajeros Románticos », qui se traduit par « Ronda et les voyageurs romantiques ». Cet événement est une véritable célébration de la riche histoire de Ronda, de son patrimoine culturel et de l’époque romantique qui l’a fait connaître.

L’hôtel Hemingway à Ronda, l’auteur y a séjourné dans les années 1950.

La muraille de l’ancienne Ronda.

Statue récentes évoquant les voyageurs pendant la période romantique.

En quittant Ronda, borne routière typique des routes d’Andalousie, j’en ai vu beaucoup depuis que je suis en Andalousie.

Fray Leopoldo, Léopold d’Alpandeire, né en 1864 à Alpandeire et mort en 1956 à Grenade, est un frère mineur capucin espagnol, reconnu pour la qualité et la durée de son apostolat à Grenade, durant près de quarante ans. Il a été béatifié en 2010 par le pape Benoît XVI. Ce panneau se trouve à l’intersection de ma route avec la direction d’Alpandeire, distant de 8 km.

Passage du col de la journée, le puerto de Encinas Borrachas à 1000 mètres. Mais en fait, je vais suivre une ligne de crêtes avec montées et descentes et 4 cols vont suivre avec des montées plus courtes, mais en perdant de l’altitude entre chaque col.

Paysage dans la descente du puerto de Encinas Borrachas.

Paysage dans la descente du puerto de Encinas Borrachas.

Un peu raté pour la photo, brouillard !

Le village d’Atajate.

Le village d’Atajate. Je casse la croûte sur le banc devant l’église.

Le village d’Atajate.

Paysage, le soleil arrive.

Le village de Benadalid, je suis passé au-dessus sans y descendre.

La route des Almoravides et des Almohades. Itinéraire culturel de Conseil de l’Europe. La Route des Almoravides et des Almohades est un parcours de 610 km traversant les provinces de Cadix, Malaga et Grenade, mettant en lumière l’héritage des dynasties almoravide et almohade qui ont marqué l’histoire commune entre le Maroc et l’Espagne. Les Almoravides sont une dynastie berbère sanhajienne qui a marqué l’histoire du Maghreb et de l’Al-Andalus (Espagne musulmane) entre le XIᵉ et le XIIᵉ siècle. Leur empire s’étendait sur le Maroc, le Sahara occidental, la Mauritanie, une partie du Mali moderne, l’Ouest de l’Algérie, ainsi que le Sud de la péninsule Ibérique. L’Empire almohade est fondé au XIIe siècle au Maghreb et en al-Andalus (sud de la péninsule Ibérique) par le mouvement réformateur religieux des Almohades. Il s’agit d’un califat berbère qui a succédé à la dynastie almoravide.

Le village d’Algatocin.

Le puerto d’Espino à 780 mètres.

Jimena de la Fronterra.

Vaches. Première fois que j’en vois en Andalousie, et même avant.

Castellar de la Frontera. Ce monument célèbre le 25e anniversaire de la récupération de la Dehesa Boyal, un événement marquant pour la communauté locale. La Dehesa Boyal est un sentier de randonnée au nord de Castellar de la Frontera. !

Castellar de la Frontera.

Publié dans Non classé | Laisser un commentaire

Espagne – Jour 25 – Malaga – Ronda – 107 km avec les photos

Longue étape par un itinéraire sur grandes routes, erreur de ma part, j’aurai pu prendre un autre itinéraire, j’ai trop fait confiance à B-router.
Très fort vent de face et du dénivelé, un peu de pluie, négligeable, mais plus de pluie prévue demain.
Départ 7h30, arrivée 17h00 à Ronda. Beau temps le matin, mais bien couvert en arrivant, Température 13° en partant, 19° en arrivant.
Je suis en montagne à 730 mètres d’altitude.
Je n’ai pas le temps de mettre les photos en ligne, un autre jour …
Demain dernière étape en Espagne.

En quittant Malaga ce matin là.

En quittant Malaga ce matin là.

Quartier très pauvre en quittant Malaga, mais desservi par le métro. Mais pour combien de temps ? De grands immeubles sont en construction dans le secteur, terminus de la ligne de métro.

En approchant de Pizarra.

En approchant de Pizarra.

Pizarra, cette ligne voie unique devait permettre la liaison avec Malaga, Cordoue, Séville, Cadix. Aujourd’hui, il n’y a plus que deux trains par jour pour Malaga où se fait la correspondance pour la LGV vers Cordoue qui permet ensuite de rejoindre Séville et Cadix.

Paysage.

Premier col de la journée, le col de Malaga, 545 mètres.

Deuxième col de la journée. Puerto El Satillo 885 mètres.

Fresque à Ronda.

Publié dans Non classé | Laisser un commentaire

Espagne – Jour 25 – Malaga – Ronda – 107 km

Longue étape par un itinéraire sur grandes routes, erreur de ma part, j’aurai pu prendre un autre itinéraire, j’ai trop fait confiance à B-router.
Très fort vent de face et du dénivelé, un peu de pluie, négligeable, mais plus de pluie prévue demain.
Départ 7h30, arrivée 17h00 à Ronda. Beau temps le matin, mais bien couvert en arrivant, Température 13° en partant, 19° en arrivant.
Je suis en montagne à 730 mètres d’altitude.
Je n’ai pas le temps de mettre les photos en ligne, un autre jour …
Demain dernière étape en Espagne.

Publié dans Non classé | Un commentaire

Espagne – Jour 24 – Alhama de Granada – Malaga – 82 km

Etape facile aujourd’hui, pas très longue et en descente.

Très bel itinéraire sans circulation jusqu’au bord de mer à Vélez-Malaga (50 premiers kilomètres). Il reste une trentaine de kilomètres pour rejoindre Malaga, circulation très supportable, mais à 7-8 kilomètres de Malaga, une portion très pénible, le bord de mer est en sens unique, boulevard à deux voies dans le même sens, rien de prévu pour les vélos. Le boulevard dans l’autre sens, celui pour aller vers Malaga, est à 200 mètres et ce sont tous les deux des autodromes où les véhicules roulent vite.

Après ces trois kilomètres, cela s’améliore et on peut profiter du bord de mer. Mais pourquoi laisser ces trois kilomètres non aménagés ?

Globalement, je n’ai pas été enthousiasmé par Malaga où la voiture semble reine. Le quartier de la cathédrale est à peu près piétonnier, mais un samedi après-midi, il y a foule …

Je n’ai pas essayé de rentrer dans la cathédrale au vu de la queue à la porte …

Je suis allé faire mes courses au Mercadona que j’avais repéré avec Google Maps. C’était à la gare de Malaga. Mais, en fait, c’est un gigantesque centre commercial. J’ai trouvé mon magasin sans difficulté, mais quel vacarme dans cette galerie commerciale ! Comment peut-on aller faire ces courses dans cet endroit. Infernal. Je ne suis même pas aller visiter la gare tellement, j’avais hâte de fuir ce lieu.

Heureusement le début du parcours de Alhame de Granada à Vélez-Malaga était superbe. Belle approche de Ventas de Zafarraya. Surprise au débouché de cette plaine très fertile et magnifique descente.

Départ 7h45, un peu plus tard que d’habitude, le jour se lève à 8h07.
Arrivée 13h30 à Malaga, 15h30 dans la pension qui m’héberge, après avoir parcouru la ville et fais mes courses.

Température 13° au départ, 26° à Malaga. Journée très ensoleillée.

Paysage en quittant Alhama de Granada, ce matin.

Paysage en quittant Alhama de Granada, ce matin.

Paysage en quittant Alhama de Granada, ce matin.

Paysage en approchant de Ventas de Zafarraya.

Paysage en approchant de Ventas de Zafarraya. Champ de cailloux et chênes verts sous lesquels paissent des moutons.

Paysage en approchant de Ventas de Zafarraya.

Paysage en approchant de Ventas de Zafarraya.

Champ de courgettes.

Champ de poivrons.

Pompage dans la nappe phréatique à Ventas de Zafarraya. Nombreux pompages dans toute la plaine et on entend les moteurs tournés.

Un lotissement à Ventas de Zafarraya.

Vue vers la mer depuis Ventas de Zafarraya.

Vue vers le col de Ventas de Zafarraya, après l’avoir franchi, le col est à l’altitude 917 mètres, mais depuis Alhama de Granada, j’ai franchi un col à l’altitude 1033 mètres avant de descendre dans la « plaine » de Ventas de Zafarraya (altitude 900 mètres).

Vinuela.

En approchant de Vélez-Malaga, signalement du Centre de Innovacion Trops. Trops se dit le leader mondial de la production d’avocats et de mangues.Fondée en 1979 à Vélez-Málaga (Málaga), TROPS regroupe aujourd’hui plus de 3 000 agriculteurs membres. Sa principale zone de production se concentre dans la région de l’Axarquía de Malaga et sur la côte tropicale de Grenade, le long de la côte valencienne, de l’Algarve portugais et jusqu’en Amérique du Sud (Pérou et Chili). L’objectif principal de Trops est de garantir un commerce équitable à ses agriculteurs et les meilleurs avocats et mangues aux consommateurs. Trops participe au projet SmartCrops 5.1 de recherche et de développement de nouveaux outils numériques, technologiques et agroécologiques pour la production durable et résiliente de bois et de cultures horticoles dans les conditions semi-arides et de changements climatiques.

Jardin public où je casse-la croûte à Vélez-Malaga

Le col de Ventas de Zafarraya vue depuis le bord de mer, à une trentaine de kilomètres et 900 mètres plus bas. Dans la descente, j’ai croisé des dizaines de cyclosportifs qui montaient, en groupe ou solo. Un samedi, jour d’entraînement vélo.

Le taureau andalou.

Nombreux édifices de fortification de la côte tout le long de la route qui longe la mer vers Malaga. Ici Torre del Jarral.

Vue (en arrière) en quittant Torre del Mar.

Plage.

La forteresse de Bezmiliana, forteresse du XVIIIe siècle construite en 1766 sur ordre du roi Charles III pour combattre les pirates anglais et hollandais, alors très actifs dans la région.

Exposition sur les Verdiales dans la forteresse de Bezmiliana. Les verdiales sont des fêtes populaires espagnoles accompagnées d’une formation musicale appelée panda. Création artistique paysanne qui provient de certaines zones de la province de Malaga. Les verdiales constituent un style particulier de chant et de danse, accompagnés d’un groupe de musique composé d’un violon, de deux à quatre guitares, d’un tambourin, d’au moins deux cymbales, de castagnettes et parfois d’une mandoline. Cet ensemble de chanteurs, danseurs et musiciens est appelé en argot la Bande de verdiales et les spectacles se nomment la Fête des verdiales. Le mot verdiales provient de la région d’oliveraies de Málaga, où se cultive un type d’olives nommé verdial, qui restent vertes une fois mûres.

Exposition sur les Verdiales dans la forteresse de Bezmiliana.

Exposition sur les Verdiales dans la forteresse de Bezmiliana.

Exposition sur les Verdiales dans la forteresse de Bezmiliana.

Exposition sur les Verdiales dans la forteresse de Bezmiliana.

Plage à Rincon de la Victoria.

Plage à Rincon de la Victoria.

La Cala del Moral.

Cimenterie à La Cala del Moral.

Tunnel sur le Paseo de los Canadiens.

Le Paseo de los Canadiens

Arrivée sur Malaga.

Le phare de Malaga.

Le phare de Malaga.

La cathédrale de Malaga, et au premier plan, quelques petits yachts, mais j’en ai vu de beaucoup plus gros, voire énormes que je me suis refusé de photographier.

Arrivée sur Malaga. On aperçoit la forteresse.

La forteresse de Malaga (l’Alcazaba) et la fontaine des Trois Grâces.

Le centre Pompidou de Malaga.

L’hôtel de ville de Malaga.

La cathédrale de Malaga.

La cathédrale de Malaga.

Le palais épiscopal de Malaga.

Publié dans Non classé | Laisser un commentaire

Espagne – Jour 23 – Granada – Alhama de Granada – 62 km

Petite étape aujourd’hui avec un peu de dénivelé, rien de bien difficile, mais quelques montagnes russes avec des bonnes pentes.

Très bel itinéraire avec de nombreux petits villages que j’ai pris le temps de parcourir tranquillement puisque l’étape était courte.

Départ 7h15, arrivée 13h30.

14° en quitant Grenade, 13° à Santa Fe, 23° en arrivant à Alhama de Granada.

Je suis très vite sorti de Grenade, car la ville (230 000 habitants) a la forme d’un huit, de 8 km de haut, et 2 km dans sa partie resserrée (le centre ville).

La jolie ville de Santa Fe n’est qu’à 12 kilomètres du centre-ville de Grenade, et une belle piste cyclable, en pleine campagne, relie les deux villes, loin de la voie rapide assez chargée dans le sens SantaFe-Grenade à l’heure de l’embauche.

Mis à part, Purchil et Bellicina, deux villages entre Santa Fe et Grenade, où quelques voitures rejoignaient la voie rapide, je n’ai pas eu de circulation, sauf en fin d’étape en arrivant à Alhama de Granada.

Encore une belle étape.

D’abord quelques photos prises hier soir au cours d’une petite balade, avec une descente dans le métro de Grenade.

Le rio Genil à Grenade.

Sur un rond-point.

La Cité des Sciences.

Immeuble de la banque rurale « proche de la nature »

Semble un immeuble de bureau jamais achevé.

La Station Alcazar-Genil du métro de Grenade. Je l’ai pris de la station Alcazar-Genil à la station Recogidas. Alcazar-Genil, très belle station, mais interdit de photographier … mais on trouve toutes les photos sur Wikipédia

et les photos du jour

La traversée du Rio Genil ce matin en m’éloignant de Grenade.

Traversée de Purchil.

Fresques à Purchil.

En quittant Purchil. Partout en Espagne, j’ai vu ce type de panneaux pour signaler la présence des cyclistes.

Maïs non encore récolté à Bellicena, mais les épis sont très beaux.

Lotissements à Bellicena.

Lotissements à Bellicena.

Lotissements à Bellicena.

Paysage.

Paysage.

Isabelle la Catholique, La ville de Santa Fe fut fondée par les rois catholiques qui installèrent leur campement militaire en 1482 pour préparer l’assaut final contre les Nazaris du royaume de Grenade. Le nom de Santa Fe évoque un chapitre illustre de l’histoire de l’Espagne. La ville aménagée en campement militaire romain, possède deux rues croisées en son centre, Cardus Maximus (rue Real) et Decamanus (rue Christophe Colomb) ; au bout de ces rues, on voit apparaître quatre portes opposées qui verrouillaient, dans le passé, l’entrée de la ville fortifiée. Les conquistadors adoptent cette distribution et organisation urbaine pour la construction des capitales sud-américaines, qui se veulent exemplaires de l’art arabo-andalou.

Santa Fe.

Santa Fe.

Santa Fe.

L’hôtel de Ville de Santa Fe.

Santa Fe.

Santa Fe.

Santa Fe.

8h25, l’heure de la rentrée du collège privé « La Purisima ».

8h25, l’heure de la rentrée du collège privé « La Purisima ».

Christophe Colomb.

Christophe Colomb. Signées le 17 avril 1492 entre Ferdinand d’Aragon et Isabelle de Castille, d’une part, et le navigateur génois Christophe Colomb, d’autre part, au camp militaire de Santa Fe, elles constituent l’un des documents d’une série d’accords et de capitulations officialisés par les monarques espagnols dans cette ville entre 1491 et 1492. Parmi ceux-ci, on peut citer ceux conclus avec le monarque nasride Boabdil le Jeune (Mahomet XI) pour la reddition et la capitulation de Grenade (le 25 novembre 1491), ainsi que le document signé avec Colomb (le 17 avril 1492), considéré par certains spécialistes comme le premier document écrit de l’histoire des Amériques.
Les Capitulations de Santa Fe consignent les accords entre les monarques et Christophe Colomb concernant l’expédition aux Indes. Elles constituaient une répartition anticipée entre les deux parties des conditions et des bénéfices qui découleraient de la conquête de l’Amérique. Ce document octroyait ainsi au navigateur génois les titres d’amiral, de vice-roi et de gouverneur général sur tous les territoires qu’il avait découverts ou conquis de son vivant, ainsi qu’un dixième de tous les bénéfices obtenus, désignant ses successeurs comme héritiers à vie. Il lui était également accordé une dîme sur toutes les marchandises trouvées, gagnées et conservées dans les lieux conquis. Ces documents étaient signés par le secrétaire et confident de Ferdinand, Luis de Santángel.

Fresque à Santa Fe sur le mur de clôture d’une résidence de personnes âgées (EPHAD).

Fresque à Santa Fe sur le mur de clôture d’une résidence de personnes âgées (EPHAD).

Fresque à Santa Fe sur le mur de clôture d’une résidence de personnes âgées (EPHAD).

Résidence de personnes âgées (EPHAD), ancien séminaire des redemptoristes, de Notre Dame du Perpétuel Secours.

Décor au bout de l’avenue de l’Amérique (Latine ?) à Santa Fe. Bizarre.

L’aéroport de Grenade en quittant Santa Fe (900 000 passagers par an, dont 60 % pour les Canaries, 20 % Mellila (Maroc), le reste vers Madrid et Barcelone.

Paysage.

Le village de Romilla la Nueva.

Le village de Romilla la Nueva.

Le village de Romilla la Nueva.

Le village de Romilla la Nueva.

Le village de Romilla la Nueva.

Paysage. Champs d’oliviers.

Canal d’irrigation.

Chimeneas.

Chimeneas. Ma pause casse-croûte.

GR 3312. Quand j’ai vu sur la carte que j’allais emprunter des GR, je me suis inquiété, mais non, ce ne sont pas des sentiers de Grande Randonnée, ce sont des Granada Red, le réseau des routes gérées par la province de Grenade.

Castillo de Tarjaja.

Castillo de Tarjaja.

Castillo de Tarjaja.

Paysage vu de Castillo de Tarjaja.

Castillo de Tarjaja.

Castillo de Tarjaja.

Castillo de Tarjaja.

Paysage.

Pompage dans la nappe phréatique avec un moteur alimenté par panneaux solaires.

Pompage dans la nappe phréatique avec un moteur alimenté par panneaux solaires.

Champ d’oliviers, désherbage mécanique, j’ai vu faire.

Je suppose que c’est un élevage de volaille avec une protection contre la grippe aviaire.

Paysage.

Le village d’El Turro.

Paysage.

Le village de Buenavista.

Paysage.

Santa Cruz del Comercio.

Arrivée à l’Alhama de Granada.

Arrivée à l’Alhama de Granada.

Arrivée à l’Alhama de Granada.

Arrivée à l’Alhama de Granada.

Publié dans Non classé | Laisser un commentaire

Espagne – Jour 22 – Découverte de Grenade à pied – environ 8 km

Journée de découverte de Grenade.

Départ 7h30 – retour 12h30

Impossible de visiter l’Alhambra, même au mois de septembre, il faut réserver plus de deux mois à l’avance. Même pour les jardins, il faut s’y prendre au moins trois jours avant.

Grenade se découvre à pied, en particulier le quartier historique de l’Albaycin, quartier tout en pentes très raides, mais déambulation très agréable à pied, dans le calme, sous réserve de ne pas prendre quelques rue étroites, mais circulées.

Demain je reprends la route.

Place de Bib-Rambla.

La cathédrale.

Le Capilla Real. La Chapelle Royale. Elle fut construite sur l’ordre de Ferdinand d’Aragon et Isabelle de Castille car ils voulaient être enterrés dans la ville où avait eu lieu leur plus grande victoire sur les musulmans. En effet, la prise de Grenade met fin à la présence musulmane en Espagne en 1492.

L’hôtel de ville.

L’église Sainte Anne.

En montant vers le mirador Saint Nicolas.

En montant vers le mirador Saint Nicolas.

Saint Nicolas.

L’Alhambra vue du mirador de Saint Nicolas.

Peut-être San Bartolomio.

San Miguel Bajo.

Puerta de Las Pesas, une des portes de l’ancienne fortification de Grenade.

Une petite place dans l’Albaicin, près de l’église San Bertolomé.

Une rue de l’Albaicin.

Une petite place dans l’Albaicin, près de l’église San Bertolomé.

Rue de l’Albaicin.

Portion des vieux remparts de Grenade.

Portion des vieux remparts de Grenade, la Puerta Monaita.

Vue sur le centre-ville de Grenade. L’église au centre, c’est la cathédrale.

Le couvent de Sainte Isabelle

Le couvent de Sainte Isabelle

Le couvent de Sainte Isabelle

Le couvent de Sainte Isabelle

La cathédrale.

La cathédrale.

La cathédrale.

La cathédrale.

La cathédrale.

La cathédrale.

La cathédrale.

La cathédrale.

Le passage de la cathédrale à la chapelle royale.

La cathédrale.

Grand livre de chant ?

La cathédrale.

La cathédrale.

La cathédrale.

La cathédrale.

La cathédrale.

La cathédrale.

La cathédrale.

La cathédrale.

Eglise !

L’entrée dans la faculté de droit.

Un collège privé, San Bartolomé y Santiago.

Notre Dame du Bon Secours.

Notre Dame du Bon Secours.

Notre Dame du Bon Secours.

Notre Dame du Bon Secours. Urne contenant les restes de la bienheureuse Maria Conception (Conchita) Barrecheguren béatifiée par le Papa François en 2023.

la bienheureuse Maria Conception (Conchita) Barrecheguren

Notre Dame du Bon Secours, dans une église péruvienne.

Notre Dame du Bon Secours à Grenade.

Notre Dame du Bon Secours, je ne sais plus où, quelque part dans le monde.

Basilique Saint Jean de Dieu.

San Jeronimo.

San Jeronimo.

Un bâtiment de l’université de Grenade.

Appel à manifester !

Le côté historique de la gare de Grenade.

La gare de Grenade.

Le métro de Grenade devant la gare. Il s’enfonce sous terre un peu plus loin.

La gare de Grenade. Le succès du vélo à Grenade !

Peu de trains … En fait il n’y a que deux lignes, une pour Almeria et une vers Cordoue et Malaga qui se séparent à Antequera. Pour rejoindre Madrid et Barcelone, il faut passer par Cordoue.

La gare de Grenade. Comme en France, filtrage pour accéder au train.

La bibliothèque d’Andalousie.

La décoration de mon auberge de jeunesse à Grenade, superbe !

Publié dans Non classé | Laisser un commentaire

Espagne – Jour 21 – Abrucena – Grenade – 108 km

Très longue étape aujourd’hui, avec de la montagne, mais des pentes très progressives, donc pas de difficultés même si j’ai eu 1250 mètres de dénivelé positif.

Très bel itinéraire sans aucune circulation sauf la traversée de la ville de Guadix et l’arrivée à Grenade qui n’est pas une ville très vélo. La ville est à flanc de montagne à 738 mètres d’altitude avec beaucoup de pentes. Par contre, je n’ai jamis vu autant de cyclomoteurs.

Toute la journée, j’ai croisé des cyclosportifs, plutôt jeunes.

Parti à 7h30, j’arrive à 16h.

Température 14° en partant d’Abrucena, et un vent du nord bien froid, mais qui m’a bien poussé sur le grand plateau en pente descendante qui m’a conduit à Guadix. En fin de journée, j’ai l’impression que le vent avait tourné au sud.

Température 27° en arrivant à Grenade.

Demain, après 5 jours de route sans interruption depuis Carthagène, journée de repos.

En approchant de Finana, ce matin.

Finana

Finana

Tout seul sur cette belle route, comme souvent !

Paysage.

Paysage. Forêt d’éoliennes.

Paysage.

En approchant de Huéneja.

En approchant de Huéneja.

Huéneja.

Huéneja.

Huéneja. La trémie au centre, c’est le lit du torrent, à sec.

Paysage.

Probablement un élevage de porc tout neuf, mais aucune odeur. A mon avis les cochons ne sont pas encore arrivés.

Usine de fabrication (ou d’assemblage, ou d’entretien) d’éoliennes. On aperçoit des nez d’éoliennes.

Pales d’éoliennes.

Le village de Dolar, aperçu de loin, je n’y suis pas passé.

Le village de Dolar.

Le village de Dolar.

En Espagne, on distingue le réseau routier d’Etat, les réseaux routiers des cmmunautés autonomes, les réseaux routiers des provinces (entités administratives en-dessous des communautés autonomes), et celui des municipalités. L’Andalousie est toujours très fier de mettre un grand panneau quand elle a rénové une route.

Et, tout d’un coup, le paysage change !

Alcudia de Guadix.

Alcudia de Guadix. J’y ai fait ma pause casse-croûte, bien assis sur le banc que l’on aperçoit.

Paysage en arrivant à Guadix.

De nombreuses villes sont limitées à 30 km/h !

La cathédrale de Guadix commencée au XVIème siècle et terminée milieu XVIIIème siècle. Elle aurait pu méritée la visite, mais l’étape était trop longue.

Ce doit être Saint Torquat, l’un des sept évangélisateurs de la Bétique (province romaine correspondant à l’Andalousie d’aujourd’hui),

Maison troglodyte.

Paysage et maisons troglodytes.

Paysage.

Paysage en quittant Purullena.

Paysage et maisons troglodytes.

Paysage.

Paysage. Aperçu sur la ville de Graena (je n’y suis pas passé).

Paysage.

Paysage.

La Peza.

La Peza.

La Peza.

La Peza. Hôtel de ville et fin de marché.

La Peza. Lors de la fête de Notre-Dame du Rosaire et du Très Saint Christ de la Miséricorde, célébrée chaque année les 10 et 12 octobre, des courses de taureaux ont lieu des alentours de la ville jusqu’à la Plaza de España, où des corridas ont lieu l’après-midi.

La Peza.

Paysage.

ça sent bon les pins !

Le col de la journée, presque à 1300 mètres.

Paysage en descendant du col.

Le réservoir de Quentar.

Le réservoir de Quentar.

Dans les fossés de l’Alhambra de Grenade.

Dans les fossés de l’Alhambra de Grenade.

Dans les fossés de l’Alhambra de Grenade.

Dans les fossés de l’Alhambra de Grenade.

L’hôtel de Ville de Grenade.

De Toulouse à Grenade, en 18 étapes, Viehla, Tremp, Lleida, Reus, Santa Barbara, Benicassim, Valence, Oliva, Castalla, Alicante, Murcie, Carthagene, Aguilas, Nijar, Almeria, Abrucena, un peu plus de 1500 kilomètres.

Publié dans Non classé | Laisser un commentaire

Espagne – Jour 20 – Almeria – Abrucena – 70 km

Encore un très bel itinéraire aujourd’hui. Je suis retourné dans la montagne. Je suis ce soir à 968 mètres d’altitude dans le parc naturel de la Sierra Nevada, et j’ai longé le parc naturel du désert de Tabernas que ne traverse aucune route, seule la voie de chemin de fer, Alméria-Grenade. Depuis mon entrée en Espagne, j’ai traversé des dizaines de parcs naturels.

Il faisait 23° quand je suis arrivé à Abrucena, il fait 18° à 20h. Le vent souffle, il y a des nuages, mais le ciel est encore largement bleu. Il fera 12° demain matin quand je partirai, cela va changer mes habitudes (21° ce matin à Almeria).

Itinéraire perturbé par une route coupée, signalée coupée, mais ne proposant pas de déviation. J’ai perdu beaucoup de temps à déterminer le nouvel itinéraire en utilisant Google Maps et en croisant ses propositions avec LocusMap. Pas facile sur un smartphone, et je voulais être bien sûr que je n’allais pas retomber sur une autre route coupée.

Je pensais m’être beaucoup rallonger, mais finalement l’analyse faite ce soir montre que non.

Parti à 7h30, je suis arrivé à 15h.

De Abla à Abrucena, il y a 2,5 km environ. Je pensais être arrivé, mais j’ai pris par le centre-ville d’Abla et choisi de rejoindre Abrucena en regardant la carte. Je suis tombé sur des côtes très très raides pour m’extraire du centre-ville (j’ai poussé mon vélo) et pour finir, un escalier avec une dizaine de marches.

Abrucena est un village vraiment très reculé dans la montagne.

Profil prévu – 68 kilomètres – 1370 mètres de dénivelé positif

Profil réalisé – 70 kilomètres – 1435 mètres de dénivelé positif. Pas de grosse différence. 2 kilomètres en plus. 65 mètres de dénivelé en plus et une descente très très raide sur une toute petite route de mauvaise qualité.

La ligne du haut, ce qui était prévu. La ligne du bas, le détour.

Je viens de quitter Almeria par une très longue montée, et je redescends aussitôt !

Paysage vers Alméria. On aperçoit l’hôpital, au fond.

Le village de Pechina.

Le village de Pechina.

Paysage. Au fond une cimenterie Holcim.

Paysage.

Paysage.

Paysage.

Cimenterie Holcim et taureau (je n’ai pas trouvé la signification du taureau, on élève des taureaux en andalousie, mais plutôt du côté de Séville).

Taureau ?

Le village de Rioja. Dans beaucoup de villages, je vois ce genre de fontaine, et les robinets délivrent de l’eau fraîche.

Rioja, pour l’égalité des sexes, tolérance et respect.

La région du fleuve Andarax, origine de la civilisation.

Le village de Gador.

Paysage.

La ligne de chemin de fer, voie unique, Almeria-Grenade, cinq trains par jour, 3 heures de trajet environ (certains trains ne s’arrêtent pas à toutes les gares, absurde) à travers le désert de Tabernas où furent tournés beaucoup de films spaghetti dans les années 1960.

Paysage.

Paysage. Noter les tranchées dans la montagne pour faire passer la route.

Beaucoup de cycliste pour monter jusqu’à Alhama de Alméria (500 mètres d’altitude) par cette jolie route, mais ils n’iront pas plus haut. La route est encore belle plus loin.

Drôle de panneau que je ne vois pas pour la première fois. On met en garde les motos contre les hélicoptères et les drones.

Traversée du Rambla de Huechar, un torrent à sec, affluent du Rio Andarax, fleuve souvent à sec, de 67 kilomètres de long se jetant dans la mer à Alméria.

Site archéologique.

Maison troglodyte à Alsodux.

Paysage.

Alboloduy.

Alboloduy.

Je suis sur un chemin de Saint Jacques de Compostelle, ce n’est pas la première fois. En Espagne, où que l’on soit, on est souvent sur un chamin de Santiago, et ce soir, je dors dans une auberge de peregrinos.

D’où je viens. En bas c’est Alboloduy.

Après être monté dans un désert total, je retrouve une belle allée de pins.

Un vaste plateau du côté de Nacimiento (où je ne suis pas passé).

Un vaste plateau du côté de Nacimiento (où je ne suis pas passé).

Grand parc éolien, mais il ne semble pas encore opérationnel. Il y a du vent et elles ne tournent pas.

Descente sur le village de Dona Maria.

Le village d’Ocana.

Paysage.

La mairie d’Abla.

La rue principale d’Abla.

Arrivée à Abrucena. « No hacen falta alas para volar » (Il n’est pas nécessaire d’avoir des ailes pour voler). Ce mural a été réalisé par l’Association des Femmes El Castillejo et porte un message contre la violence de genre. Il s’inscrit dans une initiative locale pour promouvoir des messages de solidarité et de lutte contre les violences faites aux femmes.

Un café à Abrucena, j’y ai pris une bonne bière et une grande assiette de lapin au riz (tapas pincho).

L’hôtel de ville d’Abrucena.

L’église d’Abrucena.

L’église d’Abrucena.

Plaque à tous les morts pour la liberté.

Plaque en l’honneur des donneurs de sang d’Abrucena.

Place des donneurs de sang.

Une vue depuis la place des donneurs de sang.

Vue sur la Sierra Nevada depuis ma chambre.

Chatte.

Chaton qui m’aide à travailler. J’ai fini par les virer.

Chaton.

Chaton.

La mère et ses petits.

Publié dans Non classé | Laisser un commentaire

Espagne – Jour 19 – Nijar – Almeria – 60 km

Journée très facile, bel itinéraire parcouru d’une seule traite.

Départ 7h30, arrivée 11h00, le temps de parcourir tranquillement la jolie ville d’Alméria (200 000 habitants).

Alméria est la capitale d’une des huits provinces de la communauté autonome d’Andalousie (parmi les 17 communautés autonome d’Espagne, dont la Catalogne, le Valenciana, et la région de Murcie).

Température 21° en partant, 27° en arrivant. La température est montée à 29°.

Etape plus sérieuse demain.

Huerta (maraîchage) du côté de Campohermoso. Campohermoso est une ville créée en 1958 par l’institut national de la colonisation, institut créé en 1939, à la fin de la guerre civile, pour repeupler certaines régions d’Espagne, dans toute l’Espagne. Campohermoso compte aujourd’hui près de 10 000 habitants dans un environnement de serres.

Paysage.

Paysage.

Paysage.

Le village de Fernan Perez.

Vieux moulin à Fernan Perez.

Paysage.

Paysage.

Paysage.

Serre.

Paysage en arrivant à Albaricoques.

Le village de Albaricoques.

Lotissement dans le village de Albaricoques, vue face arrière.

Lotissement dans le village de Albaricoques, vue face avant.

Pylône électrique qui montre comment la nature a été façonnée par l’homme pour créer ces gigantesques espaces de maraîchage.

Pylône électrique qui montre comment la nature a été façonnée par l’homme pour créer ces gigantesques espaces de maraîchage.

Serre en cours de construction.

Petite maison pour garder un secteur de serres.

Suppostion, un espace qui a brûlé il y a quelques années et qui redémarre lentement, du côté de Los Amoladeras.

Albaricoques

Suppostion, un espace qui a brûlé il y a quelques années et qui redémarre lentement, du côté de Los Amoladeras.

Le centre d’interprétation du parc naturel Cabo de Gata-Nijar à Los Amoladeras

En approchant d’Alméria.

L’aéroport d’Alméria, 800 000 passagers par an ! Fonctionnement essentiellement saisonnier, liaisons avec de nombreux pays d’Europe, mais aucune avec la France.

En approchant d’Alméria. la pointe d’El Bobar.

L’arrivée à Almeria par le front de mer. La ville que l’on aperçoit au fond à gauche est au sud d’Alméria, c’est Roquetas de Mar, une grande station balnéaire

L’arrivée à Almeria par le front de mer.

L’arrivée à Almeria par le front de mer.

L’arrivée à Almeria par le front de mer.

à gauche, le Cable Inglés, quai de chargement de minerais, utilisé de 1904 à 1970 pour transporter le minerai de fer des mines d’Alquife, reliant ainsi la gare au port.

le Cable Inglés

le Cable Inglés

Le Cable Inglès.

Vue du Cable Inglès.

Vue du Cable Inglès.

Vue du Cable Inglès.

Vue du Cable Inglès.

La porte de la Mer.

L’église San Pedro.

La place de la Constitution avec l’hôtel de ville et le Monument aux Martyrs de la Liberté.
Ce monument, également connu sous le nom de Monument des Coloraos ou Pingurucho, commémore la Déclaration d’Almería ou Déclaration des Coloraos d’août 1824. Il rend hommage aux libéraux arrivés sur la côte d’Almería et qui s’élevèrent contre l’absolutisme de Ferdinand VII et en faveur de la Constitution de 1812. Ils furent finalement exécutés par le roi le 24 août de la même année. Le monument original a été construit entre 1868 et 1870 et se trouvait à la Puerta de Purchena. En 1900, il fut déplacé sur la Plaza de la Constitución jusqu’à sa démolition sur ordre du conseil municipal franquiste en 1943. L’actuel fut reconstruit en 1988 à la demande populaire.

L’hôtel de ville.

La cathédrale d’Almeria.

La cathédrale d’Almeria (non visitable, en cours de restauration).

Aménagement urbain, on aperçoit le Cable Inglès

La gare d’Almeria.

Publié dans Non classé | Laisser un commentaire