Tro Breizh – jour 6 – Dinan – Saint Brieuc – 70 km + 20 km pour Michel

Longue journée aujourd’hui, même si cela devait être une petite étape.

Grand soleil le matin et température très agréable, mais soleil se couvrant dans l’après-midi et la température baisse.

La sciatique est oubliée. Pas de traitement, ni hier soir, ni aujourd’hui. 5 comprimés de Naproxène, 2 dimanche, 2 lundis et un mardi matin ont suffi pour clore l’épisode.

Départ à 9h, petit tour pour visiter Dinan, ce que Michel a fait hier soir, je préférais ne pas en rajouter pour cette première journée.

Puis nous partons vers Quebriac et Corseul.

Visite de l’église de Corseul. Aperçu d’un site Gallo-Romain, et nous découvrons que Corseul devient à l’époque gallo-romaine, la capitale des Coriosolites (ou Curiosolites), peuple qui frappait monnaie. C’était alors la plus grande ville du grand ouest.

Et nous nous apercevons que nous sommes passés à proximité des restes du Temple de Mars.

Comme l’étape est courte, nous décidon de revenir 2-3 kilomètres en arrière en faisant une petite boucle.

Mais Michel s’est aussi aperçu qu’il avait oublié de la nourriture dans le frigidaire à Dinan et décide après sa visite au temple de Mars de retourner vider le réfrigérateur. Quand on n’a pas de tête, il faut avoir des jambes. On est à 10 km de Dinan … 20 km aller-retour.

Je casse la croûte tranquillement au soleil au Temple de Mars et repart tranquillement à Courseul, puis je continue vers Bourseul. Au passage je vais visiter les ruines du château de Montafilan.

Michel me rejoint alors que je termine une pause à Bourseul, mais lui n’a pas déjeuné. Je le laisse récupérer de son aller-retour à Dinan et part à Plorec sur Arguenon, descente, montée, puis descente sur le lac d’Arguenon et belle remontée sur Pléven (prononcer Plévin, et non Plévennes),

où Michel me rejoint après que j’ai visité l’église.

Nous continuons ensemble vers Lamballe en traversant une forêt domaniale.

Visite de la Collégiale de Lamballe.

Nous arrivons peu avant 18h à Saint Brieuc.

Passage à la cathédrale, mais elle est en grand travaux, et fermé à la visite (à moins que cela soit à cause de l’heure un peu tardive).

Petites courses et arrivée à l’auberge de jeunesse de Saint Brieuc, la Villa Guyomard que je connais déjà pour y avoir séjourné avec des étudiants du département Réseaux et Télécommunications de Blois, il y a quelques année alors que nous avions visité le musée des Télécommunications à Pleumeur-Bodou.

La tour de l’horloge.

La tour de l’horloge.

Le site de la Médiathèque au bout de l’esplanade de la Fratenité.

L’esplanade de la Fraternité.

La basilique Saint Sauveur de Dinan.

La basilique Saint Sauveur de Dinan.

Le château de Dinan.

Le château de Dinan.

La porte du Guet du château de Dinan.

L’église de Corseul.

L’église de Corseul.

L’église de Corseul.

L’église de Corseul.

L’église de Corseul.

L’église de Corseul.

L’église de Corseul.

Le portail de l’église de Corseul.

La mairie et le monument aux morts de Corseul.

Le monument aux morts de Corseul.

Le temple de Mars.

Le temple de Mars à Corseul.

L’accès aux ruines du château de Montafilan.

Ruines du château de Montafilan.

Escalier pour monter dans les restes d’une tour du château de Montafilan.

Escalier pour monter dans les restes d’une tour du château de Montafilan.

Restes d’une tour du château de Montafilan.

Calvaire à La Giendrotais à Corseul.

Église de Bourseul.

Portail de l’église de Bourseul.

En montant vers Plorec sur Arguenon.

En arrivant à Plorec sur Arguenon.

Église de Plorec sur Arguenon.

Mairie de Plorec sur Arguenon.

Le lac (artificiel, lac de barrage) d’Arguenon.

Le lac (artificiel, lac de barrage) d’Arguenon.

Église de Pléven.

Église de Pléven.

Église de Pléven.

Église de Pléven.

Église de Pléven. Pourquoi ces drapeaux ? Signification à rechercher.

Saint Even, statue du XVe siècle.

Arrivée de Michel à Pléven.

Éoliennes, les premières depuis Rennes.

La collégiale Notre-Dame-de-Grande-Puissance à Lamballe.

La collégiale Notre-Dame-de-Grande-Puissance à Lamballe.

La collégiale Notre-Dame-de-Grande-Puissance à Lamballe.

La collégiale Notre-Dame-de-Grande-Puissance à Lamballe.

La collégiale Notre-Dame-de-Grande-Puissance à Lamballe.

La collégiale Notre-Dame-de-Grande-Puissance à Lamballe.

La collégiale Notre-Dame-de-Grande-Puissance à Lamballe.

La collégiale Notre-Dame-de-Grande-Puissance à Lamballe.

La collégiale Notre-Dame-de-Grande-Puissance à Lamballe.

le monuments aux morts de Lamballe.

Lamballe vue de la collégiale Notre-Dame-de-Grande-Puissance à Lamballe.

L’entreprise Le Gouessant à Lamballe, groupe coopératif agricole, plus de 4500 adhérents et 850 salariés en Bretagne et Grand Ouest, spécialisé en nutrition animale et conduite d’élevage.

Site de la Cooperl à Lamballe, groupe coopératif du secteur agroalimentaire, Coopérative des éleveurs de la région de Lamballe (Côtes-d’Armor), spécialisé dans la filière d’exploitation des porcs pour la production de nourriture humaine. Il gère et organise la fabrication de l’alimentation des porcs, leur élevage, leur abattage, la transformation de leurs carcasses en viande porcine, ainsi que leur commercialisation.

Silo d’alimentation d’une porcherie dans une ferme (comme beaucoup d’autres) de la région de Lamballe.

L’embouchure d’un fleuve côtier en baie de Saint Brieuc.

Pont de l’ancienne voie ferrée Yffiniac – Saint Brieuc.

Viaduc de l’ancienne voie ferrée Yffiniac – Saint Brieuc.

La cathédrale de Saint Brieuc.

L’hôtel de Ville de Saint Brieuc.

L’hôtel de Ville de Saint Brieuc et la cathédrale de Saint Brieux se côtoie …

… et en face de l’Hôtel de Ville et de la cathédrale, on trouve le Conseil Départemental au-dessus de la Préfecture.

Conseil Départemental et Préfecture.

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Tro Breizh – jour 5 – Rennes – Dinan – 84 km

Belle journée aujourd’hui, plutôt couvert le matin, ensoleillé cet après-midi.

Ce matin, nous avons repris notre tour de Bretagne en partant de Rennes.

Tram-train de la Chapelle sur Erdre (départ 6h30) à Nantes, puis train de Nantes à Rennes (arrivée 8h20).

Après mon aller-retour à Poitiers, retour qui fut un peu épique, j’ai souffert de ma sciatique pendant deux jours, vendredi et samedi, l’Ibuprofène n’étant pas très efficace comme anti-inflammatoire, remplacé samedi soir par du Naproxène plus adapté.

Le Vidal, base de données des médicaments, accessible sur Internet, donne comme indication

pour l’Ibuprofène :

Douleur arthrosique
Douleur d’intensité légère à modérée
Douleur rhumatismale
Fièvre
Migraine, traitement de la crise (de)

pour le Naproxène :

Affection aiguë post-traumatique de l’appareil locomoteur, traitement symptomatique (de l’)
Arthrose, traitement des poussées aiguës (d’)
Arthrose douloureuse et invalidante, traitement au long cours (de l’)
Douleur au cours des manifestations inflammatoires en stomatologie
Dysménorrhée
Lombalgie, traitement des poussées (dArrivée sur Dinan.e)
Radiculalgie, traitement des poussées (de)
Rhumatisme abarticulaire, traitement des poussées (de)
Rhumatisme inflammatoire chronique, traitement au long cours (du)

De fait je réagis beaucoup plus avec le Naproxène.

Grosse amélioration dimanche et hier lundi, avec arrêt du traitement de la douleur par Doliprane, un antalgique.

et ce matin, état normal. J’ai quand même pris un comprimé d’anti-inflammatoire, et je crois que je ne prendrai pas le deuxième comprimé de la journée, ou au cours de la nuit si la douleur revient, mais la crise paraît passée.

Je ne crie pas trop vite victoire, tant lArrivée sur Dinan.a crise à Poitiers fut inattendue. et brutale.

Route plate toute la journée le long du canal Ille et Rance, mais essentiellement sur du chemin, de très bonne qualité, mais moins roulant que du macadam et demandant plus d’effort.

Parcours parfois un peu monotone, mais jamais très longtemps, on passe vite d’une écluse à une autre et le canal est loin d’être rectiligne.

Trop de photos ce soir pour avoir le courage de les commenter penché sur mon écran. Ce sera pour le document final. Eh bien non ! C’est fait !

Belle côte pour monter à Dinan qui est une très belle ville médiévale perchée sur une colline dominant la Rance.
Arrivée sur Dinan.

La gare de Rennes, très futuriste, très belle. A rendre jaloux les Nantais !

Moulin à Saint Grégoire, banlieue de Rennes.

Moulin à Saint Grégoire, banlieue de Rennes.

Écluse du Haut-Chalet à Betton


Arrivée sur Dinan.

Écluse du Haut-Chalet à Betton

Écluse du Haut-Chalet à Betton

Centre fluvial de Betton.

Écluse à Betton.

Ferme des cousins de Bernadette, la femme de Michel. La maison est en terre, et on verra d’autres maisons en terre dans ce coin de pays.

Saint Germain sur Ille.

Écluse à Saint Germain sur Ille.

L’Ille en parallèle du canal.

Péniches. Toute la journée, nous verrons des péniches au bord du canal. Ces péniches sont « prisonnières » en hiver. Les écluses ne fonctionnent que début avriArrivée sur Dinan.l à fin octobre.

Arrivée sur Dinan.

Trois langues sur ce panneau. Du Français, du Breton et du Gallo. Breton et Gallo ont été reconnues conjointement « langues de Bretagne » par le conseil régional de Bretagne en 2004. Le gallo est en voie d’extinction. Les locuteurs sont généralement âgés et la transmission intergénérationnelle est très faible. Le gallo est considéré comme sérieusement en danger par l’Unesco.


Arrivée sur Dinan.

Pont sur le canal à Saint Germain sur Ille.

Arrivée sur Dinan.

Écluse à Saint Médard sur Ille.

Fresque sous un viaduc imposant, mais simplement pour une petite départementale enjambant l’Ille, le canal d’Ille et Rance et la voie ferrée Rennes-Saint Malo..

Arrivée sur Dinan.

Carrière à Saint Médard sur Ille. Nous avons cassé la croûte au bord de cette carrière en regardant passer les trains.

Le point culminant du canal, on est à la limite des bassins versant de l’Ille (affluent de la Vilaine à Rennes, Vilaine qui se jette dans l’Atlantique) et de la Rance (qui se se jette la Manche). Commune d’Hédé-Bazouges.

Primevère, c’est le Printemps demain. Partout les fleurs éclosent.

Anémones sylvestres.

Le canal en aval de l’écluse de la Ségerie.

Écluse de la Ségerie.

Nos vélos, Michel à gauche, Pierre à droite.

Le secteur de l’échelle des 11 écluses, écluses très rapprchées. Vue vers l’amont.

Le secteur de l’échelle des 11 écluses, écluses très rapprchées. Vue vers l’aval.


Arrivée sur Dinan.

Centre fluvial des 11 écluse en 3 langues.

A la mémoire des travailleurs qui construisirent le canal. Les travaux employèrent presque uniquement des ouvriers locaux, ainsi 1 400 ouvriers sont employés sur le bief de partage. Ces travailleurs locaux effectuent aussi des travaux ruraux. Les journées de travail sont de 10h l’hiver jusqu’à 16h l’été. Quelques dizaines d’insoumis et de déserteurs des armées sont employés de 1806 à 1810. On sait seulement que 292 hommes du 9e bataillon de prisonniers espagnols participent aux travaux. Ils ne restent que 110 jours sur le chantier. La préfecture donne des instructions en ce qui concerne leur tenue et leur nourriture. Certains prétendent que l’on aurait fait venir des bagnards de Brest étant donné la grande pénibilité des travaux par endroits. Les travaux durèrent 28 ans de 1804 à 1832.

Pont au-dessus du canal, pont pas très esthétique. Une passerelle vélo est fixé en encorbellement en parallèle du pont. Quand on veut faire des aménagements vélos, on peut …

L’église de Québriac et son clocher tors, charpente vrillée à la suite d’un mouvement lent et progressif du probablement à l’usage d’un bois insuffisamment sec lors de la construction et aupoids des ardoises.

La mairie de Québriac.

Travaux de consolidation des berges du canal, et on s’aperçoit que le canal n’est pas très profond.

Ecluse ouverte pour vider la portion de canal en amont.

Trévérien.

Evran.

Moulin à Evran, parfois le canal et la Rance ne font qu’un, parfois ils ont chacun leur lit. Ici la Rance se sépare du canal.

Moulin à Evran, parfois le canal et la Rance ne font qu’un, parfois ils ont chacun leur lit. Ici la Rance se sépare du canal.

Village de Calorguen.

Village de Calorguen.

Écluse de Boutron à Calorguen.

Sculpteure à l’écluse de Boutron.

Chute d’arbres en travers du chemin de halage. Par un arrêté en date du 28 février 20024, le Président du Conseil Régional de Bretagne interdit le passage à tous les usagers jusqu’à nouvel avis. Le 19 mars, les arbres sont toujours là. Et si cela avait été une route automobile ? On a du décharger nos vélos, mais comme les autres usagers, piétons et cyclistes, on est passé. Pourtant le conseil régional de Bretagne met des moyens considérables pour l’entretien de ses canaux, mais la cheffe du service « valorisation touristique et développement durable », signataire de l’arrêté, ne doit pas avoir beaucoup de poids par rapport au chef du service d’entretien du chemin de halage…

Vestige du château-fort de Léhon.

Pont sur la Rance à Léhon.

L’abbaye de Léhon.

L’abbatiale de Léhon.

Le portail de l’abbatiale de Léhon.

L’abbatiale de Léhon.

L’abbatiale de Léhon.

Gisant dans l’abbatiale de Léhon.

Gisant dans l’abbatiale de Léhon.

Le cloître de l’abbaye de Léhon.

La mairie de Léhon, village tout en pierre.

Arrivée sur Dinan.

Arrivée sur Dinan.

Les quais de la Rance à Dinan.

Viaduc sur la Rance à Dinan. Une belle côte pour arriver à son niveau, et ce n’est pas fini pour monter jusqu’au centre-ville (par une rue de petits pavés, pas trop inconfortables, mais pavés quand même).

Centre-ville de Dinan.

État de mon vélo en fin de journée au bord du canal, vélo que j’avais nettoyé à fond après la première phase de ce Tro-Breizh, tout propre ce matin après l’aller-retour à Poitiers … Ce n’est pas très gênant, mais cela veut dire aussi que chaîne, plateaux, pignons et dérailleurs sont pleins de sable…

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De Poitiers à Saumur – Jour 2 – le retour – 100 km + 10 km

Je reprends mon bavardage.

Hier je terminais mon message avec « Belle balade au soleil par un temps printanier se terminant par une bonne bière (pour moi) au café préféré de Mireille, L’Envers du Bocal, un bar conserverie culturel de Poitiers ! »

Retour chez Mireille.

Tout va bien, je suis en pleine forme !

Dîner, discussion.

Vers 22h30-23h, il est temps d’aller se coucher. J’ai de la route demain et Mireille travaille.

Dans ma chambre, j’installe mon matelas auto-gonflant, mon duvet, mon appareil respiratoire. Tout va bien.

Je sens une petite douleur à la fesse gauche. Rien de bien méchant et c’est très bref.

Premier sommeil et je me réveille vers 1h du matin.

Mais là je ne peux plus bouger et mon nerf sciatique, du coté gauche, me fait terriblement mal. Une longue nuit de « douleur » commence. J’essaie toute les positions possibles pour calmer cette douleur. Rien à faire.

Finalement je vois qu’en pédalant de la jambe gauche, ça va un peu mieux. Je prends un Doliprane.

Je n’avais pas utilisé le lit pour éviter à Mireille d’avoir une lessive à faire, mais finalement je me dis que je serai peut-être mieux dans le lit.

Effectivement je suis un peu mieux dans le lit, mais je suis obligé de continuer à pédaler …

Je ne dors pas et à 6h17, je me décide à appeler les Urgences. J’appelle le 112, je n’ai pas d’attente, première questions, puis on me passe le Samu, nouvelles questions, puis on me passe le médecin régulateur.

Nouvelles questions.

Mon urgence ne relève pas tout à fait du Samu, je pourrai venir aux urgences, mais ce serait pour attendre longtemps, après le traitement des autres urgences de la nuit. Il me propose de m’orienter vers le CMSI (Centre Médical de Soins Intensifs) de Poitiers, il les contacte et doit me rappeler pour donner une heure de rendez-vous dans la matinée (il ne me rappellera jamais). En attendant je peux regarder dans la pharmacie familiale et prendre du Tramadol ou du Paracétamol codéïné. OK

L’appel a duré 13 minutes.

Mireille dort encore. Inutile de la réveiller.

J’étudie comment me rendre au CMSI. Mireille, pure écolo n’a pas de voiture. Dans l’état où je suis, il me paraît tout à fait impossible d’y aller à vélo. Le médecin m’a dit que c’est à 3-4 kilomètres.

Mais c’est à vol d’oiseau, dans les faits c’est à 7 km, me dit Mappy, je suis au sud de Poitiers et le CMSI est au nord.

J’étudie l’option taxi. 54 € pour faire 7 km ! et il faudra revenir, et cela ne résoudra pas grand’chose, car l’objectif est de rentrer sur Nantes où je pourrais me soigner (ou me faire soigner) dans de meilleures conditions.

J’appelle la Macif à 6h50 pour demander un rapatriement sanitaire. Ok sur le principe, mais normalement il faut un avis médical, on peut peut-être dérogé, le service médical de la Macif va me rappeler.

Mireille se lève, je l’informe de ce qui m’arrive, elle prépare un bon café. Bien sûr elle n’a dans sa pharmacie, ni Tramadol, ni Paracétamol codéïné.

Je remballe péniblement mes bagages, j’enfile par dessus ma tenue de nuit, un pantalon et une chemise, incapable de faire plus.

Nous prenons le café.

7h46, j’appelle mon médecin d’urgence préféré pour lui demander une ordonnance de Tramadol. Pas question, le tramadol, c’est plutôt un poison à base de morphine qui crée une accoutumance, après les patients ne peuvent plus s’en passer.

Finalement, après discussion, il me prescrit de l’Ibuprofène comme anti-inflammatoire.

Mireille se prépare à partir à la pharmacie.

Pendant qu’elle se prépare, je monte sur mon vélo et fais un essai de roulage. Je suis bien, très bien même.

Du coup, je charge mon vélo dans l’objectif d’aller à la gare prendre un train et nous partons à la pharmacie la plus proche de chez elle, mais déjà assez loin avec des côtes. Je suis bien, très bien.

Manque de chance, nous arrivons à 8h39 à la pharmacie qui n’ouvre qu’à 9 heures.

Nous repartons vers une autre pharmacie.

8h49. Nous roulons. La Macif me rappelle pour me confirmer qu’il me faudra un avis médical avant de pouvoir bénéficier d’un rapatriement sanitaire. Comme je me sens bien sur le vélo, j’annule ma demande de rapatriement sanitaire.

Deuxième pharmacie. Je récupère ma boîte d’Ibuprofène et prends un comprimé.

Comme je suis bien sur mon vélo, je décide de rejoindre Saumur à vélo comme prévu !

Bises à Mireille et me voilà parti par une grande côte longue et étroite pour remonter sur le plateau au nord de Poitiers (comme je l’ai déjà dit, Poitiers, c’est pas tout plat).

Je fais 25 kilomètres. Première pause, après Champigny le Sec, pour me changer (je suis encore en « pyjama », pas du tout dans ma tenue vélo, je suis trempé de sueur) et casser la croûte. Aucune difficulté pour me changer, ou pas trop; en roulant, la sciatique est beaucoup moins douloureuse.

Pendant cette pause, arrive un gros tracteur qui se met à arroser le champ voisin. La cabine doit être en surpression, le conducteur n’a aucun appareil de protection.

Deuxième pause à Saint Léger de Montbrillais. Il me reste 25 kilomètres à faire et une heure et 40 minutes pour rejoindre Saumur et prendre le train de 16h36.

Petite erreur de parcours qui me rallonge, mais je suis à 16h25 à la gare.

Vite sur le quai ! Hier matin le train était arrivé sur le quai B, mais j’étais sorti facilement avec le vélo chargé grâce à deux ascenseurs, un pour descendre dans le souterrain, un pour remonter.

Logiquement (dans ma logique), le train aurait du partir du quai A. Ben non ! C’est le quai D.

Je descends dans le souterrain par l’ascenseur. Pas de problème !

Mais l’ascenseur pour remonter est en panne !

Déchargement du vélo. Premier tour pour monter les bagages par l’escalier, deuxième tour pour monter le vélo.

Pas si facile avec une bonne sciatique, mais je suis chaud.

Le train arrive. Je monte le vélo et les bagages avec une double marche pour les emplacements vélo de ce TER (Ter à étage, composé de 3 courtes rames, mais chaque rame peut transporter 10 vélos (bravo !) soit 30 vélos par train.

J’en oublie de prendre mon billet.

Vite, vite, je prends un billet à 16h45 pour un train parti à 16h36. Un peu limite !

Bien arrivé à Nantes et 10 kilomètres de vélo pour rejoindre La Chapelle sur Erdre.

La journée se termine bien, mais j’ai annulé mon inscription au brevet Audax 150 km.

Passage à Villiers au retour (mais lors d’un apéro le lendemain de mon arrivée, chez Dominique, il m’apprendra que son Villiers, ce n’est pas celui-là, mais un autre au sud de de Poitiers, son Villiers n’est pas une commune, mais un lieu-dit de la commune de Brux).

Calvaire en quittant Champigny le Sec. Un endroit propice pour faire une pause et se changer dans une vaste plaine avec des champs à perte de vue.

Tracteur arrosant …

Hangar à machines agricoles à Saint Jean de Sauves, la couverture est entièrement faite de panneaux solaires photovoltaïques.

Le site de Terrena à Saint Jean de Sauves. Certains des silos sont destinés au stockage de céréales bio.

Une autre vue que celle d’hier de l’église romane Notre-Dame de Chasseignes (XIIIe et XIVe siècles) à Mouterre-Silly. L’édifice a été classé au titre des monuments historique en 2014.

Le château de la Fuye à Mouterre-Silly.

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De Saumur à Poitiers – Jour 1 – 100 km

Profitant de l’invitation de Mireille, sociétaire Railcoop, rencontrée au cours du Grand Défi, et préparant un brevet Audax 150 km ce samedi, après le brevet Audax 100 km passé samedi dernier, j’ai fait un aller-retour à Poitiers, en prenant le train de Nantes à Saumur et le vélo de Saumur à Poitiers.

Train à 7h12 à Nantes.
Arrivée 8h11 à Saumur 8h17.

Toute la journée, c’est le plaisir d’admirer toute l’architecture des édifices en pierre de tuffeau.

Parcours bien agréable au début en longeant la rivière Thouët.

Beaucoup plus monotone après en traversant ce qui devait être du vignoble, aujourd’hui très remplacé par des champs de céréales à perte de vue.

Temps clair, température agréable, fraîche le matin, mais un vent de face, léger, mais pas négligeable.

Première pause casse-croûte à Curcay sur Dive où je passe par erreur de parcours. La trace GPX calculé par B-router évitait ce village en prenant un raccourci. Cela aurait été dommage de manquer Curcay.

Deuxième pause casse-croûte à Champigny le Sec où je visite la très belle église.

Arrivée chez Mireille à 16h, en pleine forme.

Petite douche, et nous repartons à vélo découvrir la ville de Poitiers.

Poitiers, c’est pas tout plat !

Belle balade au soleil par un temps printanier se terminant par une bonne bière (pour moi) au café préféré de Mireille, L’Envers du Bocal, un bar conserverie culturel de Poitiers !

Le château de Saumur.

Chapelle à Artannes sur Thouët.

Maison à Artannes sur Thouët.

Traversée du Thouët à Saint Just sur Dive.

Manoir à Meigné, commune de Bellevigne-les-Châteaux, voisine de celle de Montreuil-Bellay.

Église de Saint Léger de Montbrillais.

La route touristique du vignoble (AOP Saumur) en Pays du Loudunais à Saint Léger de Montbrillais.

Maison de pierre aux Trois-Moutiers avec une cabane perchée.

Reste d’habitat troglodytique à Curcay sur Dive.

Le donjon de Curçay-sur-Dive, l’un des derniers vestiges de l’ancien château fort, élevé en 1350.

Le donjon de Curçay-sur-Dive, l’un des derniers vestiges de l’ancien château fort, élevé en 1350.

L’église de Curçay sur Dive.

Vieux Pressoir à Ranton.

L’église de Glénouze.

L’église de Ranton.

Maison à Arçay.

L’église romane Notre-Dame de Chasseignes (XIIIe et XIVe siècles) à Mouterre-Silly. L’édifice a été classé au titre des monuments historique en 2014.

Beurk …

Monuments aux morts et église de Martaizé.

Modeste chapelle Notre Dame de Bonne Aide entre Saint Clair et Saint Jean de Sauves.

Équipement culturel à Saint Jean de Sauves.

Église de Saint Jean de Sauves.

Vieux moulin à Bellien (commune de Mazeuil).

L’église Notre Dame de Champigny le Sec. L’horloge a été installée en 1848 par son maire, hautement célèbre, Félix Jarassé, ce devait être une belle personnalité ! ! !

Église de Champigny le Sec.

Chapiteau roman du XIIe siècle, deux griffons à tête humaine encadrant deux têtes d’oiseaux au centre, église de Champigny le Sec.

Chapiteau roman du XIIe siècle, église de Champigny le Sec.

Église de Champigny le Sec.

Marie, Reine du très Saint Rosaire, église de Champigny le Sec.

Marie, Reine du très Saint Scapulaire. Le scapulaire, c’est l’habit des moines. Pour en savoir plus sur le scapulaire.

Non identifié. Ce doit être une statue de la vierge. Église de Champigny le Sec.

Monuments aux morts dans l’église de Champigny le Sec.

Vierge à l’enfant du XVIIIème siècle, Église de Champigny le Sec.

Saint Philibert, Église de Champigny le Sec.

Monuments aux morts de Champigny le Sec.

Passage à Villiers, par hasard, pensée pour mon ami Dominique !

Le pont au-dessus de la gare de Poitiers, pont permettant d’accéder au cœur de la ville.

Le silo à bagnoles de la gare de Poitiers.

Petit passage sympa en bordure de la voie ferrée. Attention, un piéton et un vélo ont du mal à se croiser ! Itinéraire d’accès d’un quartier sud au centre de ville de Poitiers.

L’hôtel de ville de Poitiers.

La Collégiale Notre-Dame-la-Grande de Poitiers.

La Collégiale Notre-Dame-la-Grande de Poitiers.

Un bâtiment de l’Université de Poitiers.

La grande salle du Palais des comtes de Poitiers-ducs d’Aquitaine. Cette salle a toute une histoire. Elle fut utilisée jusqu’en 2019 comme « salle des pas perdus » du palais de justice de Poitiers.

Reproduction en plâtre dans la grande salle du Palais des comtes de Poitiers-ducs d’Aquitaine, espace aujourd’hui dédiée à la rencontre entre les habitantes et habitants, la valorisation de projets artistiques, de pratiques culturelles et de tout type d’événement.

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Tro Breizh – jour 4 – Redon – Rennes – 90 km

Ce matin là, je n’ai jamais vu Michel si pressé de partir. Il ne fallait pas rater le train de 16h36 à Rennes pour rentrer sur Nantes. Le suivant était à 18h36 !

Il fait à peine jour en partant.

Très bel itinéraire, un peu de pluie au départ, mais rien de méchant.

Voie cyclable en bord de Vilaine parfois inondée, c’est ainsi que de Brain sur Vilaine à Sainte Anne sur Vilaine, nous prenons la route ce qui n’est pas plus mal, moins de monotonie, des montées et des descentes pour varier le rythme, passage dans de beaux villages, en particulier Langon, le clocher de son église et sa chapelle Sainte Agathe.

Retour en bord de Vilaine.

Passage à

  • Guipry-Messac
  • Pléchâtel, pause casse-croûte au niveau de la gare, au pied du village de Saint Malo de Phily
  • Bourg des Comptes
  • Bruz

Nous sommes vers 15h à Rennes, et nous avons le temps de faire un petit tour à vélo Place de la République, place de la Mairie, et du côté du Thabor et de l’église Notre Dame en Saint Melaine, la place Hoche, la place Sainte Anne, la rue Saint Michel (dite rue de la Soif) avant de rejoindre la très belle et très futuriste gare de Rennes.

Le train est direct sans arrêt de Rennes à Nantes, longeant la Vilaine de Rennes à Redon. Dans le train, nous revoyons donc tout notre parcours de la journée. Autrefois, les trains Rennes-Nantes n’étaient pas directs, il fallait changer à Redon. Aujourd’hui, la ligne est directe, un contournement a du être réalisé depuis, mais peut-être existe-t-il depuis longtemps, peu-être depuis toujours, je n’ai pas trouvé trace de sa création.

Il faut savoir aussi qu’il y a deux possibilités de relier Nantes à Rennes par le train :

  • via Redon, la liaison la plus longue
  • ou via Châteaubriant, la liaison la plus courte

mais à Chateaubriant, la ligne est volontairement découpée en deux tronçons, l’un vers Rennes, l’autre vers Nantes, un bout de quai les séparant, et bien sûr, il n’y a pas de synchronisation des horaires de train entre la région Bretagne et la région Pays de la Loire, la rivalité Nantes-Rennes est tenace (dans la tête de nos aménageurs) !

Dommage pour les habitant des communes du nord de Nantes qui pourrait avoir une liaison plus rapide vers Rennes que de passer par Nantes.

Le bord de la Vilaine en quittant Redon. On aperçoit ,au fond, le viaduc de la Belle Anguille, contournement de Redon par la route Rennes-Pontchâteau-Saint Nazaire.

Petit pont routier en amont de Redon pour une route très secondaire.

Bord de la Vilaine.

L’église Saint-Melaine à Brain-sur-Vilaine. Saint Melaine, environ 456-530, né à Brain sur Vilaine, fut évêque de Rennes à partir de 505.

L’église Saint-Melaine à Brain-sur-Vilaine.

L’église de Langon. Émulation entre communes voisines ? Qui aura le plus beau clocher ?

La Chapelle Sainte Agathe à Langon, bâtiment construit au IVe siècle, il est converti en chapelle au haut Moyen Âge dédiée à saint Vénier. C’est l’un des rares bâtiments gallo-romains subsistant en Bretagne.
La chapelle a été classée monument historique par la liste de 1840 (Prosper Mérimée). C’est ainsi un des mille premiers monuments historiques classés en France et un des quatre situés à l’époque en Ille-et-Vilaine

La Chapelle Sainte Agathe à Langon, bâtiment construit au IVe siècle, il est converti en chapelle au haut Moyen Âge dédiée à saint Vénier. C’est l’un des rares bâtiments gallo-romains subsistant en Bretagne.
La chapelle a été classée monument historique par la liste de 1840M 1,M 2. C’est ainsi un des mille premiers monuments historiques classés en France et un des quatre situés à l’époque en Ille-et-Vilaine

Marcheurs à Sainte Anne sur Vilaine. Interpellés sur l’inondation éventuelle de la berge, ils nous répondent que le passage est possible.

Le château de Port de Roche à Sainte Anne sur Vilaine, construit de la fin du XVIIe au début du XVIIIe siècle.

Viaduc de la voie ferrée de Rennes à Redon.

Bord de Vilaine.

Bord de Vilaine.

En arrivant sur Guipry-Messac, la Vilaine déborde largement, mais le contournement est facile, il suffit de partir à gauche pour reprendre la route principale.

L’ancienne minoterie sur la Vilaine à Guipry-Messac.

École de kayak dans le lit de la Vilaine au niveau de l’ancienne minoterie.

Monument à la mémoire du voyageur méprisé devant la gare de Guipry-Messac.

Le voyageur méprisé.

Boîte aux livres devant la gare de Guipry-Messac.

L’église de Messac.

L’église de Saint Malo de Phily vue de la gare de Pléchâtel (Nous n’y monterons pas).

Moulin de la Molière à Pléchâtel.

Moulin de la Molière à Pléchâtel.

Cyclistes en bord de Vilaine et franchissement d’une zone inondée en roulant dans l’eau mouillant nos chaussures.

Non identifié.

Moulin sur la Vilaine à Bourg des Comptes.

Moulin sur la Vilaine à Bourg des Comptes.

Écluse de la Bouëxière.

Le moulin du Boël.

Le moulin du Boël.

Le pont sur la Vilaine entre Pont Péan et Bruz.

Arrivée au cœur de Rennes en bord de Vilaine.

La cathédrale Saint Pierre vue du bord de la Vilaine.

Le Palais du Commerce, place de la République, à Rennes (à ne pas confondre avec le parlement de Bretagne, beaucoup plus ancien, confusion que je fais encore).

En gare de Rennes, l’attente du train pour Nantes à 16h36.

Vélos bien installés dans le TER pour Nantes.

La configuration des lignes de chemin de fer à Redon. De la gare de Redon, on peut aller à Rennes au nord, Vannes à l’Ouest, Nantes au sud. Dans la pratique, le train est direct de Nantes à Rennes en 1h16 sans arrêt à Redon (en shuntant la ville), faute d’une gare à Saint Nicolas de Redon. Un peu dommage !

Les lignes de chemin de fer entre Rennes et Nantes, c’est plus court par Châteaubriant (120 km) que par Rennes (140 km).

La configuration de la gare de Châteaubriant. Vers Rennes au nord, vers Nantes au sud, et un bout de quai pour isoler les deux lignes.

Notre tour de Bretagne devrait reprendre le mardi 19 mars en commençant par un trajet en train de Nantes à Rennes.

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Tro Breizh – jour 3 – Pénestin – Redon – 64 km

Petite étape aujourd’hui, hasard des hébergements, mais pas si facile que ça, l’itinéraire utilise la véloroute 42 qui permet de rejoindre Rennes à partir du barrage d’Arzal, et cette V42 utilise largement des chemins de qualité, mais non goudronnés, c’est moins roulant.

Pluies abondante dans la nuit, averse au départ, mais, à part une grosse averse à Rieux, nous roulerons sans pluie.

Passage à

  • Tréhiguier
  • Camoël
  • Barrage d’Arzal, barrage qui a 3 fonctions, créer une réserve d’eau douce en évitant les remontées d’eau salée dans la Vilaine lors des marées, réguler l’écoulement de la Vilaine diminuant le phénomène de crues, la rendre navigable pour la navigation de loisir. Et comme il faut toujours être le plus de quelque chose, c’est le plus grand barrage estuairien d’Europe !
  • Férel dont nous contournons le bourg sans y entrer,
  • La Roche-Bernard,
  • Nivillac,
  • Rieux où nous subirons une grosse averse, heureusement plus ou moins abrité par l’église, Rieux qui existait déjà dans l’antiquité, située sur la voie romaine Vannes-Blain. Un pont en bois permettait de traverser la Vilaine. Au moyen-âge la traversée était soumise à des taxes allant de 1 denier pour un mouton à 20 deniers pour une charrette remplie de marchandises.
  • Saint Nicolas de Redon

pour arriver à Redon dont j’ai du mal à reconnaître le centre-ville dont j’ai assez bien en tête une image datant d’un dernier passage.

En fait, depuis cette époque, la place du centre-ville a été creusée pour créer un passage routier sous la voie de chemin de fer Redon-Rennes en supprimant le passage à niveau.

Ceci m’est confirmé lors de mon retour à la maison et en recherchant dans mes archives photos, mon passage datait de 1984 (il n’y a que quarante ans …) lors de notre passage (mon frère François et moi) sur la route de Roscoff pour prendre le bateau pour l’Angleterre et découvrir le Pays de Galles avec mon fils Erwan, presque 4 ans, sur le porte-bagage.

Le bord de mer en quittant Pénestin.

Vue en arrière vers Pénestin, il fait beau, mais les averses du début de matinée ont laissé des traces.

Le vieux phare de Tréhiguier.

Le port de Tréhiguier.

Ostréiculture à Tréhiguier.

L’église de Camoël.

Coiffeur à Camoël.

Le barrage d’Arzal.

Une vanne du barrage d’Arzal.

L’écluse du barrage d’Arzal.

La Croix du Grand Moulin à Férel. Le revêtement de la V42 dans ce secteur est de très bonne qualité, mais ce n’est pas du bitume, c’est du gravillon, moins roulant, et surtout salissant beaucoup les vélos par temps de pluie comme aujourd’hui, avec dépot de sable sur toute la transmission (chaîne, plateaux, pignons).

L’étier de la Coulée du Bourg à Férel.

Vue sur La Roche Bernard et son pont.

Le pont de La Roche Bernard, en arrière-plan, on aperçoit le pont de la voie express Nantes-Brest, pont appelé pont du Morbihan. Sous le pont de La Roche Bernard, on voit les piles du pont détruit en 1944.

Vue sur La Roche Bernard et son pont.

Bord de la Vilaine à La Roche Bernard.

Bord de la Vilaine à La Roche Bernard.

Bord de la Vilaine à La Roche Bernard.

La Roche Bernard.

La Roche Bernard.

La Roche Bernard.

L’église de Nivillac.

Les bords de la Vilaine entre Nivillac et Rieux.

Le pont (d’après Par A.m5 — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=63813791) qui, au moyen âge, permettait de traverser la Vilaine de Rieux à Fégréac.

L’église de Rieux.

L’église de Rieux.

Tableau dans l’église de Rieux.

Tableau dans l’église de Rieux.

Bannière de procession dans l’église de Rieux.

Partie de l’ancien autel de l’église de Rieux.

L’écluse du Bellion, point de rencontre du Canal de Nantes à Brest et de la Vilaine en amont de Redon.

L’écluse du Bellion.

La maison de l’éclusier du Bellion.

Le canal de Nantes à Brest en parallèle de la Vilaine de l’écluse du Bellion à Redon. Historiquement, du temps de la marine à voile, selon le vent et la marée, les bateaux remontant la Vilaine utilisaient soit la Vilaine, soit le canal pour atteindre Redon.

Tour Nord et Tour de la Croisée de l’Abbatiale Saint-Sauveur, vues du cloître de l’abbaye Saint Sauveur.

Le cloître de l’abbaye Saint Sauveur et la Tour de Croisée de l’abbatiale.

La Tour de Croisée de l’Abbatiale Saint-Sauveur, romane, datant probablement du milieu du XIIe siècle.

La Tour Nord de l’Abbatiale Saint-Sauveur, vue du cloître de l’abbaye Saint Sauveur.

La Tour Nord de l’Abbatiale Saint-Sauveur, séparée de la nef.

La Tour Nord, gothique de l’abbatiale Saint-Sauveur, clocher gothique datant probablement de 1341, seule partie édifiée dune façade monumentale jamais terminée.

La Tour de Croisée, L’hôtel de ville et la Tour Nord de l’abbatiale Saint Sauveur, vues de l’autre côté de la voie ferrée Redon-Rennes.

Mon frère François devant le centre de Redon en 1984.Aujourd’hui la place n’existe plus, c’est une voie d’accès pour passer sous la voie ferrée.

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Tro Breizh – jour 2 – Trignac – Pénestin – 84 km

Très belle étape aujourd’hui.

Beau temps se couvrant en fin d’après-midi, et il a fallu sortir la cape.

Depuis Saint Nazaire, on a longé la côte, souvent au plus près.

Passage :

  • au pied du phare de Kerlédé,
  • à Saint Marc et sa plage immortalisé par le film de Jacques Tati « Les Vacances de monsieur Hulot »,
  • La Baule-Escoublac, toujours raccourci en « La Baule »,
  • la ville médiévale de Guérande et ses marais salants,
  • La Turballe
  • Piriac
  • Mesquer
  • Saint Molf

et pour finir Pénestin où nous arrivons vers 16h30,

mais notre logeur nous fait une blague, il devait être là à notre arrivée. Personne. Téléphone sur répondeur. Et c’est finalement vers 18h30, alors que, gelés, nous nous sommes réfugiés au café voisin, qu’il arrive pour nous ouvrir le boîtier de clés dont il ne nous avait pas donné le code !

En attendant, j’en avait profité pour aller découvrir le cimetière et la tombe du coureur cycliste « Petit-Breton » ainsi que l’église que je trouvais très laide de l’extérieur, mais en y entrant, elle n’est pas si mal.

Beau gîte tout neuf où nous avons dégusté des pâtes préparés par Michel pendant que je m’occupais de rédiger l’article sur la 12e journée du Grand Défi Railcoop de Saint Germain des Fossés à Roanne.

Le remblai de Saint Nazaire, vue vers le Nord.

Le remblai de Saint Nazaire, vue vers le Sud.

Le monument commémorant le débarquement des Américains le 26 juin 1917. Inaugurée en 1926, le Monument américain, aussi surnommé le Sammy ou même le « soldat de la Liberté », commémore l’arrivée des troupes américaines à Saint-Nazaire, à partir de 1917. Détruit par l’occupant allemand en 1941, le monument est reconstruit à l’identique en 1989, grâce à une souscription franco-américaine. La statue monumentale, un aigle en bronze qui porte sur son dos un soldat américain brandissant une épée, a été réalisée grâce à la société new-yorkaise « Saint-Nazaire Association of Base Section 1 » et elle est l’œuvre de l’artiste américaine Gertrude V. Whitney (1875 – 1942).

Les pêcheries de Saint Nazaire pour la pêche au carrelet.

Le pont de Saint Nazaire au-dessus de l’estuaire de la Loire.

Le bout de la plage de Saint Nazaire.

Le phare de Kerlédé à Saint Nazaire.

La plage de la Baule

Le remblai de La Baule.

Le casino de la Baule.

La voie verte La Baule – Guérande sur une ancienne voie de chemin de fer.

Dans la Collégiale de Guérande, au pied de l’autel, pour symboliser que c’est la période du Carême.

La crypte de la Collégiale de Guérande..

Gisants dans la crypte de la Collégiale de Guérande..

Le port de plaisance et la Criée de la Turballe.

Un des bateaux du Parc Eolien en Mer de Saint Nazaire. Le « Moti’Vent »

Piriac sur mer.

Piriac sur mer.

Piriac sur mer.

Piriac sur mer.

Piriac sur mer.

Plage à Piriac sur mer.

Maison dans le village de Mesquer.

Le port de Kercabellec.

Vieux moulin du côté de Saint Molf.

Ostréiculture à Pénestin.

La tombe du coureur cycliste « Petit-Breton » dans le cimetière de Pénestin.

Intérieur de l’église de Pénestin.

Dans l’église de Pénestin.

Dans l’église de Pénestin, on est moderne pour faire la quête !

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Tro Breizh – Premier jour – Nantes – Trignac – 95 km

Je commence à mettre en ligne aujourd’hui le début d’un tour de Bretagne commencé le mercredi 28 février.

Quel retard par rapport à mon article quotidien habituel au jour le jour de mes voyages à vélo !

Raison simple : rédiger un article prends du temps et pendant que nous roulions en Bretagne, le Grand Défi Railcoop se poursuivait le long de la ligne de train Bordeaux-Lyon et je tenais à continuer la rédaction de cette aventure sur mon blog, mes articles étant fort appréciés par leurs participants et devenant un outil de communication complémentaire du Facebook de cet évènement.

Difficile d’écrire deux articles le même jour, et il aurait été dommage de mélanger deux évènements, Le Grand Défi Railcoop et ce Tro Breizh.

Mais le Grand Défi s’est terminé le 2 mars et nous sommes le 10 mars, j’aurai pu commencer plus tôt à raconter ce Tro Breizh.

Oui, mais quand je termine un voyage, j’aime bien concaténer mes articles pour en faire un fichier PDF plus agréable à parcourir pour revivre le voyage que la succession d’articles, et surtout, plus facile à conserver à long terme.

En rentrant de ce Tour de Bretagne, j’ai donc commencé à mettre en forme le journal du Grand Défi Railccop en l’enrichissant des nombreuses contributions proposées par les participants de cette aventure.

Travail en cours non terminé. Mais hier matin, en me levant, j’ouvre ma messagerie et je trouve un courrier « A vélo, Tour en Bretagne, Etape 1 le 28 février ».

Je ne comprends pas ! Je n’ai pas encore commencé mon blog !

Il a fallu que j’ouvre le courrier pour comprendre.

Michel a repris sa merveilleuse plume !

Plume que je vous avais caché lors de notre voyage à Istanbul.

Je suis un peu jaloux de son écriture, très poétique alors que je suis très factuel.

Mais, du coup, cela me mets la pression pour démarrer mes articles sur ce Tro Breizh pour ne pas être trop en décalage avec son blog.

Après ce premier bavardage, je commence donc mon article sur cette première journée.

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D’abord, pourquoi ce Tro Breizh ?

Initialement, au cours de l’été, à notre retour d’Istanbul, j’avais organisé une virée alpine de La Chapelle sur Erdre à Nice en passant par Roanne, puis les grands cols alpins. La première partie me permettant de reprendre le rytme avant d’attaquer les cols.

Mais au moment de partir, nous étions en pleine phase de canicule, sauf en Bretagne. Je modifiais mon projet et décidais de faire un tour de Bretagne avant de prendre le train pour Roanne et attaquer directement les cols.

Le 19 août, je commençais donc mon tour de Bretagne, de la Chapelle sur Erdre à Carentoir 109 km, voyage en camping.

Ayant mal récupéré de l’attaque d’un virus ou d’une bactérie, probablement à la fin de notre voyage de retour d’Istanbul, 15 jours de fièvre traité uniquement par Paracétamol, sous surveillance médicale par le CHU de Nantes, les analyses n’ayant pu déterminé les origines de la fièvre,

mais aussi, n’ayant pas roulé depuis la fin juin, je manquais totalement d’entraînement (Initialement je devais faire avec mon petit-fils Thomas, un voyage à vélo de Nantes à Angers, mais c’était pendant ma maladie).

Quoiqu’il en soit, quand j’arrivais à Carentoir le 19 août, j’étais bien fatigué, et après une nuit de mauvaise récupération, je décidais de faire demi-tour et rentrais directement à La Chapelle sur Erdre, organisant différemment mes activités d’Automne.

Sans vélo !

Mais j’ai bien retenu la leçon. J’ai repris progressivement l’entraînement vélo le 26 décembre, 6 mois après notre retour d’Istanbul le 25 juin. Et j’ai pu enchaîner début janvier avec un tour du bocage vendéen, puis fin janvier, une route de Valence à Roanne à travers les Monts du Lyonnais.

Aujourd’hui après le défi Railcoop, je suis en pleine forme, mais je veille à continuer de rouler entre mes voyages.

Autant, quand on est jeune, partir en voyage à vélo ne demande pas de préparation physique particulière, autant en vieillissant, il vaut mieux y aller doucement.

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et je continue à bavarder …

Un Tro Breizh, c’est quoi ?

Le Tro Breiz (sans h car le nom est fixé au XIXe siècle avant l’apparition d’une orthographe normalisée du breton), qui en breton signifie « tour de Bretagne », est un pèlerinage catholique qui relie les villes des sept saints fondateurs de la Bretagne. Ces sept saints sont, selon une construction tardive, à la fois littéraire et hagiographique, des moines venus du pays de Galles et de la Cornouailles britannique vers les Ve et VIe siècles, apportant le christianisme en Armorique et y fondant les premiers évêchés.

Les sept villes étapes du Tro Breiz sont :

Saint-Malo fondée par saint Malo (ou Maclou),
Dol-de-Bretagne fondée par saint Samson
Saint-Brieuc fondée par saint Brieuc
Tréguier fondée par saint Tugdual
Saint-Pol-de-Léon fondée par saint Paul Aurélien
Quimper fondée par saint Corentin
Vannes fondée par saint Paterne (ou Patern)

Pour moi, dans mon Tro Breizh, avec un « h », je ne mets aucune connotation de pèlerinage, mais une découverte d’un élément de la culture bretonne.

Michel m’a rejoint dans cette aventure, et c’est avec grand plaisir que nous allons rouler à deux, pas sous tente en hiver, en hébergements, tous réservés avant de partir, ce qui, comme d’habitude, rigidifie notre voyage, mais nous libère de la contrainte de chercher tous les jours un hébergement pour le soir. Cela permet aussi d’avoir les meilleures opportunités de réservation (rapport qualité/prix/éthique).

Dans ce Tro Breizh, nous ne longerons pas la côte Nord de la Bretagne, nous l’avions fait en mars 2022, de Saint Malo à Brest

Nous allons rester à l’intérieur des terres.

Nous ne repasserons pas à Saint Malo, Tréguier et Saint Pol de Léon.

Nous devrions passer par Dol de Bretagne, Saint Brieuc (Nous y étions déjà passé, sans entrer et visiter la ville),

Puis nous longerons la côte sud en passant par les évêchés de Quimper et Vannes

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Mercredi 28 février, nous prenons la route.

L’itinéraire choisi pour rejoindre Rennes est basé sur une idée de voyage proposée par mon camarade Jean-Claude B., cycliste à l’ACC cyclisme, le club vélo-sportif local avec qui je m’entraîne de temps en temps en semaine, entre deux voyages : Carnet de voyage Traversée moderne d’un vieux pays à vélo

Itinéraire librement adapté, car au lieu de partir par le Sud-Loire et de traverser la Loire sur le pont de Saint-Nazaire, Michel préfère ne pas se risquer sur le Pont de Saint Nazaire. Une navette en bus fonctionne en période estivale. En hiver, c’est faisable en vélo, mais il faut se méfier des bourrasques de vent et du trafic routier important.

Nous n’y perdrons pas au change, la traversée du Marais Aubon, largement inondée est magnifique.

Puis ce sera la pause à la centrale à charbon de Cordemais avec sa Villa-Cheminée, oeuvre d’art contemporain inspirée des cheminées de la centrale.

Le port de Lavau sur Loire.

La raffinerie de Donges et la ville de Donges.

Montoir de Bretagne,

et en arrivant à Saint Nazaire, passage par les Chantiers de l’Atlantique, l’entreprise qui construit des monstres des mers, polluant aux escales, masquant la mer aux riverains … mais qui contribue à l’essor économique de la région (près de 10 000 emplois et de 2 milliard d’euros de chiffre d’affaires).

Ma tente au camping de Carentoir le 19 août 2024.

Le Marais Audubon, nous l’avons traversé à vélo en roulant dans l’eau, au moins 20 centimètres.

Le Marais Audubon, nous l’avons traversé à vélo en roulant dans l’eau, au moins 20 centimètres.

Mon ami Michel dans le Marais Audubon.

Chapelle en bord de Loire avant d’arriver à Cordemais.

La centrale électrique à Charbon de Cordemais, le plafond est très bas, on ne voit pas le sommet des cheminées, et il crachine, cape indispensable.

La Villa Cheminée, au fond la centrale électrique à charbon de Cordemais.

L’estuaire de la Loire, vu de Cordemais.

Du côté de Cordemais.

Le port de Lavau sur Loire.

La nouvelle église de Donges.

La nouvelle église de Donges.

Probablement un reste de calvaire après les bombardements de 1944 (par les Américains) qui avait rasé le village de Donges.

Chapiteaux de l’église de Donges détruite par les bombardements de 1944.

Saint Nazaire Renversante.

Monuments aux morts de Montoir de Bretagne aujourd’hui. La fibre nationaliste est très accentuée …comme dans les lycées et les collèges …

Monument aux morts de Montoir autrefois …

Les Chantiers de l’Atlantique à Saint Nazaire. Ils construisent des paquebots pouvant accueillir de 3500 passagers à près de 7000 passagers. Au fond, au centre, on aperçoit un monstre en cours de construction.

Monstre en cours de construction par les Chantiers de l’Atlantique.

En cours de construction par les Chantiers de l’Atlantique.

Saint Nazaire au cœur de la Transition Énergétique … il faut y croire !

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Le grand défi Railcoop – jour 14 – Lyon Part-Dieu – Lyon Perrache

Hier c’était le dernier jour du Grand Défi.

La marche de Lyon Part-Dieu à Lyon Perrache.

L’arrivée en gare de Lyon Perrache.

La réunion avec les élus de Lyon et Lyon Métropole.

Mais l’aventure continue, toutes les personnes rencontrées tout au long de ces 715 kilomètres nous ont dit leur attachement à l’existence d’une Bordeaux-Lyon qui desservent les plus grandes gares du centre de la France, bassin de 2.5 millions d’habitants qui se sentent, hors les deux métropoles, abandonnées par l’État et la SNCF.

Le centre de la France n’est pas la seule région à avoir vu disparaître ses petites lignes ou ses grandes lignes directes.

Par exemple la Ville de Messac, en Bretagne, entre Redon et Rennes qui a élevé devant sa gare un monument à la mémoire du voyageur méprisé.

Monument à la mémoire du voyageur méprisé.

Le voyageur méprisé.

Les amis de Railcoop ont accompli leur incroyable défi, parcourir à pied et en vélo l’ensemble de la ligne Bordeaux – Lyon, depuis le 17 février jusqu’à l’arrivée à Lyon Perrache hier.

Deux semaines de rencontres et de discussions, de pluie et d’efforts, et surtout de plaisir de se retrouver ensemble pour défendre notre vision du ferroviaire.

Bravo et merci à toutes celles et tous ceux qui ont rejoint, soutenu ou fait parler du Grand défi !

Rappelons que Railcoop, ce sont 14 827 sociétaires dont 33 collectivités (mairie, communauté de communes, communauté d’agglomérations), une vingtaine d’associations, et environ 70 entreprises, le reste, plus de 14 000 sont des particuliers.

Quel que soit l’avenir de Railcoop, cette mobilisation inédite est le signe que notre projet continue et continuera à mobiliser.
l’aventure continuera jusqu’à la réouverture.

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Le grand défi Railcoop – jour 13 – Roanne – Lyon Part-Dieu – 104 km

Aujourd’hui, c’était la dernière étape du Grand Défi des Amis de Railcoop avant la journée festive de demain samedi entre Lyon Part-Dieu et Lyon Perrache.

Toute la journée, le beau temps a été de la partie pour une étape très longue avec une grosse difficulté, le passage du col des Sauvages à 720 mètres d’altitude. Toute la journée, la route a suivi la ligne de train, mais le train passe dans des tunnels et ne monte jamais aussi haut.

Bravo à nos championnes et champions.

Le départ en gare de Roanne.

Arrêt au passage à niveau au passage d’un TER de la région Rhône-Alpes.

En gare de L’Hopital sur Rhins.

Au fond l’abbaye de Pradines.

En gare de Regny.

En gare d’Amplepuis.

Elisabeth, arrivée au col des Sauvages, la difficulté de la journée, un col à 720 mètres en partant de l’altitude 300 mètres, soit plus de 400 mètres de dénivelé !

Le profil de l’étape du jour établi par B-router.

Yara arrive à son tour.

Yara et Mireille, la cycliste-photographe de l’étape !

En gare de Tarare.

Pause repas dans une grande salle mise à disposition par la mairie de Tarare.

En gare d’Arbresle.

Viaduc de Saint Romain de Popey

En gare de Lozanne.

Le vélo de Xavier qui rejoint le groupe à Ecully.

Arrivée à Lyon.

En gare de Lyon Part-Dieu.

Réunion avec des sociétaires Railcoop à Lyon après l’arrivée.

La future boutique Railcoop… On y croit !

Les prochains rendez-vous du Grand Défi Railcoop

samedi 2 mars 2024
Lyon Part Dieu       10h          Marche    6 km
Lyon Perrache        11h30

Programme de la journée d’animation à Lyon.

10h-11h30 : Marche citoyenne de Lyon Part Dieu à Lyon Perrache
Départ place de Francfort

11h30-14h : Pique-nique géant en bord de Rhône face à l’Hôtel-Dieu
en cas de pluie,
dans une salle de la mairie du 2éme, salle Bayard

15h-17h : réunion dans une salle de la mairie du 2éme, salle Bayard
avec les élus, les sponsors et les sociétaires de Railcoop

Programme de la journée d’animation à Lyon.

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