Le train des Mouettes de Saujon à La Tremblade

Vendredi dernier, je vous racontais mon voyage de Rochefort à Saintes pour me rendre à une rencontre organisée par les Amis de Railcoop à Saujon, occasion de découvrir le Train des Mouettes.

Le train des Mouettes circule sur une ligne qui appartient au département de la Charente-Maritime. La ligne a été créée par la Compagnie du Chemin de Fer de la Seudre et inaugurée le 24 juin 1876.

A l’époque, il n’y avait que des chemins de terre, sur lesquels on circulait à pied, à vélo ou à cheval, mais au pas (soit 5 Km/h) ! L’arrivée du chemin de fer correspond à l’arrivée du progrès. On pouvait désormais voyager à 35 Km/h et transporter des lourdes charges (chaque wagon emporte entre 3 et 10 fois plus qu’un char à bœufs !).

Ce nouveau moyen de transport a permis l’essor économique du territoire en permettant aux huîtres d’être livrées plus vite et plus loin ! En permettant de transporter les bois exploités dans la forêt de la Coubre et le sel des marais salants du bassin « Marennes Oléron ».

Sur cette ligne le trafic voyageur sera fermé en 1939, mais le transport des huîtres sera poursuivi jusqu’en 1976.

La ligne a été fermée par la SNCF en 1980.

Le train touristique fait son premier voyage en 1984.

Samedi matin, à l’aube, je pars de Saintes à vélo pour rejoindre Saujon à 25 kilomètres.

Joli parcours en passant par Pisany.

A Saujon, je retrouve le groupe et nous embarquons dans le train des Mouettes. La ligne fait 21 kimomètres et comporte six gares dont quatre desservies, les extrémités Saujon et la Tremblade, Mornac sur Seudre et Chaillevette.

Départ du train à 9h, le train est tractée par une locomotive diesel pour ce premier parcours. Il faut 4 heures pour faire chauffer la locomotive diesel et les bénévoles de l’association Trains et Traction n’ont pas envie de se lever à 4h du matin pour préparer la machine.

Nous sommes descendus à Chaillevette et un bénévole de l’association nous a fait découvrir l’atelier de réparation, d’entretien et de rénovation des nombreux matériels roulants (locomotives diesel ou vapeur, voitures et wagons) dont l’association dispose, ou que lui confient d’autres associations ferroviaires.

Ensuite nous avons rejoint le village de Mornac sur Seudre, à pied pour les plus courageux, en mini-bus pour les autres et nous avons déjeuné dans une auberge sur le port.

Après avoir pris le temps de découvrir ce joli village, très touristique, nous avons repris le train à la gare de Mornac pour rejoindre le terminus de la Tremblade. Cette fois-ci, la locomotive est à vapeur.

A la Tremblade nous avons assisté à la manoeuvre de retournement de la locomotive, et après une balade pour découvrir le chenal qui relie le port de la Tremblade à la Seudre, nous avons ré-embarqué pour Saujon, avec arrêt à Chaillevette pour changer de locomotive. La loco vapeur est détachée du train avant d’être nettoyé et préparée pour son prochain voyage. Elle est remplacée par la loco diesel.

Une très belle journée sous un soleil magnifique !

En quittant Saintes au soleil levant.

7h00 à Pisany, la cloche sonne à toute volée.

La halle de Pisany.

Jean de Vivonne (1530 -1599), marquis de Pisany.

Le château de Pisany.

L’ancienne gare de Saint Romain de Benet.

L’ancienne gare de Saint Romain de Benet, aujourd’hui c’est le siège de Emmaüs Saintonge, l’association locale est en conflit avec ses compagnons suite au licenciement de leur responsable, licenciement jugé abusif par les compagnons.

La tour de Pirelonge. On ne sait s’il faut y voir un fanal, une borne ou un cénotaphe, elle fut édifiée à l’époque romaine.

L’église de Saujon.

Les thermes de Saujon.

Les thermes de Saujon.

Notre voiture dans le train des Mouettes.

Quelques Amis de Railccop

Le train des Mouettes longe le marais de la Seudre.

Le marais de la Seudre. La Seudre est un fleuve côtier de 68 km de long. Ruisseau avant Saujon, il s’élargit peu après et ses eaux deviennent salées, la mer remontant jusqu’à Saujon à marée haute. Dans le marais de la Seudre composés d’anciens marais salants, sont installées les claires qui permettent l’affinage des huîtres.

Le marais de la Seudre.

Le marais de la Seudre.

Le marais de la Seudre.

Les marais salants de Mornac sur Seudre.

Les marais salants de Mornac sur Seudre.

Les marais salants de Mornac sur Seudre.

La gare de Chaillevette où sont situés les ateliers de l’association Trains et Traction, association, créée en 2007, de sauvegarde des savoir-faire, des atmosphères et des patrimoines ferroviaires, en s’appuyant sur la reprise de l’exploitation du Train des Mouettes. Aujourd’hui ce sont plus de 120 bénévoles.

Les ateliers de Tains et Traction à Chaillevette.

Fraiseuse.

Locomotive à vapeur en cours de remontage.

Locomotive diesel en cours de restauration.

Vieille loco électrique (sur batterie) en attente de restauration.

La locomotive Schneider 030 T a été fabriquée par les Établissements Schneider du Creusot en 1891. Faisant partie d’une série de 4 locomotives identiques, elle porte le N° 3. La 030 T a roulé pendant plus de 60 ans sur le réseau de la « Société des Chemins de fer de St Victor à Cours ». Elle assurait des circulations sur la ligne de 13 km entre St Victor (42) et Cours (69). Le 15 avril 1961 marque l’arrêt de l’exploitation vapeur et le dernier train roulera sur cette ligne le 31 janvier 1969 . À la fermeture du réseau les machines n°3 et 4 sont rachetée par un récupérateur amoureux des belles choses, Mr Gouverneyre de Chambost-Alliere. Elles passeront 14 ans chez lui dans un hangar à l’abri des intempéries. En 1981 le Chemin de Fer Touristique de la Seudre, qui vient de se créer, cherche une locomotive à vapeur pour assurer la traction de ses trains. L’association rachète les deux locomotives en 1983. Si la N° 3 est toujours à Chaillevette, la N° 4 « Trambouse » est aussitôt revendue à un collectionneur d’Espalion, Monsieur Bras, pour financer les premiers travaux sur la N° 3.

Vieil autorail en attente de restauration.

Voiture voyageur en cours de rénovation.

Fourgon postal.

Wagon américain datant de la guerre 1914-1918. 38 000 wagons en kit ont été importés en Europe. Ces wagons ont contribué à la desserte du front, la reconstruction de l’Europe et ont ensuite eu une longue carrière sur le réseau Français (les derniers ont arrêté de circuler dans les années 1980).

Locomotive diesel.

La locomotive HENSCHEL 030T, mise en service en 1912, fin d’activité en 1966, arrivée à Chaillevette en 2010, remise en service en 2015

La HENSCHEL 030T en mouvement. Elle recule pour aller se positionner en tête de train. Contrairement aux locomotives diesel, qui démarrent comme une voiture, les locomotives à vapeur nécessitent une longue mise en pression. Il faut que leur énorme masse chauffe uniformément pour éviter les dilatations destructrices. Les bénévoles doivent venir 4 heures avant le départ pour allumer le feu dans la chaudière et l’alimenter doucement en bois puis en charbon pour faire monter la température progressivement. Lorsque la température est uniforme et que la pression de vapeur atteint 11 bars, on peut enfin demander de la puissance de traction. C’est pourquoi les locomotives à vapeur ne peuvent être mises en tête des trains qu’à partir de 11h00 le matin. De même, le soir, il faut laisser tomber le feu et les nettoyer avant de pouvoir rentrer chez soi… Elles sont donc arrêtées à partir de 17h00.

La locomotive HENSCHEL 030T en gare de Chaillevette, prête à partir, direction Saujon.

Les chauffeurs chargés de l’alimentation de la chaudière en charbon.

Mornac sur Seudre.

L’église de Mornac sur Seudre.

L’église de Mornac sur Seudre.

L’église de Mornac sur Seudre.

Le chenal de Mornac qui permet de relier le petit port de Mornac à la Seudre.

Le chenal de Mornac qui permet de relier le petit port de Mornac à la Seudre.

L’arrivée du train en provenance de Saujon, direction La Tremblade.

L’arrivée du train en provenance de Saujon, direction La Tremblade.

Décrochage de la locomotive à La tremblade avant de lui faire faire son demi-tour.

La plaque tournante de la Temblade, cul-de-sac de la ligne Saujon-La Tremblade. La plaque tournante va permettre à la locomotive de faire demi-tour avant de se repositionner en tête de train.

La locomotive sur la plaque tournante de La Tremblade.

La locomotive est poussée à la main pour lui faire faire son demi-tour.

Demi-tour effectué.

Le bassin en eaux profondes du port de la Tremblade. L’entrée-sortie de ce bassin ne peut se faire qu’à marée haute.

Le chenal d’accès au port de la Tremblade.

Le chenal d’accès au port de la Tremblade.

Petite exposition en gare de la Tremblade sur le travail du tri postal dans les trains de nuit.

Petite exposition en gare de la Tremblade sur le travail du tri postal dans les trains de nuit.

Une des voitures restaurant du Seudre Ocean Express. La ligne est utilisée toute l’année par le Seudre Ocean Express, restaurant gastronomique fonctionnant 3 fois par semaine. Restaurant offrant 42 couverts pour 85 € par personne. Plus de 25 000 repas servis depuis septembre 1921. Les réservations sont déjà complètes pour les 3 mois à venir.

Une des voitures restaurant du Seudre Ocean Express.

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De Rochefort à Saintes sur la Véloroute V92 – La Flow Vélo – 70 km + 10 km

Quelques nouvelles.

Je repars bientôt pour un mois de voyage en montagne en solo.

Depuis notre retour d’Allemagne, je maintiens ma condition physique au rythme de deux sorties d’un cinquante de kilomètres toutes les semaines, cela peut parfois monter à 80 km comme la semaine dernière dans un voyage de Rennes à Chateaubriant 55 km où je devais prendre le train pour La Chapelle sur Erdre. Mais j’avais deux heures d’attente, j’ai continué d’abord jusqu’à la gare suivante Issé, puis la suivante Abbaretz.

Aujourd’hui, je me rends à une manifestation festive des Amis de Railcoop, association de citoyens mobilisés pour le retour du train Bordeaux-Lyon via Périgueux, Limoges, Guéret, Montluçon, Roanne.

Association qui avait organisé en 2024 le défi de rejoindre Lyon depuis Bordeaux, à vélo, le long de la ligne de chemin de fer qui existe encore, mais aucun train ne fait le trajet de bout en bout. Défi auquel j’avais participé de Bordeaux à Guéret.

Aujourd’hui, initialement je devais rejoindre Saintes depuis Nantes en train, mais au vu de la belle journée qui s’annonçait, je suis descendu à Rochefort et fait à vélo soixante-dix kilomètres en utilisant un tronçon de la Flow Vélo, voie verte balisée de 400 km reliant Sarlat-la-Canéda en Dordogne à l’île d’Aix.

Très bel itinéraire, varié, sans aucune monotonie, avec, à mon goût, peut-être un peu trop de voies « rugueuses » pour reprendre leur expression. Ce n’est pas très roulant et demande plus d’énergie qu’une route goudronnée. Avantage, aucune circulation.

La mobilité en Brompton, sur la Voie de la Liberté de 1944. Impossible de trouver l’itinéraire de cette voie de la Liberté qui symbolise habituellement le trajet de l’armée du général Patton des côtes normandes vers le nord et l’est de la France. Une branche avait du descendre vers Châteaubriant qui fut libérée le 4 août 1944.

Le château de Châteaubriant.

Le château de Châteaubriant.

En gare de Châteaubriant à 10h35.

En gare d’Abbaretz à 12h00.

L’église Saint Louis à Rochefort.

Place Colbert à Rochefort.

Place Colbert à Rochefort.

La Tour des Signaux à Rochefort.

Le musée nationale de la Marine.

Ce n’est pas l’Hermione, la frégate construite en 2014 à Rochefort, réplique du navire de guerre français l’Hermione, un trois-mâts carré, en service de 1779 à 1793. Elle est en grand carénage au port de Bayonne.

La Charente à Rochefort.

La Corderie Royale de Rochefort.

Le Quai aux Vivres et le port de plaisance.

Chargement d’un cargo avec de la ferraille.

L’adaptation au changement climatique : un mur pour se protéger des crues de la Charente.

Tonnay-Charente.

Le pont suspendu de Tonnay-Charente.

Le pont suspendu de Tonnay-Charente.

Sortie scolaire en bord de Charente.

La Charente.

Le long du canal de Freussin, parallèle à La Charente.

Le barrage-écluse de Saint Savinien.

Saint Savinien.

Saint Savinien.

Saint Savinien.

Saint Savinien.

Saint Savinien.

Saint Savinien.

Sainte Germaine de Pibrac, 1579-1601. (Pibrac du côté de Toulouse)

La Charente à Saint Savinien.

Le marché de Saint Savinien.

Sculpture à Crazannes, lieu réputé pour ses anciennes carrières, avec des parcours de sculpture.

Le château de Crazannes.

Le château de Crazannes.

Le donjon médiéval et la chapelle du château de Crazannes.

Le Palais de Justice de Saintes.

Le théâtre de Saintes.

La cathédrale de Saintes.

La cathédrale de Saintes.

La cathédrale de Saintes.

Le jubilé des Jeunes à Rome en 2025. De La Rochelle à Rome en passant par Turin. Du 2 juillet au 4 août, pour les jeunes de 17 ans. On pourrait penser à voir l’affiche que c’est un pèlerinage à vélo. Mais 10 jours, cela ne me paraît pas réaliste.

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Tour en Allemagne – Jour 30 – Ulm – Appenweier – Strasbourg – Nantes – 30 km

Hier matin, lever 5h pour prendre le train de 6h02 direction Donaueschingen.

En sortant de l’hôtel, Michel n’a aucun mal à se diriger vers la gare. Moi je suis obligé de sortir mon GPS …

A la gare, c’est l’affluence de train prêt au départ. Le notre, c’est quai 7, côté nord, et effectivement sur le quai il y a deux trains en partance, un vers le le sud, le premier devant lequel on passe en sortant de l’ascenseur, un vers le nord, derrière le premier. L’un part à 6h01 et l’autre à 6h02. Mieux vaut ne pas se tromper.

En remontant le Danube, très bel itinéraire du train de Ulm à Immendingen, dernière station avant Donaueschingen. C’est à Donaueschnigen que le Danube prend sa source.

Changement de train à Immendingen. Nous avons 9 minutes pour changer de train, mais pas de problème. Quand nous arrivons, le train est déjà là, et nous n’avons pas de changement de quai à faire. C’est sur le même quai, la voie en face.

Ce train va nous permettre de rejoindre Appenweier. Le parcours est aussi beau que le précédent. Nous commençons par rejoindre Donaueschingen (où nous aurions peut-être pu changer de train, mais le site de la DB nous proposait de changer à Immendingen. Peut-être pour la facilité de changer de train sur le même quai.

A Donaueschingen, le train poursuit sa route en remontant la vallée du Brigach qui est un des torrents qui donnent naissance au Danube à Donaueschingen.

Puis c’est la remontée du Sommeraubach, affluent du Brigach, et un long tunnel nous permet de basculer dans la vallée de la Kinzig, affluent du Rhin, confluent à Kehl.

Le parcours du train dans la vallée de la Kinzig est assez impressionnant. De longs méandres pour gagner progressivement de la pente et de profonds aplombs sur les villages qui se trouvent en-dessous.

Arrivée à Appenweier vers 10h15 avec quelques minutes de retard, nous avons largement le temps de rejoindre Strasbourg à 22 kilomètres pour prendre notre train pour Nantes à 17h. Nous avions pris des marges pour les trains en Allemagne qui n’ont pas la réputation d’une grande exactitude, et pour le risque de ne pas pouvoir monter dans certains trains à cause de l’affluence de vélos.

Nous rejoignons vite Kehl, et c’est après une bonne pause au soleil sur la rive allemande que nous rentrons en France par la passerelle des Deux Rives.

Petit tour dans le quartier des Institutions Européennes de Strasbourg, et visite du Parlement Européen qui est en session.

Nous constatons que les interventions des députés sont très brèves et très minutées.

Pour l’après-midi d’hier de 13h à 23h, soit 10 heures de plénières. L’ensemble des députés pourront au total s’exprimer pendant 210 minutes, soit 3 heures 30 minutes, et chaque parti représenté au sein du parlement dispose d’une tranche de temps bien précise. Pour le groupe de Verts/ALE, c’est 16 minutes et 30 secondes, au prorata du nombre de députés du groupe. Pour le PPE, le groupe majoritaire, c’est 53 minutes.

Il y a une grande foule de groupes à visiter le parlement, lycéens, étudiants, … Avant de pénétrer dans l’enceinte du parlement, il faut réserver sur Internet. Cela peut se faire sur place, sous réserve de disposer d’un smartphone en ayant les données mobiles activées, et bien sûr, fouille comme dans les aéroports, vestiaire obligatoire, et prise d’une photocopie de la pièce d’identité. Certains jours d’affluence, les temps d’attente sont peut-être plus longs. Nous avons eu la chance de nous inscrire à 14h28 pour la visite à 14h30.

Et je constate aujourd’hui en allant sur le site que, pour visiter le parlement pendant les sessions plénières (environ 3 à 4 jours par mois), les heures de visite sont très limitées, c’est vraiment le hasard si nous avons pu faire la visite hier. Hors session, il ne semble pas nécessaire de réserver.

Après le parlement, nous avons rejoint le centre-ville et le quartier de la « Petite France » sur la Grande île, dominée par sa cathédrale.

Ainsi se termine ce voyage de 30 jours en Allemagne. Voyage que nous avons fait quasiment sans pluie, avec souvent un très grand soleil, quelques journées de temps couvert, parfois très froid avec un fort vent de nord ou d’est. Mais nous avons très bien supporté le froid, même avec quelques températures négatives.

Les villes allemandes sont souvent belles, avec des centre-villes toujours très animés.

Le réseau cyclable est exceptionnel, mais il peut largement être amélioré pour supprimer toutes les bordures de trottoir qui font souffrir le matériel. Nos vélos sont costauds pour résister … néanmoins cela les abîment.

Le réseau ferré est également remarquable. Partout, nous avons croisé des trains, et en cas de problème majeur, nous aurions pu facilement terminer ou sauter une étape en prenant le train. Tôt le matin, ou tard le soir, voire la nuit, les trains roulent en Allemagne. Et prendre un billet au guichet est très facile, nous n’avons jamais eu de file d’attente.

Le réseau d’hôtels est également d’une grande qualité. Nous avons toujours eu des chambres avec des lits jumeaux confortables de taille 210 x 90 pour une moyenne de 60 € la nuit. Bien sûr, réservations faites deux mois avant en choisissant les meilleures opportunités et nous n’avons jamais été déçus. L’Allemagne a un bon réseau d’auberges de jeunesse, concurrentiel quand on voyage en solo, prohibitif quand on voyage à deux.

Dans le train de Ulm à Donaueschingen.

Dans le train de Ulm à Donaueschingen, du côté de Beuron, la vallée du Danube.

Dans le train de Ulm à Donaueschingen, du côté de Beuron, la vallée du Danube.

Dans le train de Ulm à Donaueschingen, du côté de Beuron, la vallée du Danube.

Parcours du train dans la vallée de la Kinzig.

La passerelle Mimram ou passerelle des Deux Rives, passerelle pour piétons et cyclistes qui relie les deux parties du jardin des Deux Rives situées de chaque côté du Rhin, entre la ville française de Strasbourg et la ville allemande de Kehl.

Vu de la passerelle des Deux Rives, le pont routier, derrière, le pont tram-vélo, derrière le pont de chemin de fer.

Le Rhin en amont de la passerelle des Deux Rives.

Mon vélo en ce dernier jour de tour en Allemagne.

Le parlement européen à Strasbourg.

La statue « Europe » devan le parlement européen à Strasbourg, sculpture monumentale choisie par la Communauté européenne pour symboliser l’Europe unie.
La sculpture représente Europe montée sur le dos de Zeus, qui est déguisé en taureau. Cette représentation fait référence au mythe où Zeus enlève Europe, symbolisant ainsi l’union et l’identité européenne.

Le parlement européen à Strasbourg.

Le parlement européen à Strasbourg.

Studios TV du Parlement européen.

La cathédrale de Strasbourg.

La cathédrale de Strasbourg.

La cathédrale de Strasbourg.

La cathédrale de Strasbourg.

La cathédrale de Strasbourg.

La cathédrale de Strasbourg.

La cathédrale de Strasbourg.

Crèche napolitaine de la cathédrale de Strasbourg.

Crèche napolitaine de la cathédrale de Strasbourg.

L’horloge astronomique de la cathédrale de Strasbourg.

L’horloge astronomique de la cathédrale de Strasbourg.

L’horloge astronomique de la cathédrale de Strasbourg.

L’horloge astronomique de la cathédrale de Strasbourg.

La cathédrale de Strasbourg.

La cathédrale de Strasbourg.

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Tour en Allemagne – Jour 29 – Augsburg – Ulm – 81 km

Journée plus belle qu’hier, plus ensoleillée et un peu moins froide. Cet aprè-midi, 8° à Ulm, ressenti 4°. Vent d’est très froid, à la différence d’hier où le vent était de nord-ouest, donc, contre nous. Aujourd’hui, vent favorable.

Parcours beaucoup plus intéressant qu’hier. Les 25 premiers kilomètres, c’était au bord d’une route assez importante. A 5 kilomètres de Zuzmarshausen, nous avons quitté la trace pour prendre une petite route un peu plus vallonnée, mais beaucoup plus tranquille.

Passage à Burgau et Günsburg, joli village, mais la jolie porte, Unteres Tor, était en réfection.

De Günzuburg à Ulm, nous avons rejoint l’Eurovélo 6, la route vélo de l’Atlantique à la Mer Noire, le long de la Loire, du Rhin, puis du Danube. Nous étions à plus de 2500 kilomètres de l’embouchure du Danube.

Arrivés peu après 14h, nous avons été prendre nos billets de train à la gare et nous nous sommes installés à l’hôtel avant de partir découvrir la vieille ville d’Ulm à pied, cathédrale, quartier juif, rathaus, quartier des pêcheurs et rives du Danube.

Demain matin 6h, nous prenons le train pour Appenweier, à 23 kilomètres de Strasbourg, et si tout se passe bien, nous devrions être à Nantes demain soir tard. Nous aurions pu continuer en vélo jusqu’à Strasbourg, il aurait fallu 3 jours supplémentaires et cela tombait sur le début de vacances en France, la SNCF ne nous proposait plus de train proposant des vélos aux dates qui auraient pu nous convenir.

Demain, nous ferons une dernière petite étape de 23 kilomètres de la gare d’Appenweier à la gare de Strasbourg.

Röfingen.

Günzburg.

Günzburg.

Günzburg.

Le Danube à Günzburg.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

La cathédrale d’Ulm.

Ulm.

Ulm.

La Rathaus d’Ulm.

La Rathaus d’Ulm.

La Rathaus d’Ulm.

La Metzgerturm.

Le quartier des pêcheurs.

Le quartier des pêcheurs.

Le quartier des pêcheurs.

Le quartier des pêcheurs.

Le quartier des pêcheurs.

Le Danube à Ulm.

De Luxembourg à Ulm via Liège, Essen, Kassel, Leipzig, Nuremberg et Munich.

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Tour en Allemagne – Jour 28 – Munich – Augsburg – 75 km

Journée très froide.

Très humide en début de journée, plus sèche après 11h, mais nous sommes arrosés par une giboulée peu avant d’arriver vers 14h30.

Itinéraire sur piste cyclable, mais le plus souvent le long de routes avec plus ou moins de circulation. Paysage sans grand intérêt à quelques exceptions près.

Pause casse-croûte à l’abri du vent et d’une petite pluie qui dure le temps de notre pause, sous un abri du terrain de foot du village de Puch peu après avoir quitté Fürstenfeldbrück.

Après avoir déposé nos bagages à l’hôtel, nous sommes partis à vélo au centre-ville d’Augsburg. La ville ne présente pas un bel aspect architectural, mais il y a de belles choses.

La cathédrale de la Visitation a une architecture assez curieuse, mais il y a des pièces exposées intéressantes.

La Basilique Saint-Ulrich-et-Sainte-Afre est en cours de restauration et est fermée.

Nous avons essayé d’aller voir les maisons Fuggerei, mais nous y sommes arrivés à 17h01, trop tard ! C’est le plus vieil ensemble de logements sociaux du monde encore en fonction à ce jour. Elle a été créée par Jacob Fugger dit le Riche de la richissime famille des Fugger en 1516. La charte de fondation date de 1521. Elle continue de fonctionner pratiquement à l’identique jusqu’à nos jours. Elle appartient à ce jour à une fondation privée contrôlée par les trois lignées de la famille Fugger. Fuggerei est classée au patrimoine mondial de l’Unesco en juin 2019 (tout comme Augsbourg).

Il faisait bien froid lors de cette balade dans Augsburg, et cela ne nous as pas donné envie d’y rester trop lontemps.

Au bord du Mandichosee.

Wolfgangskapelle

Christoph Amberger war der Schöpfer der thronenden Muttergottes (1554) in der St.-Wolfgangs-Kapelle. Das Triptychon Ambergers war ursprünglich als Ersatz des während der Reformation zerstörten Hochaltares Holbeins in Auftrag gegeben worden, dessen Gestalt nur noch durch den erhaltenen Entwurf im Stadtmuseum in Danzig überliefert ist. Ambergers Altar zeigt die Madonna zwischen den Heiligen Ulrich und Afra (Flügel). Darunter werden die sieben Begleitfiguren der Afra-Legende gezeigt. An den Wänden sind Bischofsgrabmäler aufgestellt.

Konradskapelle

In der St.-Konrad-Kapelle stehen etwa das Erzgrabmal Wolfhard von Roths († 1302), der im Chor bestattet wurde und Johann Eglof von Knöringens († 1575). Den Altar der St.-Konrads-Kapelle (Mariä Heimsuchung, um 1461) schuf der archivalisch nachgewiesene Meister Sigmund Haring[25] identifiziert wurde, stammt vom „Meister der Freisinger Heimsuchung“.

Augustinuskapelle

Der Gedenkstein des Kardinals Peter von Schaumberg († 1469) in der St.-Augustinus-Kapelle zeigt den Verstorbenen als Skelett.

Gertrudkapelle

Gotischer Flügelaltar in der St.-Gertruds-Kapelle

Die Mittelkapelle ist der hl. Gertrud geweiht. Ursprünglich diente sie den Chorherren der Mitte des 14. Jahrhunderts abgetragenen Stiftskirche St. Gertrud als Ersatz. Das Gotteshaus befand sich auf dem Areal des heutigen Ostchores.

Dem „Meister der Münchner Frauenkirche“ wird ein Glasfenster in der Gertrudkapelle zugeschrieben. Die Scheiben zeigen in Medaillons die Passion Christi, im Maßwerk die Auferstehung. Der doppelstöckige Flügelaltar von ca. 1510 wurde um 1860 als ausgemusterter Altar der katholischen Heilig-Kreuz-Kirche erworben. Auf der Predella ist die heilige Gertrud in einer neugotischen Büste dargestellt. Der Mittelschrein zeigt ein Relief des Marientods. Das ehemalige barocke Altarblatt Kommunion der heiligen Gertrud befindet sich seit 1859/63 in der Kirche St. Bartholomäus in Diedorf.[26]

La rivière Lochbar au sud de Haunstetten.

Cathédrale de la Visitation.

Fontaine de la cathédrale de la Visitation. Les trois saints patrons du diocèse étroitement liés à Augsbourg (saint évêque Ulrich, sainte Afra et saint évêque Simpert).

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation. Saint Christophe (fresque de 1491)

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

La Basilique Saint-Ulrich-et-Sainte-Afre

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

Cathédrale de la Visitation.

L’hôtel de ville d’Augsburg.

Sur la place de la mairie « Plus jamais c’est maintenant »

La maison du tisserand (Weberhaus) à Augsburg et le clocher de Saint Moritz.

La Basilique Saint-Ulrich-et-Sainte-Afre

La Jacobertor.

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Tour en Allemagne – Jour 27 – Visite de Munich

Aujourd’hui, nous avons visité Munich.

Très beau temps le matin,

plus couvert l’après-midi, léger crachin sur le retour.

Excellente journée.

Détails un autre jour.

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Tour en Allemagne – Jour 26 – Ingolstadt – Munich – 80 km

Première journée de pluie hier.

Nécessitant la cape pour les 25 premiers kilomètres. Ce n’était pas de la grosse pluie, mais pas négligeable non plus.

Pause à Pfaffenhofen. Petite saucisse grillée pour se réchauffer et complément de casse-croûte.

Le reste de la journée ne demandera pas de garder la cape, mais petit crachin de temps en temps, froid et grande humidité.

A une vingtaine de kilomètres avant d’arriver à Munich, nous passons par Dachau. Visite du camp.

Le camp de concentration de Dachau est le premier camp de concentration mis en place par le régime nazi. Il est créé sur le site d’une ancienne fabrique de munitions à Dachau, à 17 km au nord-ouest de Munich[2]. Son ouverture est annoncée par Heinrich Himmler le 20 mars 1933 et des prisonniers y sont amenés dès le lendemain. Il sert de modèle à tous les camps de concentration nazis. Il reste en service jusqu’à l’arrivée des soldats américains, le 29 avril 1945.

A Munich nous sommes arrivés chez ma nièce Bénédicte, son mari Sébastien et leurs 3 enfants Augustin, Sixtine et Constance.

Excellente soirée autour d’une raclette.

Aujourd’hui nous partons à vélo à la découverte de Munich.

Photos et autres commentaires un autre jour.

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Tour en Allemagne – Jour 25 – Nuremberg – Ingolstadt – 100 km

Journée particulièrement excellente.

D’abord très beau temps.

Très bel itinéraire, même si une petite portion longeait une autoroute très bruyante.

Longue étape de 100 kilomètres, mais nous étions à Ingolstadt dès 14h en ayant largement le temps de découvrir la ville et de terminer au soleil à la terrasse d’un café en prenant une bonne bière « Augustine » brassée à Munich.

Ingolstadt, très jolie vieille ville, mais curieusement moins de vélo que dans les autres villes.

Devinez pourquoi !

Tout simplement parce que Ingolstadt est le domaine de la marque Audi. Il y a de gigantesques parkings publics tout autour de la ville, plein de voitures, bien sûr !

Ingolstadt est au bord du Danube et se trouve donc sur l’itinéraire de l’Eurovélo 6 qui relie l’Atlantique à la Mer Noire en partant de Saint Nazaire.

J’y étais déjà passé à vélo en 2007 avec Chantal lors de notre voyage sur l’Eurovélo 6 sur la portion Nevers-Regensburg. Regensburg est à 76 kilomètres à l’est d’Ingolstadt.

Traversée du vieux canal Main-Danube appelé Ludwig-Donau-Main-Kanal. Construit entre 1836-1846.

Leerstetten.

Le nouveau canal Main-Danube, construit entre 1960 et 1992, il n’est plus utilisé que pour de la navigation de plaisance …

Le nouveau canal Main-Danube, construit entre 1960 et 1992, il n’est plus utilisé que pour de la navigation de plaisance …

Tiefenbach.

La limite des bassins versants du Main et du Danube. Altitude 460 mètres.

Mettendorf.

Du côté d’Enkering. Aperçu sur l’autoroute Numremberg-Munich et sa file de camions. Pauvres habitants des villages qui subissent cette nuisance infernale, leur horizon est barré et quel vacarme !

Le village de Ibling.

Le village de Krut.

En approchant de Wettstetten.

Le domaine Audi.

Le domaine Audi.

Les parkings du domaine Audi, accessibles grâce à une magnifique passerelle. Combien de voitures peut-on stocker ? Est-ce des parkings de stockage de voitures neuves, ou des voitures des employés ?

Ingolstadt.

Ingolstadt.

Ingolstadt.

L’hôtel de ville d’Ingolstadt, et derrière l’église Saint Moritz.

L’église Saint Moritz.

L’église Saint Moritz.

L’église Saint Moritz.

L’église Saint Moritz.

L’église Saint Moritz.

L’église Saint Moritz.

L’église Saint Moritz.

L’église Saint Moritz.

L’église Saint Moritz.

L’église Saint Moritz.

L’église Saint Moritz.

L’église Saint Moritz.

L’église Saint Moritz.

Le château d’Ingolstadt.

Le château d’Ingolstadt.

Le château d’Ingolstadt.

L’église Notre-Dame.

L’église Notre-Dame.

L’église Notre-Dame.

L’église Notre-Dame.

L’église Notre-Dame.

L’église Notre-Dame.

L’église Notre-Dame.

L’église Notre-Dame.

L’église Notre-Dame.

L’église Notre-Dame.

L’église Notre-Dame.

L’église Notre-Dame.

L’église Notre-Dame.

L’église Notre-Dame. Les offrandes des rois mages.

L’église Notre-Dame.Les noces de Cana.

La Kreuztor.

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Tour en Allemagne – Jour 24 – Bamberg – Nuremberg – 85 km

Beau temps toute la journée, frais le matin, 5° en partant, monté à 14° l’après-midi.

Étape chargée avec la visite de Bamberg le matin en partant et de Nuremberg en arrivant.

Bamberg a une très belle vieille ville.

Bon itinéraire de Bamberg à Nuremberg en longeant le canal du Main au Danube. Routes plates. On pourrait craindre la monotonie, mais la route zigzague un peu, on change de rive, on traverse des villages. Aucun ennui. Les payasages ne sont pas extraordinaires, mais c’est vivant et on croise, ou nous faisons doubler, par des cyclistes locaux.

Pause casse-croûte à Erlangen, amélioré avec une saucisse de Franconie (Franken Bratwurst) achetée sur le marché.

Arrivée de bonne heure à Nuremberg, au pied du château auquel on accède en poussant les vélos.

Puis descente à pied vers l’église Saint Sebald.

Traversée de la rivière Pegnitz qui sépare le quartier de Saint Sebald de celui de l’église Saint Lorentz.

Puis à vélo, en suivant un grand boulevard sur 3 kilomètres, nous arrivons au palais de justice de Nuremberg où furent jugés les criminels nazis.

Demain nous continuons notre route vers le sud.

Bamberg.

Bamberg.

Bamberg.

Bamberg.

Bamberg.

la cathédrale de Bamberg.

La place devant la cathédrale de Bamberg.

L’ancien hôtel de ville de Bamberg.

L’ancien hôtel de ville de Bamberg.

L’ancien hôtel de ville de Bamberg.

Sur un pont devant l’ancien hôtel de ville de Bamberg.

Le village de Burk.

4 immeubles de bureaux et un parking aérien à Forchheim, le long du canal du Main au Danube.

Erlangen.

Erlangen.

Erlangen.

Le château de Nuremberg.

Le château de Nuremberg.

Le château de Nuremberg.

Vue sur la vieille ville de Nuremberg depuis le château.

Vue sur la vieille ville de Nuremberg depuis le château.

L’hôtel de ville de Nuremberg.

L’église Saint Sebald, à Nuremberg.

L’église Saint Sebald, à Nuremberg.

L’église Saint Sebald, à Nuremberg.

L’église Saint Sebald, à Nuremberg.

L’église Saint Sebald, à Nuremberg.

L’église Saint Sebald, à Nuremberg.

L’église Saint Sebald, à Nuremberg.

L’église Saint Sebald, à Nuremberg.

L’église Saint Laurent (Saint Lorentz), à Nuremberg.

L’église Saint Laurent (Saint Lorentz), à Nuremberg.

L’église Saint Laurent (Saint Lorentz), à Nuremberg.

L’église Saint Laurent (Saint Lorentz), à Nuremberg.

L’église Saint Laurent (Saint Lorentz), à Nuremberg.

L’église Saint Laurent (Saint Lorentz), à Nuremberg.

L’église Saint Laurent (Saint Lorentz), à Nuremberg.

L’église Saint Laurent (Saint Lorentz), à Nuremberg.

Centre vieille ville de Nuremberg, quartier Saint Laurent.

Centre vieille ville de Nuremberg, quartier Saint Laurent.

Le Memorium Nürnberger Prozesse (Mémorial des procès de Nuremberg) , situé dans le Saal 600 du palais de justice de Nuremberg. C’est dans cette salle que se sont déroulés les célèbres procès de Nuremberg entre le 20 novembre 1945 et le 1er octobre 1946. Ces procès ont marqué un tournant dans l’histoire du droit international, car pour la première fois, des représentants d’un État ont été jugés pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.

Le palais de justice de Nuremberg.

La salle d’entrée dans le palais de justice de Nuremberg.

La cour intérieure du palais de justice de Nuremberg.

De Luxembourg à Nuremberg via Liège, Essen, Gelsenkirchen, Kassel, Leipzig, Berlin, Iéna.

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Tour en Allemagne – Jour 23 – Probstzella – Bamberg – 96 km

Temps couvert aujourd’hui, et même avec un peu de pluie, plutôt du crachin. J’ai sorti ma cape, mais pas très longtemps et ce n’était pas vraiment nécessaire.

Itinéraire sur pistes cyclables, pas de monotonie, mais pas grand intérêt non plus, pas de jolis paysages, quelques jolies villes.

Un début assez intéressant avec l’entrée en Bavière entre Probstzella et Luwigsstadt en remontant la vallée de la Loqwitz.

Puis une montée très raide, 190 mètres de dénivelé sur 2.2 kilomètres, soit 8.6 %, mais avec des passage à 13 %,

avant de plonger dans la vallée de l’Haßlach,

pause cass-croûte à Kronach, joli vieux centre-ville,

puis vallée du Steinbach

et pour finir la vallée du Main, grand cours d’eau allemand, qui arrose notamment Francfort et conflue avec le Rhin sur sa rive droite, entre Wiesbaden et Mayence.

Mais la vallée du Main est très large et peu intéressante hormis quelques jolis centre-ville. La campagne est plutôt assez moche.

Nous sommes au nord de Bamberg et visiterons la ville demain en partant.

Oeufs de Pâques ? Pas du tout ce sont des oeufs durs vendus en supermarché. J’en prends deux au petit-déjeuner.

Ludwigsstadt.

Viaduc de la voie ferrée à Ludwigsstadt. Autrefois, c’était la ligne Berlin-Münich, maintenant cette ligne passe par Erfurt et Coburg, plus à l’ouest. Mais un train passe toujours par Luwigsstadt, c’est la ligne Nuremberg-Saalfeld, un train par heure (dans chaque sens) sans compter quelques rapides qui s’arrêtent à Ludwigsstadt.

La Tour rouge. Ce lieu est identifié par ce nom depuis 1666. « Am Rennsteige stehet ein große Tanne, der Rote Turm ». Au sommet de cette côte (altitude 690 mètres) se dresse un grand sapin, la tour rouge.

Le village de Rothenkirchen.

Kronach.

Kronach.

Église de Kronach.

Église de Kronach.

Église de Kronach. Une vierge très dynamique.

Église de Kronach.

Église de Kronach.

Sur une porte de l’église de Kronach. Quel est ce symbole mystérieux ? Ce sont les Rois mages Caspard, Melchior et Balthazar qui bénissent la maison pour l’année 2025.
C’est la tradition en Allemagne à l’Epiphanie des enfants catholiques viennent chanter, bénir la maison et récolter de l’argent pour un projet particulier, souvent en Afrique.

Marktzeuln.

Lichtenfels.

Lichtenfels.

Lichtenfels.

Ancienne borne ?

Calvaire. On en a rencontré plusieurs de ce type depuis notre entrée en Bavière.

Bad Staffelstein.

Bad Staffelstein.

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