Le grand défi Railcoop – jour 5 – Repos à Limoges

Aujourd’hui, journée de repos.

Le matin, visite du musée de la porcelaine, Adrien Dubouché.

Visite très très intéressante.

J’ai pris beaucoup de photos qui seront intégrées, avec beaucoup d’autres choses, dans la version récapitulative de ce journal de voyages. En groupe, il est difficile de trouver du temps pour rédiger

Après-midi, visite mal préparée au cimetière de Landouge, je n’avais pas garder les coordonnées de la tombe de mon grand-père Pierre, et j’ai eu du mal à joindre le service des cimetières de la Ville de Limoges. De plus, c’est à 6 kilomètres du centre de Limoges, je n’ai pas pris la meilleure route et c’est sous une grosse pluie que je suis arrivé à Landouge qui s’est transformée en pluie torrentielle…

Rendez-vous à 17h à la gare avec des sociétaires Railcoop du cercle de Limoges.

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Le grand défi Railcoop – jour 4 – Thiviers – Limoges – 73 km

73 km dont les 10 derniers kilomètres à pied avec de nombreux sociétaires locaux à pied.

Tout au long du parcours, nous sommes reconnus par les riverains de la route qui ont entendu parler de nous grâce à FR3, et rejoints par des cyclistes qui nous accompagnent de gare en gare.

Hier le doyen des sociétaires (ou peut-être plutôt, le doyen de notre Défi Railccop), 81 ans, nous a accompagné sur son vélo électrique de La Coquille à Bussières, et ce n’était pas tout plat.

Très bel itinéraire très vallonné.

766 mètres de dénivelé pour B-router, 1011 mètres pour MygpsFiles, 887 mètres pour LocusMap.

On est monté à 437 mètres d’altitude, et notre altitude minimale a été 204 mètres après être parti de l’altitude de Thiviers, 250 mètres.

Temps sec et beau le matin, avec un vent très froid, se couvrant en fin d’après-midi pour finir avec une légère pluie pas très gênante.

Pique-nique à la base de loisirs de Nexon.

Une rupture de chaîne vite réparée.

Une pédale dévissée, mais le pas de vis est mort, Christian finit le parcours dans la « voiture-balai ».

Comme depuis le départ, très bonne couverture médiatique. A midi nous avons fait l’ouverture du journal de FR3 Limousin.

Le soir rencontre des sociétaires de Limoges dans la salle du Temps Libre derrière la mairie de Limoges.

Hébergement chez Lucile.

La chanson de Railcoop (sur l’air du chant des partisans) :

Ami(e), entends-tu
ces avions qui survol-
-ent nos plaines ?

Ami(e), sens-tu donc
cette odeur typique de kérosène ?

Ohé, habitante
et habitant du territoire,
c’est le moment,

Railcoop est à quai,
le train va s’mettre à rouler,
le train du chang’ment.

Viens faire du vélo
ou de la marche avec nous
le long d’la voie.

De Bordeaux à Lyon,
715 km
et beaucoup d’gares

Si tu crois en l’av’nir
rejoins la coopérative
et l’aventure

La coopérative
c’est le mode de déci-
-sion du futur

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Le grand défi Railcoop – jour 3 – Périgueux – Thiviers -47 km

Belle étape encore aujourd’hui.

13 kilomètres à pied de Périgueux à Chancelade, randonnée prévue avec des sociétaires ou sympathisants locaux du projet,

Puis 34 kilomètres en vélo de Chancelade à Thiviers.

Pause déjeuner à Château L’Evêque, accueillis par son très sympathique et dynamique maire de la Ville qui a mis à notre disposition sa halle de marché.

3 cyclistes locaux ont ensuite fait la route avec nous jusqu’à Thiviers.

Nous avons été accueillis par le Tiers Lieu, le Han’gare, installé dans un ancien entrepôt SNCF à côté de la gare.

Ce tiers-lieu avait organisé une réunion publique, dans ses locaux, avec la participation de Madame la Maire, et Railcoop a pu y présenter tout son projet et toutes les difficultés qu’il rencontre.

Et nous avons tous dormi dans la grande salle chauffée de ce tiers-lieu.

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Le grand défi Railcoop – jour 2 – Libourne – Périgueux – 120 km

Très longue, mais très belle étape aujourd’hui.

Arrivée à 18h56 en gare de Périgueux.

Pas le temps ce soir d’en écrire plus.

Arrivée en gare de Périgueux à 18h56.

Table d’une partie de l’équipe ce soir.

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Le grand défi Railcoop – jour 1- Bordeaux – Libourne – 50 km

Départ du train de 60 vélos de la gare de Bordeaux à 10h précises, au coup de sifflet du chef de gare.

20 km de piste cyclable sur l’ancienne voie ferrée Bordeaux-Créon. Avantage du site propre en pleine nature, inconvénient d’une voie un peu monotone.

Tranquille le train arrive à l’heure à 12h30 à la gare de Créon.

Accueil dans une salle municipale, et repas fourni par un « Food Truck ».

35 vélos repartent de Créon pour rejoindre Libourne par un magnifique itinéraire très vallonné,

Passage par Cursan, puis Baron, Nérigean,
et nous atteignons la gare de Libourne à 16h.

Puis nous sommes reçu devant l’hôtel de ville de Libourne par la conseillère municipale, Madame Heurtebis, déléguée à la stratégie locale bas-carbone, aux relations avec le monde viticole et au plan vélo.

Corinne, Libournaise, nous accueille à 7 cyclistes chez elle pour la nuit.

Un article de FR3 Aquitaine sur le Grand Défi Railcoop.

On retrouve aussi une très bonne video lors du journal 19h/20h de FR3 Aquitaine à partir d’1 minute 15 s.

Café devant la gare de Bordeaux, vieille enseigne.

Préparation du départ en gare de Bordeaux.

Le train d’une soixantaine de cyclistes prêt au départ devant la gare de Bordeaux.

Railcoop.

Le chef de gare et le directeur général de Railcoop

La gare de Créon.

Sculpture à la gare de Créon.

Pause en gare de Créon.

Le Food Truck à Créon.

Hôtel de Ville et église de Créon.

L’église de Créon.

L’église de Baron.

Le château de Crain, nous sommes dans les vignobles du Libournais, un vignoble de Bordeaux.

L’hôtel de ville de Libourne.

Réception par Madame Heurtebis devant l’hôtel de ville de Libourne.

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Le grand défi Railcoop – jour 0

Une nouvelle aventure à vélo commence.

Railcoop est une société coopérative de transport ferroviaire française privée créée en 2019, dont le siège social se situe à Figeac (Lot). Dans un contexte d’ouverture à la concurrence du marché du transport ferroviaire à partir de décembre 2020, Railcoop s’est donné pour objectif de renforcer l’usage du ferroviaire sur tous les territoires afin de contribuer à la transition écologique, avec un premier objectif la réouverture de la ligne Bordeaux-Lyon arrêtée par l’État en 2012.

Cette réouverture initialement prévue en 2022, puis 2023, et maintenant 2024, semble un peu compromise par la mise en redressement judiciaire en octobre 2023.

L’association « Les Amis de Railcoop » soutient ce projet de réouverture et a décidé de la préfigurer en parcourant la ligne de Bordeaux à Lyon, à pied ou à vélo, en une quinzaine de jours du 17 février au 2 mars.

Pour ma part, grand utilisateur du train depuis toujours, nostalgique du Quimper-Vingtimille, du Salzbourg-Paris, du Copenhague-Paris, en wagon-couchette, disparus, des Ter et des Intercités d’aujourd’hui, trains qui desservent les territoires en transportant les vélos, je suis, depuis juin 2021, symboliquement, sociétaire de Railcoop et c’est assez naturellement que, découvrant le grand défi des Amis de Railcoop, j’ai choisi d’y participer pendant une semaine.

Ce matin, à Nantes, j’ai pris le train pour Bordeaux, avec beaucoup de chance, c’est le seul train Nantes-Bordeaux qui n’a pas été annulé dans le cadre de la grève des contrôleurs Sncf.

Peu après midi, je retrouve le groupe au bord de la Garonne, sur le parvis de la Maison Ecocitoyenne de Bordeaux, devant la magnifique Porte Cailhau.

Un peu plus tard, prenant le Pont de Pierre nous avons traversé la Garonne pour nous rendre sur le site de Darwin, un lieu tendance alternative, toujours en bord de Garonne, le site de l’ancienne caserne Niel.

Demain c’est le vrai départ vers Lyon.

La Garonne à Bordeaux.

La porte Cailhau.

La porte Cailhau.

La Maison Ecocitoyenne.

Le parvis de la Maison Ecocitoyenne.

Darwin

Darwin

Darwin

Lieu d’animation à Darwin.

Conférence Railcoop à la galerie des Sauvages sur le site de Darwin, Nicolas, le Dircetur Général de Railcoop, Eric, un des organisateurs du grand défi, Lydie Massard, député européenne, bretonne de Pontivy, soutenant le projet de la SCIC Railcoop.

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2024-2-Monts-du-Lyonnais-Valence-Roanne

De Valence à Roanne, après un aller-retour à Romans sur Isère et Chatuzange le Goubet – 300 kilomètres de randonnée – 3900 mètres de dénivelé positif (MyGpsFiles) – 4 jours – 4 cols (690 mètres, 690 mètres, 860 mètres, 700 mètres.

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de Valence à Roanne – 4éme et dernier jour – Les Sauvages – Roanne – 40 km

Petite étape, toute en descente (il me restait une trentaine de mètres de dénivelé pour passer le col des Sauvages, l’essentiel de la montée était ma fin d’étape hier soir), descente de la très belle vallée du Rhins en passant par Amplepuis, Saint Victor sur Rhins, Régny pour arriver à Roanne.

Agréable conversation avec un cyclo-sportif local qui me rappelle que la semaine fédérale de la FFVélo aura lieu cette année dans la Loire avec comme point central Roanne,

et pour finir le train Intercités de Roanne à Nantes, train venant de Lyon, et, en ces jours de manifestation agricole, j’ai la chance que mon train n’ait pas été supprimé, deux trains Lyon-Nantes de la journée ont été supprimés !

Le col des Sauvages, altitude 723 mètres. Ligne de partage des eaux des bassins du Rhône et de la Loire. A Tarare, coule la Turdine, sous-affluent du Rhône via la Brévenne, l’Azergues et la Saône. A Amplepuis, coule le Rhins, affluent direct de la Loire dans laquelle il se jette à Roanne.

La ligne Lyon-Nantes entre Tarare et Amplepuis.

L’église d’Amplepuis.

L’église d’Amplepuis.

La mairie d’Amplepuis.

Le monument aux morts d’Amplepuis.

A Amplepuis, le musée Barthélemy Thimonnier, inventeur de la machine à coudre : labellisé Musée de France, il possède la première collection publique de machines à coudre en France, ainsi qu’une importante collection de cycles : du métier à coudre de Barthélemy Thimonnier de 1830 à l’ordinateur de couture des années 2000, du vélocipède à la roue pleine du vélo…

Saint Victor sur Rhins.

Saint Victor sur Rhins.

La gare Saint Victor-Thizy à Saint Victor sur Rhins.

Le viaduc de la ligne de train Lyon-Nantes à Régny. Plus précisément la ligne du Coteau (banlieue de Roanne) à Saint Germain au Mont d’Or.

Probablement le site de l’ancienne usine Conté, installée à Régny de 1856 à 1986. Nicolas-Jacques Conté, 1755-1805 est l’inventeur du crayon tel qu’on le connaît encore de nos jours, constitué d’une mine de graphite et d’argile insérée dans un corps en bois de cèdre. L’entreprise des crayons Conté a été achetée en 1979 par le groupe Bic, qui est l’actuel propriétaire de la marque.

L’ancienne usine Conté à Régny, impasse des crayons.

L’ancienne usine Conté à Régny, impasse des crayons.

L’usine Jalla à Régny. Les deux fondateurs de la marque, Messieurs Jalla et Binder, inventent la serviette éponge et fondent à Régny dans la Loire la première usine d’éponge européenne. Une saga vient de débuter pour Jalla..

L’église de Régny, construite en 1856 grâce à un don anonyme, à l’emplacement de l’église datant du XIIIe siècle.

L’église de Régny.

L’église de Régny.

L’église de Régny.

L’église de Régny.

La mairie de Régny.

Fresque à Régny.

Fresque à Régny.

Maison à colombages à Régny.

Maison à colombages à Régny.

Le prieuré de Régny et sa tour escalier.

La tour de la Prison à Régny.

Le Rhins à Régny.

Les ruines du pavillon chinois, en quittant Régny, probablement construit vers 1860 sur le Rocher de Rochefort par un officier de la coloniale ayant participé à l’expédition franco-anglaise en Chine.

La chapelle de Naconne. Elle date du XIIIe siècle. Le clocher campanile est le plus septentrional (le plus au nord) de la région, et peut-être de la France.

L’abbaye bénédictine de Pradines.

L’abbaye bénédictine de Pradines.

L’hôtel de ville de Roanne et sa fontaine.

Fontaine rendant hommage au maire François Populle qui avec l’aide de 20 000 paysans défendit la ville en 1814 face aux Autrichiens.

Sur la fontaine devant l’hôtel de Ville.

Sur la fontaine devant l’hôtel de Ville.

Sur la fontaine devant l’hôtel de Ville.

De Valence à Roanne, après un aller-retour à Romans sur Isère et Chatuzange le Goubet – 300 kilomètres de randonnée – 3900 mètres de dénivelé positif (MyGpsFiles) – 4 jours – 4 cols (690 mètres, 690 mètres, 860 mètres, 723 mètres.

Ainsi se termine ma deuxième petite randonnée de l’année, effectuée sous le grand soleil, contrairement à celle dans le bocage vendéen, dans la froidure sans aucun soleil.

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de Valence à Roanne – Jour 3 – Saint Paul en Jarez – Tarare – Les Sauvages – 90 km

de Saint Paul en Jarez à Les Sauvages via Tarare.

Le profil de la route de Saint Paul en Jarez à Les Sauvages – Premier col à 690 mètres, puis col à 860 mètre, descente sur Tarare à 390 mètres et dernière montée sur Les Sauvages à 700 mètres.

Après deux jours de repos chez Isabelle où j’ai eu la chance :

  • d’accompagner mon petit-fils Titouan à la fête (foraine) locale de la Quintaine.
    (La quintaine est une fête pendant laquelle les « classards » cassent une boîte contenant de la craie. Avant, elle était remplie de mines de crayons fracassés mais à la suite de la fermeture des Usines Marquise, la tradition fut abandonnée. Elle a été reprise quelques années plus tard, avec de la poudre de mine de crayon venant d’une autre usine. Il faut savoir qu’au début de cette tradition (plus de 350 ans), c’était des entrailles de dinde que les habitants se lançaient à la figure).
  • d’aller au concert de l’école de musique voir chanter ma petite fille Klervie,

je suis reparti ce matin pour une très belle étape à travers les Monts du Lyonnais, très sportive.

1707 mètres de dénivelé pour Locusmap, 1619 mètres pour B-Router, 2024 mètres pour MyGpsFiles.

Peu importe, mais comme le montre le profil 3 bons cols, et beaucoup de montées-descentes, toujours avec beaucoup de virages et un très beau paysage, et quasiment sans circulation, je suis très loin des grandes agglomérations, un peu perdu dans la « France profonde ».

Parti à 8h, arrivé peu avant 17h, 9h de route pour 90 kilomètres, ce n’est pas très rapide, mais je m’arrête beaucoup pour prendre des photos, visiter un peu les patelins et entrer dans les églises ouvertes où il fait beaucoup plus froid que dehors.

Au départ, il faisait 2°, et c’est monté à 12°, mais j’avais presque plus chaud le matin, j’étais sec. En fin de journée, j’étais trempé de sueur et j’avais presque froid dans la longue descente sur Tarare, et pour visiter Tarare. Je me suis un peu réchauffé en montant à les Sauvages.

Départ dans le brouillard.

Montée à Saint Martin la Plaine,

puis en continuant sur Sainte Catherine, mon premier col, à 690 mètres (à partir de l’altitude de 254 mètres), après 20 kilomètres de route, j’ai émergé des nuages.

A Sainte Catherine, je visite tranquillement l’église et fait un premier casse-croûte avec deux croque-monsieurs préparés la veille.

Passage à Saint Symphorien sur Coise, église bien perchée.

puis Chazelles sur Lyon et son atelier-musée du chapeau de feutre à poil.

Viricelles avec sa statue de la Vierge sur le clocher-terrasse de son église (très moche vue de loin).

Meys au sommet d’une côte (une de plus …).

Ce sera ensuite Haute-Rivoire où j’arrive même à m’asseoir au soleil pour déguster deux autres croque-monsieurs,

puis Villechenève, à mi pente de mon deuxième col de la journée à 862 mètres (à partir de l’altitude 540 mètres) très désert comme tous les villages traversés dans la matinée. Les villages ne sont pas abandonnés, mais les gens doivent profiter du dimanche pour se reposer de la semaine.

Ce sera ensuite la descente très rapide sur Saint Michel l’Éclairé, et Tarare.

Après la visite de Tarare où je n’ai rien vu de très remarquable à part ses deux églises, mais, fin de journée avec une bonne côte à venir, pas trop réchauffé, je n’ai pas trop cherché autre chose à découvrir. Je n’ai même pas pris de photo du viaduc ferroviaire sur lequel je passe assez souvent en train (ligne Nantes-Lyon), très belle petite ligne de train passant dans de très beaux paysages que j’avais envie d’aller découvrir à vélo, chose faite aujourd’hui.

La mairie de Saint Martin La Plaine.

L’église
de Saint Martin La Plaine.

J’émerge des nuages.

Mer de nuages.

Église émergeant des nuages, dans le village de Saint Didier sous Riverie, je n’y suis pas passé, le laissant sur ma droite.

L’église de Sainte Catherine.

L’église de Sainte Catherine.

L’église de Sainte Catherine.

L’église de Sainte Catherine.

Peinture dans l’église de Sainte Catherine rappelant l’histoire de Catherine d’Alexandrie, vierge et martyre qui a vécu au début du IVe siècle.

La Villa Marrel à Sainte Catherine. Marrel (19ème et début du 20ème siècle) : famille de forgerons originaires de Saint-Martin-La-Plaine, devenus sidérurgistes mondiaux installés à Rive-de-Gier. L’un des frères Marrel élut domicile à Sainte-Catherine, entouré de ses domestiques, prêtres, directeurs de conscience et tuteurs (40 à 60 personnes au total).

Plaque à la mémoire de Jean-Pierre Néel, saint canonisé en l’an 2000, né à Sainte Catherine en 1832, missionnaire en Chine, torturé et décapité en Chine en 1862.

Mécanisme de l’ancienne horloge de l’église de Sainte Catherine.

L’église de Saint Symphorien sur Coise.

L’église de Saint Symphorien sur Coise.

Monument à la mémoire d’Antoine Pinay. Homme politique de droite, plusieurs fois ministre sous la IVe République, il est désigné président du Conseil par Vincent Auriol en 1952. Il est le créateur de la rente Pinay, rente qui a coûté très très cher à l’Etat Français (donc au contribuable). Partisan du retour du général de Gaulle au pouvoir, il devient ministre des Finances en 1958 et contribue à l’instauration du « nouveau franc » dans le cadre du plan Pinay-Rueff, proposé en décembre 1958 et comportant notamment le passage au nouveau franc (La mention de Pinay est purement honorifique, l’opposition de ce dernier au plan qui porte son nom étant de notoriété publique). Sa mésentente personnelle avec le fondateur de la Ve République et son opposition à la politique menée par le gouvernement en Algérie française le conduisent à démissionner en 1960..

L’église de Saint Symphorien sur Coise.

L’usine de fabrication des saucissons de la marque Cochonou à Saint Symphorien sur Coise.

L’église de Chazelles-sur-Lyon.

L’atelier musée du chapeau à Chazelles-sur-Lyon. Ouvert depuis 1983 dans une ancienne fabrique, cet atelier-musée est le seul en France qui travaille le chapeau de feutre de poil. Cette fabrication a fait la renommée de Chazelles-sur-Lyon à la fin du XIXe siècle et dans la 1re moitié du XXe siècle. Cette industrie employait alors 2 500 ouvriers dans plus de 20 usines, dont quelques cheminées restantes rappellent l’importance.

L’atelier musée du chapeau à Chazelles-sur-Lyon.

L’église de Viricelles et la Croix de mission de 1857 à laquelle était rattachée 40 jours d’indulgence …

L’église de Meys.

L’église de Haute-Rivoire.

L’église, le point Poste et la mairie de Haute-Rivoire.

Mairie, église et monuments aux morts de Haute-Rivoire.

Joannès Arquillière. Chanteur lyrique, né à Haute Rivoire en 1853, où il restera jusqu’à l’âge de 16 ans. Puis il y reviendra en 1885 jusqu’à la fin de sa vie.
Joannès, dit le Grand Arquillière, est le fils d’un cordonnier, sa voie semblait donc tracée. Mais la musique changea sa destinée. Il cherchera la musique, l’art et le théâtre partout dans le monde.
A 16 ans il quitte Haute Rivoire pour apprendre sa passion à Lyon. Il a une voix de ténor. En même temps, il commence à avoir des petits rôles dans le théâtre lyonnais. Mais quand il ne travaille pas, il redevient cordonnier chez son père.
En 1880, le Théâtre des Célestins ayant brûlé, la Compagnie Française se produit en Italie pendant plus d’un an. La troupe joue pratiquement tous les soirs.
De retour dans son pays natal de 1885 à 1899 il est directeur de « L’Echo des Montagnes » à Saint Laurent de Chamousset, puis des fanfares de Roanne et de Feurs. Le 2 mars 1900, il joue Faust au Grand Théâtre, ce sera sa dernière représentation. En 1904 il est nommé Officier d’Académie par le ministre de l’instruction publique et des Beaux Arts. Il décède le 5 avril 1908 à l’âge de 55 ans.

Villechenève.

Donjon quadrangulaire, à La Ponchonière, à un kilomètre du hameau de Bouchala, sur la commune de Saint-Martin-Lestra.

Ferme en approchant d’Affoux.

Affoux.

Saint-Marcel-l’Éclairé.

Saint-Marcel-l’Éclairé.

Tarare.

L’église Sainte Madeleine à Tarare.

L’église Sainte Madeleine à Tarare.

La 12e station du chemin de croix de Jésus, dans l’église Sainte Madeleine à Tarare.

L’église Sainte Madeleine avait autrefois un dôme sur chaque clocher. Plutôt que d’être réparé en 1924-1925, ils ont été supprimés. Pas sûr que l’architecte aurait été d’accord, ni que l’édifice y gagne en élégance.

L’église Saint André de Tarare.

L’église Saint André de Tarare, fusion de deux églises.

L’église Saint André de Tarare.

L’église Saint André de Tarare.

Peinture dans l’église Saint André de Tarare. Je n’ai pas identifié le thème.

Peinture dans l’église Saint André de Tarare. La pêche miraculeuse.

Autel dans l’église Saint André de Tarare.

Vue de ma fenêtre d’hôtel ce soir.

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de Valence à Roanne – Jour 2 – Valence – Saint Paul en Jarez – 94 km

De Valence à Saint Paul en Jarez.

Impatient de pédaler, je démarre à 7h. Il fait nuit, mais je dois d’abord commencer par traverser Valence qui est éclairée, et ensuite, j’ai mon gilet jaune et mon excellent éclairage. De plus, les voitures roulent vers Valence, alors que je m’en éloigne.

Je remonte la rive droite du Rhône.

Première pause à Cornas, le jour commence à se lever.

Puis c’est Chateaubourg, il fait assez froid, avec un vent de face. Petite route, voire chemin, je suis bien tranquille.

C’est ensuite le barrage de la Roche de Glun, mais je rejoins la « grande route » qui doit être assez tranquille en temps normal, mais les manifestations agricoles bloquent l’autoroute de la vallée du Rhône et les poids lourds sont déviés par cette petite route.

Bel embouteillage de poids lourds à l’entrée de Tournon sur Rhône.

Traversée du Rhône pour poursuivre ma route via Tain L’Hermitage, bien embouteillée et la rive gauche.

Nouvelle demi-traversée du Rhône au niveau du barrage de Gervans pour poursuivre vers le nord sur l’île Jamet,

et au bout de l’île, je rejoins la rive droite au niveau d’Arras sur Rhône.

6 kilomètres plus loin, je rejoins Sarras et un nouvel embouteillage, mais je continue toujours à remonter la rive droite sur une route qui ne supporte pas le trafic poids lourds qui sont déviées vers la rive gauche.

Pas très agréables pour les voitures et camions en vallée du Rhône ces jours-ci. A vélo, pas de problème, on passe toujours. Évidemment, on va moins vite quand il faut remonter une file de véhicules bloqués.

J’arrive ensuite à Andance où je fais ma pause casse-croûte, puis je retraverse le Rhône pour Andancette et poursuivre à nouveau en rive gauche,

jusqu’à Saint Rambert d’Albon où je passe sur l’île de la Platière, réserve naturelle.

Au bout de l’île, je repasse en rive droite à Saint Pierre de Boeuf, j’entre dans le Parc naturel régional du Pilat,

et 4 kilomètres plus lion, j’arrive à Chabanay où je vais commencer l’ascension du col de Pavezin.

Très belle vue sur le Rhône, mais montée bien raide au départ, et plusieurs passage ensuite très raides. En fait, je ne me suis pas méfier quand B-Router m’a choisi mon itinéraire, et il a choisi un itinéraire par une succession de tous petits chemins goudronnés, mais de traverses, un coup à droite, un coup à gauche. Des raccourcis ! Alors qu’avec deux ou trois kilomètres de plus, j’aurais eu un itinéraire plus facile.

De toute façon, il me fallait monter à 690 mètres,

et je suis en forme, mon entraînement progressif depuis la fin décembre a été efficace.

Je suis à 14h au col, qui n’est pas tout à fait le sommet de ma route, et ensuite j’arrive, en descente, chez notre fille Isabelle, à Saint Paul en Jarez après avoir traversé La Terrasse sur Dorlay. Il fait 18°.

La mairie de Cornas au lever du jour. Liberté, Égalité, Fraternité, Laïcité.

Fontaine au centre de Cornas.

L’église de Cornas.

La Chapelle Notre-Dame-de-la-Mure à Cornas.

Falaise en bord de Rhône à Châteabourg, avec une plantation de jeunes chênes irrigués.

Châteaubourg et son château construit au XIe siècle, au sommet d’une éminence rocheuse sur la rive droite du Rhône, face au confluent de l’Isère et au château de La Roche de Glun, et à celui de Glun, trois châteaux appartenant au même propriétaire, un nommé Rogier, qui avait l’habitude de rançonner les passants, pèlerins et mariniers. Dans ses mémoires, Joinville dit que, se rendant en croisade, le roi Louis IX en profita pour assiéger le château de La Roche de Glun. Le seigneur Rogier et sa population passés au fil de l’épée, le roi fut logé au château de Châteaubourg.

Le château de Châteaubourg.

Le barrage de La Roche de Glun, sur le Rhône.

La vallée du Rhône. Sur l’autre rive, c’est le village d’Erome.

Le donjon de l’ancien château d’Arras sur Rhône.

Le donjon de l’ancien château d’Arras sur Rhône.

Andancette vue d’Andance.

Andance et son pont la reliant à Andancette.

Andance vue d’Andancette.

Saint Pierre de Bœuf.

La centrale nucléaire de Saint Alban-Saint Maurice.

Vue sur la vallée du Rhône en montant dans le massif du Pilat à partir de Chavanay.

Le Col de Pavezin. J’y ai fait une petite pause. Beaucoup de cyclistes, isolés ou par deux ou trois, profitent de ce bel après-midi de janvier pour escalader le col. Une semaine plus tôt, le col était sous la neige !

L’auberge du Col de Pavezin.

Je suis pour deux jours à Saint Paul en Jarez.

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