Alpes Européennes – Jour 26 – Guardabosone – Montanaro – 85 km

Aujourd’hui, j’ai quité la montagne, mais je l’ai longé toute la journée avec un bel aperçu sur ce que je pense être le massif du Mont-Blanc.

Donc, à part un petit col au départ, cela a été tout plat toute la journée avec de longues lignes droites. Heureusement quelques villes ou villages permettaient de rompre un peu la monotonie.

Départ 6h30, arrivée avant 13h à Chivasso, et il me restait 6 kilomètres pour rejoindre Montanaro.

Chivasso vers 13h, un dimanche, c’est une ville morte.

Cet après-midi, à Montanaro, il fait 31°, il devait faire 28° quand je suis arrivé, encore supportable en roulant.

Demain, il prévoit un peu plus chaud. Je traverse Turin dans la matinée avant la grosse chaleur.

Guardabosone.

Guardabosone.

Guardabosone.

En quittant Guardabosone.

En quittant Guardabosone.

Le village de Crevacuore.

Le torrent Sessera, affluent de la Sesia, elle-même affluent du Pô.

Au fond, ce doit être le Mont-Blanc. Je l’ai aperçu toute la journée.

Rizière. J’en ai traversé beaucoup ce matin.

Canal d’irrigation.

Canal d’irrigation et rizière. Le Mont-Blanc au fond.

Ferme du Piémont.

Le village de Buronzo.

Le village de Buronzo.

Le village de Buronzo.

Le village de Buronzo.

L’église de Buronzo.

L’église de Buronzo.

L’église de Buronzo.

L’église de Buronzo.

L’église de Buronzo.

L’église de Buronzo.

Le château de Buronzo.

Le château de Buronzo.

Le château de Buronzo.

Le château de Buronzo.

Le village de Buronzo.

Oratoire entre Buronzo et Nebbione.

Ferme piémontaise. A droite on aperçoit un tracteur qui évacue un saule pleureur cassé par l’orage d’hier soir.

Nebbione.

Santhia.

Église de Santhia.

Église de Santhia.

Livorno Ferraris.

Galileo Ferraris. Galileo Ferraris (31 octobre 1847 – 7 février 1897) était un professeur universitaire, physicien et ingénieur électrique italien, considéré comme l’un des pionniers du système de courant alternatif et de la création du champ magnétique tournant. Il est notamment connu pour avoir démontré en 1885 l’existence d’un champ magnétique tournant généré par deux bobines fixes orthogonales alimentées par des courants alternatifs décalés de 90°, ce qui a permis le développement des moteurs à induction. En 1925, sa ville natale, en son honneur, changea son nom de Livorno Piemonte à Livorno Ferraris

Livorno Ferraris.

Livorno Ferraris.

Livorno Ferraris.

Livorno Ferraris.

Livorno Ferraris. J’arrive à l’église à la fin de la messe, église pleine. Pendant que les fidèles sortent, la chorale chante avec entrain.

Livorno Ferraris. Une autre église … dès qu’une ville, voire un village est un peu grand, les églises se multiplient … mais seul une semble entretenue …

Monument aux morts 1915-1918 (pas 1914-1918) à Saluggia.

Saluggia.

La Dora Baltea, la Doire Baltée, affluent de la rive gauche du Pô.

Chivasso.

Chivasso.

Chivasso.

Chivasso.

Chivasso.

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Alpes Européennes – Jour 25 – Domodossola – Guardabosone – 75 km

Étape plus montagneuse que je le pensais, je n’avais pas regardé le profil avant de partir.

Petite montagne, parti à l’altitude 240 mètres, je suis descendu à l’altitude 200 mètres avant de remonter à 480 mètres pour mieux redescendre à 350 mètres et remonter à 584 mètres, redescendre à 350 mètres et terminer à 453 mètres, dernière côte où j’ai été obligé de pousser mon vélo tellement la côte était raide.

Parti à 6h30, j’arrive à Guardabosone à 14h après une belle étape au parcours très varié.

Hier soir, petite averse orageuse, et à nouveau ce matin avant mon départ, mais quand je pars, je n’ai même pas besoin de mettre ma cape.

Journée moins chaude qu’hier, la température a du montée à 28°.

Ce soir, très gros orage de grêle, très gros grêlons, mais je suis à l’abri depuis longtemps, très bien installé dans un petit immeuble ancien, rénové, très bien conçu pour résister à la chaleur sans climatisation, au cœur d’un petit village de petite montagne.

De belles « surprises » tout au long de la route, étape suffisamment courte et facile pour que je prenne le temps de musarder.

– le village de Vogogna, son église et son château
– la ville d’Omegna, son parc Rodari, son vieux centre-ville au bord du lac d’Orta
– le village d’Alzo
– …

Demain, je descends vraiment dans la plaine.

Piste cyclable en quittant Domodossola, ce matin.

Traversée d’un petit canal, probablement d’irrigation, à Villadossola.

Le village de Prata.

Traversée de la rivière Toce, rivière du Piémont, affluent du lac Majeur, donc un sous-affluent du Pô par le Tessin.

Le village de Dresio.

Le village de Vogogna.

Le château de Vogogna.

Le château de Vogogna.

Le château de Vogogna.

L’église de Vogogna.

L’église de Vogogna.

L’église de Vogogna.

L’église de Vogogna.

L’église de Vogogna.

Le village de Vogogna.

Livres en libre-service à Vogogna.

Le village de Cuzzago.

Le village de Cuzzago.

Le village de Cuzzago.

Le quartier du parc Gianni Rodari. Je pique-nique sous cette coupole-amphithéatre.

Le quartier du parc Gianni Rodari.

Omegna.

L’hôtel de ville d’Omegna. « Ripudia la Guerra »

Exposition de compositions à base de fleurs séchées à Omegna, devant la mairie.

Exposition de compositions à base de fleurs séchées à Omegna, devant la mairie.

Exposition de compositions à base de fleurs séchées à Omegna, devant la mairie.

Exposition de compositions à base de fleurs séchées à Omegna, devant la mairie.

Ruelle d’Omegna.

Petite réunion dans une rue d’Omegna, en présence d’une élue, ceinte de son écharpe et d’un prêtre, le public sont des jeunes hommes prêt à partir pour une marche, ou passant là au cours d’une marche.

Omegna, vue sur le lac d’Orta.

Le lac d’Orta.

Le village de Pra della Marta.

Le village de Pra della Marta, toujours beaucoup de cyclosportifs.

Le village de Nonio.

Le village de Nonio.

Le lac d’Orta et la presqu’île Orta San Giulio.

Le lac d’Orta et la presqu’île Orta San Giulio.

Le lac d’Orta.

Le village d’Alzo.

Le village d’Alzo. Les carrières de granit et le patrimoine de la maçonnerie sont au cœur de l’identité d’Alzo, le village étant historiquement réputé pour ses tailleurs de pierre qualifiés et son extraction de granit.

Le village d’Alzo. Je n’ai pas trouvé d’information sur cette sculpture, mais Alzo est voisin du village de San Maurizio d’Opaglio connu pour être le cœur du secteur industriel du robinet, avec de nombreuses entreprises historiques dans ce domaine.

Au-dessus d’Alzo, le village de Boleto.

Vierge à San Maurizio d’Opaglio. Derrière le rocher, une fontaine !

Le village de Pogno.

Le village de Pogno.

Le village de Pogno.

Le village de Pogno.

Le tunnel de San Bernardo, le sommet du col de 584 mètres, col sans nom qui permet de passer de la vallée du lac d’Orta à celle du Fiume Sesia, un affluent du Pô.

Le village de Valduggia.

Le village de Valduggia.

Le village de Guardabosone.

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Alpes Européennes – Jour 24 – Domodossola – Journée de repos

Aujourd’hui, c’était journée de repos. A 16h00, il fait 33°. Dans mon mobil-home, j’utilise la climatisation par intermittence. Je la règle sur 30°. Cela me fait un courant d’air suffisant. Je ne sais pas combien il ferait sans climatisation. Je viens de lire un article sur Reporterre sur les ventilateurs de plafond, cela m’apparaît très pertinent.

Ce matin, petit-déjeuner servi par le camping à 8h30, très bien, mais je ne prends pas le café italien, trop bon, mais trop fort, je mets ma dose de nescafé dans un grand verre de lait froid.

Puis je monte à pied au Sanctuaire du Mont Sacré, calvaire édifié au XVIIe siècle, au-dessus de la ville de Domodossola, à l’initiative de deux pères capucins. Il a été inscrit le 3 juillet 2003, avec huit autres calvaires du Piémont et de la Lombardie sur la Liste du patrimoine mondial au titre des biens culturels par l’Unesco.

En redescendant, je fais un petit tour dans le centre historique de Domodossola, très animé comme dans toutes les villes italiennes, animé par les gens du pays, pas par les touristes.

Demain, j’entame la dernière phase de mon voyage, la traversée du Piémont pour rejoindre la France, petites étapes tranquilles avant une dernière étape de montagne pour traverser les Alpes.

L’allée pavée qui monte au sanctuaire du Mont Sacré.

La rencontre de Jésus avec sa mère (4éme chapelle). La rencontre entre Jésus et Marie lors du Chemin de Croix est un moment silencieux mais chargé d’émotion, où leurs regards croisés expriment une douleur partagée et une foi profonde, illustrant l’amour sacrificiel et la force spirituelle dans la souffrance.

Rencontre de Jésus avec Véronique (6éme chapelle). Selon la tradition, Véronique aurait rencontré Jésus sur le chemin de la croix et, avec son voile, aurait essuyé son visage ensanglanté, laissant l’image de son visage imprimée sur le tissu, symbolisant l’amour et la compassion envers Jésus.

L’allée pavée qui monte au sanctuaire du Mont Sacré.

La 7éme chapelle.

La deuxième chute de Jésus (7éme chapelle).
La deuxième chute de Jésus symbolise la fragilité humaine et la persistance de la souffrance, rappelant que, malgré la faiblesse, la force divine permet de continuer, illustrant l’amour et la confiance en la Providence même dans l’adversité.

La crucifixion (11ème chapelle).

Jésus qui souffre sur la croix. Station 12 du Chemin de Croix.

Vue sur Domodossola depuis le Mont Sacré.

Les vestiges du château de Mattarella.

Les vestiges du château de Mattarella.

Foules d’enfants montant au sanctuaire du Mont Sacré.

Piazza del Mercato de Domodossola.

Piazza del Mercato de Domodossola.

La gare de Domodossola.

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Alpes Européennes – Jour 23 – Grono (Suisse) – Domodossola (Italie) – 85 km

Ajourd’hui, il a fait très chaud, 32° quand j’arrive à Domodossola, dans la vallée à 240 mètres d’altitude.

Heureusement, j’étais parti à 6h du matin, et n’ai pas souffert de la chaleur. Par contre je suis dans un mobil-home d’un camping de tourisme social, et heureusement qu’il y a une climatisation, sinon cela aurait été très dur pour la récupération.

C’était ma dernière étape de montagne avant le retour en France, les jours prochains, je vais être en plaine et les températures risquent d’être moins supportables.

Aujourd’hui, il s’agissait de terminer ma descente d’hier du col de San Bernardino jusqu’à Bellinzona que j’ai traversé sans m’attarder, a priori, rien de particulièrement remarquable à part la forteresse que je ne suis pas monté voir.

Puis, j’ai parcouru la large vallée du Ticino (le Tessin) de Bellinzona à Locarno où il alimente le lac Majeur.

Locarno est une ville au bord du lac Majeur. Tout le secteur est très urbanisé.

A partir de Locarno, je remonte la vallée très encaissée de la Melezza jusqu’à Camedo où je quitte la Suisse pour rentrer en Italie, où je continue à remonter la Melezza.

Passage à Malesco, Santa Maria Maggiore et Druogno, espèce de plateau assez urbanisé avec une assez importante circulation locale, alors que depuis Locarno, j’ai eu très peu de circulation, et je n’en aurai pas plus lors de ma descente à Domodossola.

Globalement, c’était une petite étape de montagne avec le passage d’un col (qui n’a pas de nom), au niveau du village de Druogno, en partant de l’altitude 200 mètres pour monter à 840 mètres et redescendre à 240 mètres. Estimée à 1400 mètres de dénivelé positif.

Demain c’est jour de repos après ces 4 étapes de montagne depuis Bormio. Journée de repos peut-être pas forcément nécessaire, mais lors de ma planification du voyage, j’avais préféré prendre des précautions.

En quittant Grono ce matin.

En quittant Grono ce matin.

Piste cyclable vers Bellinzona.

Le château de Bellinzona.

Le château de Bellinzona.

Piste cyclable vers Locarno.

Piste cyclable vers Locarno.

Traversée de la rivière Verzasca, affluent du Tessin, lui-même affluent du Pô, peu avant d’arriver à Locarno.

Traversée de la rivière Verzasca

Le lac Majeur à Locarno.

Le lac Majeur à Locarno.

Locarno.La Piazza Grande.

Locarno.Le château Visconteo.

En quittant Locarno, l’église de Losone.

Paysage au-delà de Losone.

Cascade et vieux moulin à Golino.

Le train transfrontalier Locarno(Suisse)-Domodossola(Italie) qui part de l’altitude 200 mètres, monte à 800 mètres et redescend à 250 mètres. Un train toutes les heures de 7h50 à 18h50. Bravo ! Par contre, cela paraît très cher, 50 € pour 80 km et 1h50 de trajet.

Le train transfrontalier Locarno(Suisse)-Domodossola(Italie) qui part de l’altitude 200 mètres, monte à 800 mètres et redescend à 250 mètres. Un train toutes les heures de 7h50 à 18h50. Bravo ! Par contre, cela paraît très cher, 50 € pour 80 km et 1h50 de trajet.

Vue vers la vallée d’où je viens.

La gare d’Intragna où j’ai pique-niqué. En Suisse, pas toujours facile de trouver un banc pour s’installer. Pour monter à Intragna il y a 3 lacets très raides et je monte à pied.

La montée vers Camedo.

L’entrée en Italie, juste après Camedo.

Le sanctuaire Madonne del Sangue, la Vierge du Sang, sanctuaire marial sur la commune de Re. Dédié à la Sainte Vierge, il fut construit en 1494, là où il y aurait eu un miracle : une petite fresque de la Madonna Lactans fut frappée par une pierre et se serait mise à saigner. Le premier sanctuaire fut bâti en en 1627, la basilique d’aujourd’hui de 1922 à 1958 où elle fut élevée au rang de basilique mineure par le pape Pie XII.

Le sanctuaire Madonne del Sangue.

Le sanctuaire Madonne del Sangue.

Le sanctuaire Madonne del Sangue.

Le sanctuaire Madonne del Sangue.

Le village de Druogno.

Peu après avoir traversé Druogno.

Le virage de Masera peu avant d’arriver à Domodossola.

L’hôtel de ville de Domodossola.

De Strasbourg à Domodossola via Salzburg, Trente et Bormio.

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Alpes Européennes – Jour 22 – Campodolcino (Italie) – Grono (Suisse) – 89 km

Longue étape aujourd’hui avec deux cols à plus de 2000 mètres.

Le premier le col de Spluga, 1033 mètres de dénivelé en 19 kilomètres, soit du 5,4 %. Dans la réalité, il y a des passages où ça redescend et d’autre où c’est tout plat, donc la pente moyenne réelle est plus élevée. C’est donc un col plus difficile que ce que l’on pourrait croire. Parti à 6h30, je suis en haut à 9h15, moyenne 6,9 km/h, sans poser pied autrement que pour faire de très nombreuses photos.

Le col de Spluga est une frontière entre l’Italie et la Suisse. Je rentre donc en Suisse où je dors ce soir.

Après le col de Spluga, descente sur Splügen, altitude 1460 mètres,

puis, route d’approche du col de San Bernardino sur une dizaine de kilomètres,

et il reste 8 km d’ascension du col de San Bernardino pour 450 mètres de dénivelé à reprendre.

Je suis en haut à 12h30,

il me reste 40 kilomètres de descente pour rejoindre Grono, altitude 320 mètres, où il fait bien chaud 29°. Arrivée vers 15h

Le barrage d’Isola dans la montée du col de Spluga.

Le village d’Isola.

Le village d’Isola.

En approchant de la station de Modesimo, mais je n’y passe pas, je bifurque juste avant.

Dans la montée du Spluga.

Dans la montée du Spluga.

Le refuge de Teggiate.

Au-dessus de Teggiate.

Le barrage de Montespluga.

Le lac de Montespluga.

Le lac de Montespluga, vue vers l’avant

Le lac de Montespluga, vue vers l’arrière, d’où je viens.

Le village de Montespluga.

En approchant du col de Spluga.

Le Passo del Spluga – 2115 mètres.

Le Passo del Spluga – 2115 mètres.

Le Passo del Spluga – 2115 mètres.

Le Passo del Spluga – 2115 mètres, d’où je viens.

Le Passo del Spluga – 2115 mètres.

Paysage dans la descente.

Lacets du Spluga, côté Suisse.

La descente vers Splügen.

La descente vers Splügen.

La descente vers Splügen. Je vais repartir dans la vallée à gauche.

Splügen.

Splügen.

La descente vers Splügen. Je vais repartir dans la vallée à gauche.

Splügen.

Et c’est reparti vers le col de San Bernardino !

Et c’est reparti vers le col de San Bernardino !

Le village de Nufenen.

Le village de Nufenen.

Paysage après Nufenen.

Le village d’Hinterrhein.

Paysage. Je suis sur une route d’excellente qualité, large, sans aucune circulation, qui double l’autoroute qui a l’originalité d’ête une autoroute avec une seule voie dans chaque sens. Cette autoroute passera par un tunnel sous le col de San Bernardino, mais je la retrouve dans les mêmes conditions de l’autre côté. Elle m’accompagnera jusqu’à Grono, et même Bellinzona demain matin.

Vue d’où je viens, ensuite c’est le début de l’ascension du San Bernardino.

Dans la montée du col, vue d’où je viens. C’est quoi ça ? J’optais pour un ouvrage de défense militaire. Pas du tout, ce sont les tours d’aspiration et de ventilation du tunnel qui passe sous le col. Sur l’autre versant du col on retrouve les deux mêmes tours qui sont les extémités de deux puits distincts, l’un pour l’aspiration, l’autre pour la ventilation.

L’approche du col de San Bernardino.

Le col de San Bernardino – 2066 mètres, légèrement plus bas que le Spluga (2115 mètres).

Le col de San Bernardino – 2066 mètres.

Le lac de Moezola au col de San Bernardino.

Le lac de Moezola au col de San Bernardino.

Le lac de Moezola au col de San Bernardino.

La descente vers Bellinzona.

Le village de San Bernardino, sous le col, dans la descente vers Bellinzona.

Le village de Mesoco.

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Alpes Européennes – Jour 21 – Pontresina (Suisse) – Campodolcino (Italie) – 75 km

Beau temps comme d’habitude.

L’étape à consister à descendre de Pontresina (Suisse) altitude 1834 mètres jusqu’à Chiavenna (Italie) altitude 327 mètres et à remonter ensuite à Campodolcino (Italie), altitude 1075 mètres, la vallée du col de Spluga qui est à mon menu de demain matin.

Départ 7h30 après le petit-déjeuner de l’auberge de jeunesse.

J’hésite entre l’itinéraire cyclotourisme et celui de vélo de route pour rejoindre Saint Moritz … mais ce sont des chemins … je me lasse très vite … comme d’habitude …

J’ai du mal à comprendre …

A Célérina, je fais le choix de monter à Saint Moritz. Je ne suis pas sûr que ça valait le détour. Je préfère, de très loin, les villages autour qui ont gardé un certain caractère.

Très belle descente, douce, en longeant des lacs au départ, lac de Saint Moritz, lac de Silvaplana, lac de Sils, puis après Maloga, une descente beaucoup plus raide jusqu’à Chiavenna, très jolie ville.

De Chiavenna à Campodolcino, 750 mètres de montée en 13 kilomètres, entre 12h30 et 14h30, il faisait bien chaud, mais il y avait de l’air frais aussi. Montée pas très difficile, mais pas si facile, avec un passage de 400 mètres à plus de 10 %, j’ai posé pied sur une centaine de mètres. Normal.

La gare de Pontresina.

La gare de Pontresina.

La gare de Pontresina, gare multi-modale.

En quittant Pontresina, ce matin.

Le village de Celerina, peu après le départ.

Le village de Celerina, peu après le départ.

Le village de Celerina, peu après le départ.

Atterissage à l’aéroport Engadin à Samedan, le village voisin de Celerina. C’est l’aéroport de Saint Moritz.

Modestie de Saint Moritz. J’ai lu que c’était la ville au monde la plus chère au m2 neuf, 39 000 € au m2.

Saint Moritz.

Saint Moritz. Église enclavée entre des hôtels.

Saint Moritz.

Le lac de Silvaplana.

Silvaplana.

Silvaplana.

Silvaplana.

Paysage.

Paysage.

Paysage.

Vue d’où je viens en longeant divers plus ou moins grands lacs. Ici , c’est le lac de Sils.

Paysage à Maloga.

Les lacets du col de Maloga, col que je fais en descente, il ferme la vallée de Saint Moritz, en pente très douce, et plonge sur Chiavenna. Des lacets très très serrés et très rapprochés.

Le village de Schena.

Du côté de Stampa.

Le village de Promontogno. Un tunnel, interdit aux vélos, passe sous le village.

Le village de Promontogno.

Le village de Promontogno.

Le village de Promontogno.

Le village de Castasegna, dernier village suisse avant la frontière italienne.

Le village de Castasegna.

Entrée en Italie. Les voitures de course sont de sortie.

Le village de Borgonuovo.

Le village de Prosto.

Intérieur de l’église du village de Prosto.

Arrivée à Chiavenna.

Arrivée à Chiavenna.

Arrivée à Chiavenna.

Le château de Chiavenna.

Le château de Chiavenna.

Chiavenna.

L’hôtel de ville de Chiavenna. « Cessate il fuoco ». Où ça ? Gaza ? Ukraine ? Iran ?

Chiavenna.

Chiavenna.

Chiavenna.

Chiavenna.

En montant sur Campodolcino, le village de San Giacomo Filippo.

En montant sur Campodolcino, le village de Gallivaggio.

Vu de ma fenêtre de chambre à Campodolcino. Les cloches sonnent très fort à 17h30 et 17h45, un carrillon plus doux à 19h.

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Alpes Européennes – Jour 20 – Bormio (Italie) – Pontresina (Suisse) – 70 km

Le temps se maintient au sec. Ces derniers jours, des averses en fin d’après-midi, mais aucune pluie quand je roule.

Une journée avec 4 cols de plus de 2000 mètres. Impressionnant non !

En fait, le premier col, le col de Foscagno à 2291 mètres avec 1100 mètres de dénivelé depuis Bormio était la « difficulté » du jour. Ensuite, j’ai un peu redescendu, mais en restant en altititude et les 3 cols suivants ne présentait pas de dénivelé important, donc pas très difficile, même si le Bernina était un peu raide sur la fin.

Après l’Allemagne, l’Autriche et l’Italie, je suis entré en Suisse par le Forcola di Livigno, mon troisième col de la journée.

Le col de Bernina se trouve sur la ligne de partage des eaux entre la mer Noire et la mer Adriatique. Il sépare également deux langues et deux cultures : l’Engadine où se parle le romanche et le val Poschiavo où se parle l’italien.

Parti à 6h du matin, je suis en haut du Foscagno un peu avant 9h, j’arrive au Bernina un peu avant 13h.

Restait plus qu’à descendre sur Pontresina.

Montée sur le Foscagno, pas très agréable, pas mal de circulation, poids lourds et automobiles, quasiment pas de cycliste. Circulation peut-être lié à l’embauche un lundi matin.

Pour les 3 cols suivants, j’étais tranquille, mais il y a beaucoup de travaux en cours sur cette portion d’itinéraire avec des passages à une voie de circulation dans un sens. Les feux rouges n’arrêtent pas le cycliste qui monte, mais cela crée des paquets de voiture à certains moments.

Et pour les 3 cols suivants, il est plus tard et je croise ou me fait doubler (pas tant que ça) par énormément de cyclosportifs.

Peu après le départ, en arrivant sur le village de Pradelle.

Au premier plan, ce doit être l’église de Semogo, au fond le village de San Carlo.

Jalonnement dans le Passo del Foscagno, moins sophistiqué qu’hier, mais jalonnement kilométrique et hectométrique. Pour les autres cols de la journée, il n’y aura pas de jalonnement.

La vallée d’où je viens.

L’arrivée sur le Passo del Foscagno.

Passo del Foscagno – 2291 mètres – Premier col de la journée.

La douane, inoccupée au col de Foscagno, mais on est toujours en Italie, et assez loin de la frontière Suisse. Ce col est incontournable lorsque l’on rentre de Suisse en Italie par la ville de Livigno.

Passo del Foscagno – 2291 mètres – Premier col de la journée.

En descendant du Foscagno, vue sur Trepalle.

Le village de Trepalle. Je vais remonter vers le col que l’on aperçoit au fond.

Au delà de Trepalle, le village de Gembré.

Au delà de Gembré.

Le Passo del Eira – altitude 2208 mètres. 180 mètres de dénivelé positif.

Dans la descente du col d’Eira, vue sur Livigno.

Livigno.

Livigno, vue vers le nord (je n’y vais pas).

Livigno.

En quittant Livigno, vue vers le sud, ma route vers le Forcola di Livigno.

Sur un vélo, on n’aime pas les petits bruits. Et voilà qu’à chaque coup de pédale, j’ai un petit « clac ». Je m’inquiété, et à chaque tour de pédalier, c’est un peu plus fort. C’est alors que je m’aperçois que je suis poursuivi par une skieuse à roulettes et ce que j’entends ce sont ses coups de bâton sur le maccadam, de plus en plus fort parce qu’elle se rapproche. Elle finit par me doubler. Dans cette vallée de Livigno, je verrais de très nombreuses jeunes femmes en cours d’entraînement. Je n’ai pas trouvé d’explication pourquoi il n’y avait que des femmes, probablement une compétition à venir, ou un centre d’entraînement bien identifié. Je n’ai rien trouvé. Une chose sûre la vallée très longue avec peu de dénivelé semble propice à la pratique de ce sport.

La route vers le Forcola di Livigno.

La route vers le Forcola di Livigno.

La route vers le Forcola di Livigno.

Le Forcola di Livigno, altitude 2315 mètres – 3ème col de la journée. Dénivelé 460 mètres depuis Livigno.

Le Forcola di Livigno, le côté où je vais descendre.

Le Forcola di Livigno, le côté d’où je suis monté.

Le Forcola di Livigno, le côté où je vais descendre.

Dans la descente du Forcola di Livigno,.

Dans la descente du Forcola di Livigno,.

Le Passo del Bernina – Altitude 2330 mètres – dénivelé 275 mètres depuis la descente du Forcola di Livigno,.

Le Passo del Bernina – Altitude 2330 mètres

Le Passo del Bernina – Altitude 2330 mètres

Le Passo del Bernina – Altitude 2330 mètres, vue d’où je viens.

Le Passo del Bernina – Altitude 2330 mètres

Le Passo del Bernina – Altitude 2330 mètres

Sous le Passo del Bernina – le Lago Bianco, avec ses eaux que je dirais turquoise, Un site suisse dit « Le lac est alimenté par des eaux de glacier riches en limon (le «lait des glaciers»), qui lui confèrent une couleur blanc laiteux. Le Lago Bianco est à la fois un lac de barrage et une ligne de partage des eaux. À l’est, ses eaux se jettent dans la mer Noire; au sud dans la mer Adriatique. »

Le site de la Camera Obscure au Bernina Pass. La Camera Obscura située sur le site du sous-station d’entretien Bernina du Tiefbauamt Graubünden est une pièce sans fenêtres, conçue comme une expérience visuelle unique. La lumière pénètre par un trou dans le mur, projetant l’image du paysage extérieur sur la paroi intérieure concave, offrant ainsi une manière inattendue d’observer le panorama. Ouvert le samedi et le dimanche en juin !

Le train Bernina Express relie Saint-Moritz au val Poschiavo et passe par le col de la Bernina avec une vue panoramique de la chaîne de la Bernina dans son ensemble. Il est une des lignes des chemins de fer rhétiques RHB. Chemins de fer à voie métrique (1 m de large au lieu de 1,435 mètres).

Paysage en descendant sur Pontresina.

Le torrent Ova da Bernina aux eaux de couleur turquoise, blanc laiteux.

Pontresina.

Pontresina.

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Alpes Européennes – Jour 19 – Passo di Gavia – Altitude 2652 mètres – 54 km

Aujourd’hui, c’était journée de repos, mais il faut bien s’occuper pendant une journée de repos.

Quand on est dans une belle ville, comme Salzburg, ou Trente, c’est pas trop difficile.

Bormio a le privilège d’être au pied de trois cols prestigieux, le col de Foscagno par où je pars demain, le col de Stelvio et le col de Gavia, points de départ de grandes courses en montagne. C’est une ville d’hôtels touristiques, rien de très intéressant.

Je n’avais rien envisagé du tout pour cette étape de repos, mais la forme étant là, pourquoi ne pas faire un petit col sans bagages pour s’occuper ?

Après recherche, je vois le col de Gavia qui pourrait correspondre à mes envies, mais je rate le Stelvio, caché par un autre col qui vient avant (comme on peut voir le Lautaret, en ratant le Galibier …). Sinon j’aurai probablement choisi le Stelvio, un peu plus haut, un peu plus prestigieux, … à mettre dans mes tablettes …

Parti à 6h00, je suis à 9h20 en haut pour 27 kilomètres parcourus et 1453 mètres de dénivelé positif sans arrêter pour mettre pied à terre autrement que pour prendre des photos, malgré un passage de 200 mètres identifié à plus de 16 %, et un kilomètre estimé par le jalonnement à 11,3 % (le seul à plus de 10 %).

Soit une moyenne de 8,1 km/h pour une pente moyenne de 5,4 %.

Un col sans grande difficulté avec un vélo sans bagages, mais un col long (27 km). Le Mortirolo hier faisait 12 kilomètres.

Je reste étonné par ma performance dans le Grossglokner 32 km à 6 % à 6 km/h avec bagages.

Demain je reprends la route, avec bagages !

Vue, ce matin en partant à 6h du matin, depuis Bormio, sur la vallée par où je pars demain.

En approchant du village de Uzza.

Jalonnement du Passo di Gavia. J’en suis au deuxième kilomètre, à l’altitude 1278 mètres, je suis à 23,8 kilomètres du sommet, et ce deuxième kilomètres a une pente moyenne de 5,3 %. C’est la première fois cette année que je retrouve ce type de jalonnement, classique en France sur les grands cols du Tour de France. Le Gavia est un des grands cols du Giro (pas cette année).

Paysage en montant.

Le passage au village de Santa Caterina.

Payasage. En plus du jalonnement tous les kilomètres, on a un jalonnement tous les 100 mètres. Ici, je sais que je suis dans le 16éme kilomètre et que j’ai fait 400 mètres dans ce kilomètre. Il est 8h.

Paysage en montant, il est 8h30.

Paysage en montant. Il est 8h47.

Il est 9h05. J’arrive au refuge Arnaldo Berni, un militaire italien spécialiste du combat en haute-montagne, disparu dans une crevasse en septembre 1918.

Passo di Gavia – 2652 mètres. Il est 9h19.

Au-dessus du col, la Madonna delle Vette., la madonne des sommets, un autel et les bustes de Fausto Coppi, grand coureur cycliste des années 1950, et Vincenzo Torriani, directeur du Giro de 1949 à 1992.

D’où je viens, la vallée du torrent Gavia.

La vallée du Rio di Gaviala. En descendant par là, je rejoindrai Vezza d’Oglio d’où je viens. J’aurais pu monter par ce col pour rejoindre Bormio, mais d’une part, en préparant mon itinéraire, j’ai peut-être eu peur de l’altitude du Gavia à grimper avec bagages, d’autre part, je préférais probablement aussi un col moins prestigieux, mais plus tranquille en terme de circulation automobile.

Au dessus- du col de Gavia.

Au col de Gavia, une horde de motos. J’en ai eu très peu dans la montée, par contre, dans ma descente, j’en ai croisé des dizaines, et j’ai été doublé par des dizaines. Heureusement les voitures de course n’était pas de sortie aujourd’hui dans ce col.

Le lac du col de Gavia en cours de dégel.

En descendant du Passo di Gavia, aperçu sur la montagne en approchant de San Antonio.

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Alpes Européennes – Jour 18 – Vezza d’Oglio – Bormio – 50 km

Excellente journée aujourd’hui. Comme d’habitude.

Je suis très étonné de mon ascension du col de la journée. Le col de Mortirolo, 1854 mètres, col de la 17 éme étape du Giro, le tour d’Italie. Étape qui se terminait à Bormio, comme moi aujourd’hui. Le Giro, c’était le jeudi 29 mai 2025, il y a une vingtaine de jours.J’ai du recevoir de l’énergie laissée par les coureurs.

Je ne savais pas avant de partir que c’était une partie d’étape du Giro, mais j’avais regardé le profil hier soir, et j’avais été très impressionné par de très nombreux tronçons à plus de 10 % et même un tronçon de 200 mètres à plus de 16 %.

En fouillant sur Internet, je découvre qu’il est plus dur en venant de Bormio.

En fait, j’ai monté à pied deux rampes sur une centaine de mètres, et la deuxième, je ne me savais pas si proche de la fin du col, et cela aurait pu passer, mais je voulais garder de la réserve. La première rampe à pied devait être celle à 16 %.

J’étais au pied du col à 6h00 pile et en haut à 8h18, et, en fait, j’aurai pu y être plus tôt. La fin se fait à peu près à plat, on ne sait pas vraiment quand on arrive au col et j’ai pris beaucoup de photos avant d’être arrivé alors que je n’étais pas arrivé.

2h18 pour 972 mètres de dénivelé et 12,6 km, soit une moyenne de 5,5 km/h pour une pente moyenne de 7,7 %. Un peu plus lent qu’hier (6,6 km/h) pour une pente nettement plus faible 5,7 %, mais l’ascension d’hier faisait 21 km.

En résumé, un col bien passé !

En partant ce matin à 5h50, j’avais commencé par descendre de l’altitude 1057 mètres à 895 mètres, village d’Incudine, puis ce fut l’ascension en remontant le torrent d’Oglio, puis la descente jusqu’à l’altitude 714 mètres, le village de Tiolo. Il me restait alors 20 km pour atteindre Bormio et remonter à l’altitude 1168 mètres, un peu le profil d’hier, en plus court.

De Tiolo à Bormio, je suis sur une magnifique piste cyclable (le Sentiero Valtellina) en site propre, très très bien conçue, jamais très loin de la route, mais jamais près près non plus. Pas de dénivelés brutaux comme j’en ai vu si souvent sur les pistes mal conçues.La remontée de la vallée de l’Adda sera un véritable plaisir, avec une vue sur les chutes de l’Adda (mais je n’ai trouvé aucune information à ce sujet). Tout le long de cette route, de très nombreux points de pique-nique, souvent avec fontaine, et comme sur les autoroutes, à chaque aire de pique-nique, on a une information sur la distance à laquelle se trouve la prochaine !

Arrivée à 12h à Bormio. Quelques courses pour deux jours, demain c’est dimanche,

et c’est journée de repos pour moi, dans une auberge de jeunesse, dortoir de 4 lits, mais vraiment très très bien, comme tous mes hébergements. Hier, j’ai eu un peu de mal à accéder à mon appartement. J’arrive au point prévu. Tout est fermé. Je téléphone (efficacité booking versus airbnb). Je tombe sur un italien, mais impossible de se comprendre, il ne parle qu’italien. Au bout de 5 minutes au téléphone, j’interpelle un jeune couple d’italiens, leur passe mon smartphone après leur avoir en deux mots expliqué mon problème. C’est pas difficile, il suffit d’aller à la pizzeria 100 mètres plus loin. Et le logement était impeccable.

Vezza d’Oglio, ce matin.

Vezza d’Oglio, ce matin.

Village d’Incudine, pied du col.

Village de Monno.

Fête des conscrits, 2005-2023. Fête locale.

Village de Monno.

Fausto Bertoglio, vainqueur du Giro 1975.

Le col Morterolo, sur la route du Giro 2025, le 29 mai.

Paysage.

Paysage, je suis presque au col.

Presque au col, panneau maculé, la honte !

Passo Mortirolo – 1852 mètres.

Passo Mortirolo – 1852 mètres.

Passo Mortirolo – 1852 mètres, la construction est un refuge pour s’abriter en cas de mauvais temps.

Recharge électrique pour vélo électrique ou smartphone, mais la très très grande majorité des cyclistes que j’ai vu étaient des cyclosportifs. Et il y a aussi une pompe pour regonfler son vélo.

Passo Mortirolo – 1852 mètres.

Passo Mortirolo – 1852 mètres.

Quand je suis arrivé, l’arc de triomphe n’était pas encore monté. Il s’agit d’une animation du parc naturel du Stelvio. La route pour le Morterolo était interdite à la circulation automobile, réservée aux vélos.

Dans la descente.

Dans la descente.

Dans la descente, aperçu sur les villages de Grosio.

Aperçu sur le village de Tiolo.

Le village de Tiolo.

Superbe viaduc sur le sentier de la Valtinella.

Le village de Bolladore.

Passerelle couverte (historique) à Sondalo.

Le village de Sondalo.

Le village de Madonna della Biorca.

Le village de Prese.

L’autoroute s’engouffre sous la montagne.

Les chutes de l’Adda.

Les chutes de l’Adda.

Les chutes de l’Adda.

En approchant de Valdisotto.

En approchant de Valdisotto.

Paysage.

Valdisotto.

Santa Lucia.

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Alpes Européennes – Jour 17 – Bagolino – Vezza d’Oglio – 80 km

Étape de haute montagne aujourd’hui.

Première partie, l’ascencion du Passo Crocce Domini, altitude 1940, je suis parti de l’altitude 748 mètres, soit 1200 mètres de dénivelé sans compter les petites descentes dans la montée.

Je l’ai monté sans avoir besoin de pousser mon vélo, malgré plusieurs tronçons à plus de 10 %, mais probablement pas beaucoup plus de 10 %.

Départ 5h45, arrivée au col à 8h55 pour 21 km, 6,6 km/h de moyenne pour une pente moyenne de 5,7 %, avec quelques arrêts photos. C’est un col sérieux mais pas très difficile à la fraîche.

Deuxième partie, 20 kilomètres de descente jusqu’à Breno où je me retrouve à l’altitude 300 mètres. Dans la descente, je fais ma pause déjeuner à la sortie du village de Astrio.

Troisième partie, remontée de la vallée du torrent Oglio jusqu’au village de Vezza d’Oglio, soit 757 mètres de dénivelé en 38 kilomètres, soit une pente de 2 % en moyenne. Ce n’est pas grand’chose en moyenne, mais, à la fin, il y a des tronçons de 4 à 6 %, et il fait très chaud, 30°.

Noter qu’à Breno, j’ai commencé par prendre l’itinéraire cyclotourisme, goudronné sur 5 kilomètres, puis qui devient un chemin de terre, de plus tout en montée-descente, je reprends vite l’itinéraire vélo de route.

Dans l’ascension du col et sa descente, j’étais quasiment tout seul, pas de cycliste dans ma montée, quelques très rares croisés dans la descente, quleques véhicules très locaux. Superbe col, un peu ignoré.

Par contre, dans la remontée de la vallée de l’Oglio, il y avait une circulation non négligeable, mais supportable.

Demain étape plus courte, mais un col très difficile.

Bagolino, ce matin.

Bagolino, ce matin.

Bagolino, ce matin.

Val Dorizzo.

Troupeau de vaches à dix kilomètres du sommet du Passo Crocce Domini.

En approchant de Gaver.

On aperçoit le Passo Crocce Domini.

Passo Crocce Domini.

Passo Crocce Domini, vue vers où je vais descendre.

Passo Crocce Domini, vue d’où je viens, la rampe finale de l’ascension.

Dans la descente vers Breno.

Aperçu sur le village d’Astrio dans la descente vers Breno.

Le village d’Astrio.

Arrivée sur Breno.

Breno et son château fort en ruine.

Une église de Breno.

Pont sur le torrent Oglio à Breno.

Le torrent Oglio à Breno.

Le torrent Oglio à Breno.

Paysage, au fond le village de Ceverno.

L’usine électrique de Cedegolo.

Arrivée à Cedegolo.

L’église paroissiale de Malonno.

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