Ardéchoise – Jour – 8 – Saint Sauveur de Montagut – Privat – 93 km

Profil de l’étape de Saint Sauveur de Montagut à Privas – 94 kilomètres avec 2133 mètres de dénivelé positif.

Profil d’étape assez impressionnant avec 1000 mètres de dénivelé positif supplémentaire par rapport à hier, mais l’étape s’est passé sans difficulté, parti à 8h, arrivé à 16h chez Josie.

Beau temps, mais orage très menaçant dans la descente du col de la Fayolle, je me dépêche pour arriver à Privas avant l’orage, mais il n’éclatera pas à Privas. J’ai froid dans la descente, je n’ai pas pris le temps de mettre mon coupe-vent.

Agréable soirée, excellent dîner chez Josie en parlant de tout et de rien, du Front Populaire à venir, du village de Chanéac et de son maire de 1965 à 1989, …

En quittant Saint Sauveur de Montagut, en remontant la vallée du Doux.

Je n’ai pas eu le réflexe de prendre le panneau précédent, deuxième panneau de l’ascension du col de Buriane, altitude finale 620 mètres.

Décoration de l’Ardéchoise à Beauvène.

Saint Barthélémy le Meil

Col de Buriane, 6 km, 270 m de dénivelé, 43 minutes, 8,4 km/h

Pied du col de la Faye, 9 km, 451 mètres de dénivelé.

Dans la montée du col de la Faye, genets fleuris et embaumant, plus tardif qu’en Bretagne.

Col de la Faye, 8,05 km/h de moyenne, mais je me suis arrêté pour prendre une photo.

Dans la descente du col de La Faye.

Dans la descente du col de La Faye.

Le lieu-dit La Blache, entre Albon d’Ardèche et Saint Pierreville.

A Saint Pierreville.

Saint Pierreville.

Saint Pierreville.

Pause cass-croûte devant la mairie de Saint Pierreville.

En quittant Saint Pierreville.

Point recyclage, verre, emballages, poubelles noires.

Coût pour la collectivité du recyclage du verre : 35 € la tonne.

Coût pour la collectivité du recyclage des emballages : 215 € la tonne.

Coût pour la collectivité du recyclage des poubelles noires : 504 € la tonne. De quoi faire réfléchir !

Monument aux morts de Saint Étienne de Serre.

Paysage à Saint Étienne de Serre.

Saint Étienne de Serre.

En s’approchant de Issamoulenc.

Arrivée à Issamoulenc.

Issamoulenc.

Issamoulenc.

Issamoulenc.

Pied du col de la Fayolle, 357 mètres de dénivelé en 6,8 kilomètres.

Saint Julien du Gua.

Col de la Fayolle, 8 km/h de moyenne, avec un arrêt photo.

Paysage au col de la Fayolle.

Col de Sarrasset, j’y arrive en faux-plat depuis le col de la Fayolle.

Arrivée sur Privas.

Privas.

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Ardéchoise – Jour – 7 – Cheminas – Saint Sauveur de Montagut – 72 km

Très beau temps aujourd’hui, mais assez froid, avec un fort vent du nord, j’ai roulé en cuissard court et t-shirt toute la journée, mais pour la pause casse-croûte, j’ai enfilé polaire et coupe-vent.

Magnifique étape sans circulation sauf un peu au départ,

et des pentes assez douces, sauf la montée sur Barthélémy le Plain où c’était un peu raide,

1175 mètres de dénivelé positif, le plus gros dénivelé depuis mon départ de Guéret,

Une journée facile, démarrée vers 7h15, arrivée vers 14h30, un vrai plaisir.

Demain, l’étape sera plus sévère.

Paysage en démarrant ce matin.

Radio-amateur ?

vue sur la vallée du Doux, affluent du Rhône, Tournon sur Rhône (j’ai bifurqué avant de descendre complètement dans la vallée.

Le pont pour traverser le Doux et partir vers la gauche, la route de Saint Barthélémy le Plain.

Le Doux.

Viaduc routier sur le Doux (je suis passé dessus).

No comment !

Viaduc routier sur le Doux (je suis passé dessus), en bas l’ancienne route (que j’aurai pu prendre, mais j’étais bien sur la nouvelle route),

Saint Barthélémy le Plain.

Église de Colombier le Jeune (le clocher est surmonté d’une vierge blanche dont on se demande ce qu’elle vient faire là, probablement un rajouti du 20éme siècle.

Le monument aux morts de Colombier le Jeune.

Gihloc sur Ormèze.

Gihloc sur Ormèze.

Col de Mayres, altitude 630 mètres.

Stèle à la mémoire d’un avion anglais abattu le 27 juin 1944 alors qu’il ravitaillait en armes la résistance ardéchoise.

Col du Serre, altitude 599 mètres.

Bienvenue à Boffres, village de l’Ardéchoise.

Boffres

Musique celtique à Boffres.

Décoration dans le village de Boffres à l’occasion de l’Ardéchoise 2024, tous les retraités de ce tout petit village se sont activés ce matin pour le décorer. Quand j’y passe, peu avant midi, c’est quasiment terminé.

L’église de Boffres, la route de l’Ardéchoise passe plus bas, mais ça vaut le coup de monter.

L’église de Boffres et une ancienne tour du château en ruine.

L’église de Boffres et une ancienne tour du château en ruine.

L’église de Boffres

L’église de Boffres

L’église de Boffres

Col de la Justice, altitude 679 mètres. J’ai l’impression d’y arriver en descente, en fait au bout d’un faux-plat de 3 à 4 kilomètres. c’est le point culminant de ma journée.

Vernoux en Vivarais.

Vernoux en Vivarais.

Provocation laïque ?

Sur le mur extérieur de l’église, à droite du porche d’entrée. Petite récupération locale …

Silhac.

Église de Silhac.

Église de Silhac.

Église de Silhac.

Silhac.

Col de Comberon 681 mètres. J’ai décollé les deux autocollants que l’on voit en bas à droite sur le panneau. Inadmissible, ces affichages illégaux !

Paysage dans la descente du col de Comberon.

Paysage dans la descente du col de Comberon.

Paysage dans la descente du col de Comberon.

Pont sur l’Eyrieux, affluent du Rhône où il se jette à La Voulte sur Rhône.

L’Eyrieux.

Au bord de l’Eyrieux avant d’arriver à Saint Sauveur de Montagut.

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Ardéchoise – Jour – 6 – Lyon – Cheminas – 90 km

Aujourd’hui, j’ai terminé le Grand Défi Railcoop avec, comme il se doit, le passage par Lyon-Perrache.

Globalement, ma route de Guéret à Lyon qui ne devait être qu’une petite mise en jambe avant l’Ardèche, alors que j’avais entretenu ma condition physique après le séjour sur la Costa Brava, a été une épreuve plutôt difficile, même si je n’ai jamais eu de mal à finir mon étape, et toujours bien récupéré.

Je m’interroge donc sur ma capacité à poursuivre des voyages à vélo avec beaucoup de montagne, ce que je préfère.

Aujourd’hui, c’était plutôt une étape de récupération, la descente de la vallée du Rhône de Lyon à Sarras, soit 77 kilomètres, puis 12 kilomètres de montée avec 400 mètres de dénivelé pour arriver à Cheminas.

De Lyon à Vienne, de bonne heure un dimanche, pas de circulation.

De Vienne à Péage de Roussillon, 25 km, circulation très supportable sur des routes plus importantes.

De Péage de Roussillon à Saint Rambert d’Albon, forte circulation, en sécurité sur une bande cyclable.

De Saint Rambert à Sarras, peu de circulation et plus du tout dans la montée vers Cheminas.

Une étape très facile que je termine en pleine forme, le vent était très favorable, les jours suivants seront plus difficiles.

Temps couvert toute la journée, pluie orageuse en fin de journée, mais j’étais arrivé depuis longtemps.

Chantal avait ma procuration pour les élections européennes. Résultats décevants mais prévisibles pour ma candidate Marie Toussaint, j’espère qu’elle aura les 5% qui permettront aux Écologistes d’avoir des représentants au Parlement Européen.

La gare de Lyon-Perrache, ce matin à 7h20, juste avant de démarrer. J’avais pris mon petit-déjeuner dans le parc devant la gare.

La raffinerie de Feyzin. Souvenir de notre génération, elle a explosé le 4 janvier 1966 (j’avais 12 ans). Cette catastrophe a fait 18 morts dont 11 pompiers, et 84 blessés. Au-delà de la raffinerie, des toitures ont été endommagées jusqu’à plus de deux kilomètres, et des vitres brisées à plus de huit kilomètres. L’explosion a été entendue jusqu’à seize kilomètres de la raffinerie.

Chasse sur Rhône.

Arrivée sur Vienne.

Sainte Colombe, en face de Vienne.

L’église Saint André le Bas à Vienne.

La cathédrale Saint Maurice à Vienne.

Le temple d’Auguste et Livie à Vienne.

Maraîchage dans la vallée du Rhône.

Surf tiré électriquement (totalement silencieux) sur le parc nautique des Roches de Condrieu.

Surf tiré électriquement (totalement silencieux) sur le parc nautique des Roches de Condrieu.

Surf tiré électriquement (totalement silencieux) sur le parc nautique des Roches de Condrieu.

Les Roches de Condrieu.

La centrale nucléaire de Saint Maurice l’Exil.

Péage de Roussillon.

Le pont permettant de traverser le Rhône d’Andancette à Andance.

La traversée de la Cance, et vue sur les monts d’Ardèche.

Vue sur Sarras et la vallé du Rhône en montant vers Cheminas.

Dans la montée au-dessus de Sarras, croix à la mémoire d’un soldat tué là en juin 1940.

L’église d’Eclassan.

En approchant de Cheminas.

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Ardéchoise – Jour – 5 – Roanne – Lyon – 94 km

Hier soir, à Lyon, j’étais hébergé dans un dortoir de 6 lits, bien installé sur le lit du haut, mais peu propice à la rédaction d’un article.

Ce soir, pour le même prix, je suis perdu dans la montagne ardéchoise, mais avec un très beau gîte pour moi tout seul. Donc, après cet article, vous en aurez un deuxième avec le compte-rendu de ma journée d’aujourd’hui.

Hier, étape plus facile que les trois précédentes. Une seule « difficulté », la montée à Les Sauvages, un col permettant de passer du versant de la vallée de la Loire à celui de la vallée du Rhône.

Je connaissais déjà ce col pour l’avoir déjà escaladé dans l’autre sens à la fin du mois de janvier dernier dans ma randonné de Valence à Roanne.

La montée est douce de Roanne à Amplepuis, il reste 8 kilomètres plus raide pour atteindre les Sauvages. C’est ensuite la descente sur Lyon qui n’est pas très agréable, sur 25 kilomètres, de Tarare à Lozanne, route à circulation, mais cela va assez vite.

A Lozanne, on retrouve une petite route, mais une grosse côte …

J’avais du modifier un peu le parcours du Grand Défi, car je ne rentre pas dans Lyon par le tunnel de La Croix Rousse que j’aurais bien aimé découvrir. Ce sera pour une autre fois, je passe suffisamment souvent à Lyon.

La traversée de la Loire en quittant Roanne ce matin.

La gare du Coteau, banlieue de Roanne.

La gare désaffectée de l’Hôpital sur Rhins (10 kilomètres de Roanne), transformée en un FabLab. Un fab lab (contraction de l’anglais fabrication laboratory, « laboratoire de fabrication ») est un tiers-lieu de type makerspace cadré par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et la FabFoundation en proposant un inventaire minimal permettant la création des principaux projets fab labs, un ensemble de logiciels et solutions libres et open-sources, les Fab Modules, et une charte de gouvernance, la Fab Charter. Il n’est pas certain que le Fablab respecte la règle officiel, cela doit plutôt être un tiers-lieu communal appelé « FabLab ».

A côté de la gare de l’Hôpital sur Rhins, un point de récupération de paniers de produits locaux.

A côté de la gare de l’Hôpital sur Rhins, un point de collecte des déchets très bien organisé. Tout est au même endroit, verre, plastique, emballage et biodéchets compostables.

L’abbaye de Pradines, une communauté de Bénédictines. Le travail est important dans la vie monastique. Il fait partie de la condition du moine ou de la moniale, comme de celle de tout homme et femme qui doit travailler pour subsister. Tout travail a une dimension spirituelle. Les « temps modernes » ont apporté la technologie à l’intérieur de nos murs. Si la rentabilité à tout prix n’est pas de mise, la communauté doit pouvoir vivre de son travail et entretenir ses bâtiments, héritages de son histoire. Aujourd’hui, les Ateliers de l’Abbaye de Pradines (l’imprimerie) assurent les revenus économiques de la communauté.

La gare de Régny sur Rhins, toujours en activité, mais locaux désaffectés.

La gare de Régny sur Rhins, toujours en activité, mais locaux désaffectés.

La gare de Régny sur Rhins, toujours en activité, mais locaux désaffectés.

Le viaduc de Saint Victor sur Rhins.

A Saint Victor sur Rhins, Honneur aux classes 4 ! Je suis de 1954 !

La gare de Saint Victor sur Rhins-Thizy.

La gare de Saint Victor sur Rhins-Thizy.

La gare de Saint Victor sur Rhins-Thizy.

Saint Victor sur Rhins vu de la gare.

La gare d’Amplepuis.

La gare d’Amplepuis.

La gare d’Amplepuis.

Le col de Les Sauvages, 723 mètres d’altitude.

Calvaire massacré à Les Sauvages.

La gare de Tarare.

L’Arbresle.

L’Arbresle.

La gare de L’Arbresle.

La gare de Lozanne.

La gare de Lozanne.

A Lozanne, moulin du groupe Soufflet, un des principaux meuniers-boulangers français, moulin doté d’une capacité de stockage de 3 500 tonnes, capable de produire annuellement 24 000 tonnes de farines issues de blé bio français.

Lozanne.

Après une belle montée en quittant Lozanne, paysage.

La gare de Ecully La Demi Lune, banlieue de Lyon.

La basilique de Fourvière et la Tour Métallique (elle n’a pas été conçue par Eiffel, construite en 1894, la tour Eiffel de Paris date de 1889.

La basilique de Fourvière et la Tour Métallique (elle n’a pas été conçue par Eiffel, construite en 1894, la tour Eiffel de Paris date de 1889.

Bord de Saône à Lyon. On aperçoit les tours du quartier de la Part-Dieu.

Manifestation pour un cessez-le-feu et la fin des massacres à Gaza, sur la place Bellecour à Lyon.

La Gare de Lyon-Part-Dieu.

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Ardéchoise – Jour – 4 – Gannat – Saint Germain des Fossés – Roanne – 100 km

Très belle étape encore aujourd’hui, un peu plus facile, mais plus longue (Le Grand défi avait coupé cette étape en deux).

Comme d’habitude, un parcours très haché, avec d’innombrables montées-descentes.

Une côte très sévère en quittant Saint Prix, certaines doivent s’en souvenir.

Très bel itinéraire sur de toutes petites routes, sauf sur 15 kilomètres à partir de Saint Martin d’Estréaaux, en partie sur la Nationale 7 jusqu’à la Pacaudière, mais c’est en descente et ça passe vite, puis sur l’ancienne Nationale 7, peu de circulation, mais route large, monotone, avec plein de montées-descentes.

En juin 2020, année Covid, de Nantes à Saint Paul en Jarez (Métropole de Saint Etienne), j’étais déjà passé à Saint Martin d’Estréaux, j’ai tout de suite reconnu la fresque en entrée de ville (page 45 de mon journal de ce voyage baptisé « De Nantes à Aix en Provence », en ligne sur le blog), mais je n’avais pas dû repérer le monuments aux morts. Aujourd’hui, je me rapellais que Mireille avait mis la photo de ce monuments aux morts « Maudite soit la Guerre » sur la messagerie Signal des Amis de Railcoop.

Sous le soleil, et il faisait bien chaud à Roanne à l’arrivée.

L’église de Gannat.

L’église de Gannat.

L’église de Gannat.

L’église de Gannat.

L’église de Gannat.

L’église de Gannat.

L’église de Gannat.

La gare de Gannat.

La gare de Gannat.

Hôtel des deux réseaux devant la gare de Gannat.

Monteignet sur l’Andelot.

La voie entre Gannat et Saint Germain des Fossés.

Vendat.

Espinasse-Vozelle.

Saint Rémy en Rollat.

L’Allier en arrivant à Saint Germain des Fossés.

Le prieuré de Saint Germain des Fossés.

Le prieuré de Saint Germain des Fossés.

A droite bifurcation vers Roanne (Lyon), à gauche, la ligne vers Moulins (Nantes). Derrière, ligne venant de Gannat (Montluçon) et Vichy (Clermont-Ferrand). Saint Germain des Fossés est un noeud ferroviaire important.

Saint Germain des Fossés.

Église de Saint Germain des Fossés.

Église de Saint Germain des Fossés.

Église de Saint Germain des Fossés.

Église de Saint Germain des Fossés.

Église de Saint Germain des Fossés.

Église de Saint Germain des Fossés.

Église de Saint Germain des Fossés.

Église de Saint Germain des Fossés.

La gare de Saint Germain des Fossés.

Seuillet.

La gare désaffectée de Lapalisse Saint Prix.

La gare désaffectée de Lapalisse Saint Prix.

Paysage.

Saint-Prix.

Paysage.

Gare désaffectée d’Arfeuilles – Le Breuil.

Musée de la Meunerie à Droiturier.

Chatelus.

Chatelus.

Saint Pierre-Laval.

Saint Martin d’Estréaux.

Le monument aux morts de Saint Martin d’Estréaux.

Le monument aux morts de Saint Martin d’Estréaux.

Le monument aux morts de Saint Martin d’Estréaux.

Le monument aux morts de Saint Martin d’Estréaux.

Bilan de la Guerre de 1914-1918.

Maudite soit la Guerre et ses Auteurs.

Saint Romain La Motte.

Saint Romain La Motte.

Saint Romain La Motte.

La gare de Roanne.

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Ardéchoise – Jour – 3 – Montluçon – Gannat – 78 km

Très belle étape encore aujourd’hui.

Pas de tout repos !

Beau temps au départ, mais pluie nécessitant la cape à partir de Louroux de Double.

Que des routes avec très peu de circulation, et souvent de très petites routes très sinueuses avec des belles descentes … et de belles montées.

Forme meilleure qu’hier.

Profil de l’étape Montluçon Gannat – 1005 mètres de dénivelé positif.

La gare de Montluçon-Rimard. Étonnant, une deuxième gare à Montluçon, À 1400 mètres de l’autre !

Montluçon, vu du sommet de la côte bien raide par laquelle on quitte la ville.

Entrée du parc d’un chateau en arrivant à Commentry.

La cité des Brûlés en arrivant à Commentry. La Cité des Brûlés, à l’entrée de Commentry, a été construite sur le modèle des corons. Une cinquantaine de maisons toutes mitoyennes. Chaque maison a un jardinet devant et derrière, sur le principe des cités jardins du début du siècle, réadapté à des dimensions plus étriquées. Une maison de mineur était plus étroite que celle d’un contremaître. Une rue principale rectiligne dessert une grande partie des maisons. Le plan de la cité est orthogonal.
La ville de Commentry est un exemple d’urbanisme industriel, organisé autour des voies ferrées et des usines. Un tiers de la superficie urbaine est occupé par le rail, les zones d’entrepôts, les usines chimiques, les forges, les bassins, les zones de dépôts et les terrains de friches minières…

La gare de Commentry.

L’hôtel de ville de Commentry.

Maisons au centre-ville de Commentry.

Grosse usine à Commentry. Non identifiée.

L’église du village de Colombier.

L’église du village de Colombier.

La Merlerie à Colombier.

Absurde ce rappel sur cette route qui devrait être limitée à 50 km/h vue sa largeur et sa sinuosité. Que vient faire ce panneau démago ici ?

Lapeyrouse.

L’église de Lapeyrouse.

La gare de Lapeyrouse.

Panneau d’affichage dans la gare de Lapeyrouse. Peu de trains s’arrêtent …

La gare de Lapeyrouse.

Le viaduc ferroviaire de la Double.

Louroux de Bouble.

La voie de chemin de fer à Louroux de Bouble.

La gare de Louroux de Bouble.

Coustansouze.

L’église de Coustansouze.

Le viaduc de la Perrière à Coustansouze.

La gare de Bellenaves.

La gare de Bellenaves.

Moisson ou fenaison ? près de Veauce.

L’église de Veauce.

Portai d’entrée (pas très authentique, du château de Veauce (bien caché) dont in aperçoit une tour au fond. 1200 ans d’histoire https://www.chateaudeveauce.fr/

Le viaduc de Rouzat.

Le viaduc de Rouzat.

Le viaduc de Rouzat.

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Ardéchoise – Jour – 2 – Guéret – Montluçon – 85 km

Très belle étape, Très beau temps, pas très facile, surtout au début, et ce soir, je ne suis pas dans de bonnes conditions pour faire un compte-rendu.

Ce sera pour un autre jour.

Hier soir, dans ma chambre, pas de bureau, pas de chaise.

Aujourd’hui je mets les photos d’hier en ligne.

Vue des hauteurs de Guéret où j’étais hébergé à la Pause Vélo.

L’hôtel de ville de Guéret.

La place de l’hôtel de ville et sa fontaine publique (Place Bonnyaud).

Bains douches à Guéret. Inscription « Hygiène Sociale ».

L’église Saint Pierre et Saint Paul de Guéret.

L’église Saint Pierre et Saint Paul de Guéret.

L’église Saint Pierre et Saint Paul de Guéret.

L’église Saint Pierre et Saint Paul de Guéret.

L’église Saint Pierre et Saint Paul de Guéret.

La gare de Guéret. Il est 8h.

Devant la gare de Guéret, la Librairie Laïque.

Le village de Saint Laurent.

Le village de Saint Laurent.

Le parcours de pêche sur la Creuse, après le lieu-dit « Pont à l’Evêque » (par erreur, j’avais grimpé 2 km et 85 mètres de dénivelé, au lieu de prendre un petit chemin qui longeait la Creuse, chemin empierré, un peu pénible.

Le viaduc de Busseau sur Creuse.

Le viaduc de Busseau sur Creuse.

Le viaduc de Busseau sur Creuse.

Crossat.

Fresque à Crossat.

La Celle sous Gouzon.

Trois-Fonds. Dommage, le remembrement est passé par là, plus de haies.

La chapelle de Trois-Fonds.

Troupeau élevé en liberté.

Les Pierres Jaumâtres sont un chaos granitique comme il en existe plusieurs dans le département de la Creuse. Elles constituent un site naturel classé en 1927. Souvenir d’enfance, nous y allons faire de l' »escalade ». J’avais entre 5 et 9 ans.

Panneau à Lavaufranche, visiblement pas satisfait du comportement des automobilistes.

La gare de Lavaufranche.

Panneau démago du département de l’Allier. Peu importe la sécurité. Je suis sur une toute petite route qui devrait être limitée à 50 km/h.

La gare de Treignat, désaffectée.

L’église de Treignat.

L’église d’Archignat.

La gare d’Huriel, désaffecté.

Arrivée sur Montluçon.

Domérat.

L’ancienne hôtel de ville de Domérat.

L’église de Domérat.

L’église de Domérat. Noter le RF sur la façade.

La gare de Montluçon.

Fresque en bois dans la gare de Montluçon.

La gare de Montluçon.

L’Hôtel de ville de Montluçon, boulevard de Courtais.

Le château de Montluçon.

Le château de Montluçon.

La maison du doyen en face de l’église Notre Dame.

Hubertine Auclert, une illustre « montluçonnaise » (l’attribution à Montluçon paraît un peu abusive), journaliste, écrivaine et militante féministe française qui s’est battue en faveur de l’éligibilité des femmes et de leur droit de vote.

Association A.C.T.I.V.E
« Association Chrétienne de Terrain, un Idéal à Vivre Ensemble »
Association culturelle unitaire chrétienne, loi de 1901.

L’église Notre Dame.

L’église Notre Dame et le Mu Pop (musée des musiques populaires).

L’église Notre Dame.

L’église Notre Dame.

La maison de mon enfance à Montluçon de 1959 à 1964.

La maison de mon enfance à Montluçon de 1959 à 1964.

La maison de mon enfance à Montluçon de 1959 à 1964.

Lieu où était la niche du chien.

Autrefois des appartements, et nous allions chez Bernadette (une fille de notre âge), regarder Zorro sur la télévision que nous n’avions pas. Aujourd’hui une annexe du tribunal.

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Ardéchoise – Jour – 1 – Nantes – La Souterraine – Guéret – 10 km + 47 km

Me voilà reparti pour un petit voyage que j’ai intitulé l’Ardéchoise, mais hier en bavardant avec Chantal, je me suis aperçu que dans mon organisation, j’avais fait chevauché deux semaines, ma dernière semaine de périple à vélo et la première de notre séjour dans les Alpes.

Incroyable ! Et c’est moi qui avais pris les billets de train de Chantal de Nantes à Lyon et de notre retour de Lyon à Nantes le 4 juillet après 15 jours dans les Alpes et une petite semaine à Saint Paul en Jarez chez notre fille Isabelle.

Donc, hier soir, j’ai dû supprimé une semaine de périple à vélo. Heureusement, tous mes hébergements étaient annulables sans frais.

L’Ardéchoise est une randonnée cycliste qui traverse l’Ardèche et la Drôme en juin. C’est une épreuve sportive qui se déroule sur 4 jours et qui fait le tour du département de l’Ardèche en passant par de très nombreux cols. Mon intention était de faire ce tour, non pas en 4 jours sans bagages, mais en 8 jours avec bagages et hors de la période de la randonnée officielle.

Pour me mettre en jambe, j’ai décidé de partir de Guéret pour reprendre le parcours du Grand Défi Railcoop, itinéraire de Bordeaux à Lyon préfigurant la réouverture de la ligne de train Bordeaux-Nantes. J’avais fait la partie Bordeaux-Guéret et était rentré sur Nantes en train via la Souterraine.

Ce matin, lever 4 heures, départ de la maison 5h, train à 6h26 après 10 kilomètres de vélo, je prends toujours de bonnes marges qui m’ont servi au moins deux fois, une fois, rupture de chaîne à 5 kilomètres de la gare, j’ai réparé, une autre fois, oubli de ma carte bancaire en partant pour la Russie. Heureusement, Chantal était là pour me la ramener à la gare.

Nantes-Vierzon, une heure de retard à l’arrivée à Vierzon, troisième fois cette année que je vais recevoir un avoir dans le cadre de la garantie G30 de la SNCF.

Là aussi j’avais pris des marges pour la correspondance de Vierzon à La Souterraine où j’ai débarqué à 13h30 pour rejoindre Guéret par de toutes petites routes en passant par Le Grand Bourg, Gartempe, Brionne, Saint Léger le Guérétois, en passant un col à 654 mètres.

A partir de demain, je prends la route de Guéret à Lyon, je descend ensuite la vallée du Rhône jusqu’à Tournon sur Rhône où j’entamerai le tour de l’Ardéche, un ovale, dont je ne ferai que la descente par l’Est avant de remonter en train sur Lyon où je rejoindrai Chantal. Je ne ferai qu’une demi-Ardéchoise.

Avant de mettre quelques photos d’aujourd’hui, je vais vous montrer quelques photos de conduite d’un attelage de deux chevaux de trait qui sont utilisés, avec une très grande maîtrise, dans l’exploitation de la forêt de Rohane, sur la Zad de Notre Dame des Landes que j’ai eu l’occasion de redécouvrir dans le cadre de la Porte Ouverte dimanche 26 mai (tous les ans fin mai), où une vingtaine de collectifs accueille le public pour faire découvrir les lieux et présenter leurs activités, dans le bocage sauvé de la bétonisation.

Attelage utilisé dans l’exploitation de la forêt de Rohane sur la Zad de Notre Dame des Landes.

Attelage utilisé dans l’exploitation de la forêt de Rohane sur la Zad de Notre Dame des Landes.

Attelage utilisé dans l’exploitation de la forêt de Rohane sur la Zad de Notre Dame des Landes.

Attelage utilisé dans l’exploitation de la forêt de Rohane sur la Zad de Notre Dame des Landes.

Tracteur construit en 1953 par la société SDV à Vierzon.

Le site de la SDV à Vierzon, aujourd’hui, c’est, en partie, un établissement du CNAM.

Plaque sur la gare de la Souterraine où le train arrivait en 1856.

L’église du Grand Bourg.

Les trésors de l’église du Grand Bourg.

Petit château peu avant d’arriver à Gartempe.

Gartempe.

Gartempe.

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Costa-Brava – jour 10 – Olot – Perpignan – 123 km

Hier soir s’est terminé cet excellent séjour sur la Costa Brava après une étape de 123 kilomètres avec le passage d’un col pyrénéen à 1513 mètres.

1160 mètres de dénivelé en 43 kilomètres (comme on aurait calculé autrefois avec les cartes Michelin, du point le plus bas 354 mètres au point le plus haut 1913 mètres), soit 2,7 % de dénivelé. Pas très méchant.

Une montée à peu près continue avec le passage d’un premier col, le Capsacosta à 820 mètres d’altitude (mais on n’est pas vraiment en haut, on est à 900 mètres d’altitude un peu plus loin !).

Je fais ma première pause casse-croûte à Camprodon, 30 km après le départ et 3 heures de route. Mon petit-déjeuner a été moins riche et moins copieux que ceux de Lloret de Mar.

La deuxième partie de la montée se passe bien aussi. Tous les kilomètres, il y a un panneau indiquant le reste de route à parcourir et le pourcentage moyen restant, information pas très pertinente. Il vaudrait mieux savoir le pourcentage moyen du kilomètre suivant. Certains sont plus durs que d’autres. Sur la fin, le pourcentage moyen est plutôt 5%, avec des portions à 10%.

Parti à 8h, après 48 kilomètres, je suis au sommet du col d’Arès peu avant 13h, ce qui correspond à mon tableau de marche.

Toute la route s’est faite sur une route d’excellente qualité avec une certaine circulation, mais supportable, sauf 11 kilomètres avec le col de Capsacosta, où la circulation était nulle, pas une voiture, montée super agréable, les voitures prenant un autre itinéraire avec un long tunnel interdit aux vélos.

Comme le montre les photos, temps magnifique toute la journée.

Dès l’entrée en France, la qualité de la route change … et il n’y a plus du tout de circulation.

Dans la montée du col, j’avais croisé ou était doublé par de très nombreux cyclistes espagnols. Côté français, jusqu’à Perpignan, je ne verrai pas un seul cycliste, sauf en arrivant sur Prats de Mollo où je croise un groupe de 6 cyclistes qui s’apprête à remonter le col d’Arès par le versant français, mais ce sont des Espagnols qui m’avaient doublé dans la montée et qui rentrent chez eux.

Mais il est 13 heures passés et dans la vallée du Tech, il fait très chaud. Peut-être que les cyclistes français ont roulé le matin et sont maintenant tranquillement en train de prendre l’apéro au frais.

La descente du Tech est belle, mais il fait très chaud et j’ai un bon vent de face, vent chaud.

Je fais une deuxième pause casse-croûte à Arles sur Tech, il me reste 50 kilomètres jusqu’à Perpignan.

Passage à Amélie les Bains, puis la vallée s’élargit, le vent est plus frais, rafraîchissant, même s’il est toujours défavorable.

Je suis sur une grande route rectiligne, mais j’ai une bonne bande cyclable et la circulation n’est pas très importante. La pénétration dans Perpignan n’est pas très secure pour les vélos, aucune proposition ou possibilité évidente d’alternative. Heureusement, on est dimanche, et ce ne sont pas encore les retours de week-end par ce côté là !

J’arrive vers 17h30 après cette longue et dernière étape. Aujourd’hui journée tranquille à Perpignan avant le retour sur Nantes, en train, demain.

Ainsi se termine ce voyage sur la Costa Brava :

  • 10 jours
  • 950 kilomètres
  • 11 300 mètres de dénivelés positifs cumulés (calcul Brouter, à peu près équivalent à OpenRunner).

Profil du jour : 1160 mètres de dénivelé en 43 kilomètres (comme on aurait calculé autrefois avec les cartes Michelin, du point le plus bas 354 mètres au point le plus haut 1913 mètres), soit 2,7 % de dénivelé

L’église d’Olot ce matin au départ.

En descendant d’Olot, vue vers les Pyrénées.

Paysage.

San Salvador Ca l’Escola.

Entrée dans le parc naturel de la zone volcanique de la Garrotxa.

Sommet du premier col de la journée, le Capsacosta à 870 mètres d’altitude.

Paysage au sommet du col de Capsacosta.

Paysage dans la descente du col de Capsacosta.

Saint Pau de Seguries.

Chevaux, avec cloches tintinnabulantes, à Saint Pau de Seguries.

Paysage à Saint Pau de Seguries.

Début de la montée au col d’Arès à partir de Camprodon. 17,9 km de montée, moyenne 3,2 %.

Début de la montée au col d’Arès à partir de Camprodon. 17,9 km de montée, moyenne 3,2 %.

Église de Mollo.

Église de Mollo.

Le village de Mollo vu d’au-dessus.

Paysage dans la montée du col d’Arès.

Sommet du col d’Arès, 1513 mètres.

Du sommet du col d’Arès, vue vers Molllo, le côté espagnol.

Du sommet du col d’Arès, vue vers le massif du Canigou, le côté français.

Du sommet du col d’Arès, vue vers le massif du Canigou, le côté français.

Arivvée sur Prats de Mollo.

Prats de Mollo.

Descente de la vallée du Tech.

Ponts sur le Tech à Pont de Reynès.

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Costa-Brava – jour 9 – Lloret de Mar – Olot – 75 km

Très belle journée aujourd’hui, la température est montée à 30 degrés à Olot. Quand j’y suis arrivé vers 14h30, il ne faisait que 26 degrés.

Départ vers 8h30 ce matin après un dernier et toujours excellent et très copieux petit-déjeuner, et les adieux au groupe. Certains rentrent directement pour la Vendée, le Maine et Loire, La Chapelle sur Erdre, et sont bien arrivés d’autres y vont plus doucement profitant d’être dans le Sud, sur d’autres plages de la Costa Brava, ou dans le Lubéron.

Merci à tous pour l’excellente ambiance de ce séjour, particulièrement à Jean-Claude son organisateur et animateur, et à Philippe qui a transporté mon sac de vêtements complémentaires à ce que je transporte sur mon vélo.

Moi je prends la direction d’Olot, empruntant au départ, sur les 40 premiers kilomètres, le même itinéraire que mes copains cyclo-sportifs hier.

5 kilomètres de montée un peu raide pour rejoindre le tunnel qui permet ensuite de basculer vers Vidreres.

Puis ce sera le passage à Sils, et à Riudarenes, où je suis déjà passé plusieurs fois sans prendre le temps de m’arrêter, mais aujourd’hui, l’étape est courte et je prends mon temps.

J’arrive ensuite à Sant Coloma de Farners que j’ai visité jeudi, et je continue jusqu’à Angles, route que j’ai déjà parcouru hier dans l’autre sens.

12 kilomètres que j’avais trouvé un peu pénible hier, même sensation aujourd’hui dans l’autre sens. De longues montées-descentes pas très douces sur une route large et assez rectiligne et avec une certaine circulation, pas gênante en terme de sécurité, je suis dans ma bande, mais circulation bruyante et rapide. J’ai bien pensé à mes copains, particulièrement Philippe qui n’aime pas les côtes, qui ont parcouru ces 12 kilomètres dans les deux sens hier. Il est vrai qu’en groupe, et ils étaient nombreux, une quarantaine peut-être, il y a un entraînement mutuel.

Pause casse-croûte à Amer sur la place centrale en face de l’affiche invitant Carles Puigdemont à ne pas capituler.

Il commence à faire bien chaud, montée vers les Plannes d’Hostoles.

Découverte du village de San Felui de Pallerols, un peu à l’écart de la route, je ne suis pas pressé.

Puis fin de la montée du jour, un col à 578 mètres avant de redescendre sur Olot.

Pas de difficulté particulière aujourd’hui, mais cette nuit, j’avais eu une petite crampe à la jambe après une heure de sommeil, soignée avec massage et exercice et n’ayant pas récidivé (ouf !),

et un peu de mal aux jambes ce matin, et dans certaines reprises dans la journée.

Bonne sieste en arrivant, et je termine très bien cette journée de récupération.

Demain c’est le retour en France, mais toujours en Catalogne !

La gare de Sils.

Riudarenes.

Riudarenes.

Riudarenes.

Indication routière de la Cellera de Ter. Peut-être le point où les copains du groupe ont fait hier leur demi-tour avant de rentrer à Lloret de Mar.

La vallée du Ter, vue vers l’amont.

La vallée du Ter, vue vers l’aval.

La place centrale d’Amer pavoisée avec le drapeau catalan à connotation politique (L’estelada, drapeau indépendantiste catalan. L’étoile blanche sur fond bleu est empruntée au drapeau cubain, des volontaires catalans ayant participé aux révoltes de Cuba contre l’Espagne).

Place du village d’Amer. Invitation pour Carles Puigdemont à ne pas capituler.

Fresque revendiquant le retour des exilés politiques (suite à la tentative d’indépendance de la Catalogne en 2017).

Amer.

En montant vers les Planes d’Hostoles.

En montant vers les Planes d’Hostoles.

En montant vers les Planes d’Hostoles.

San Felui de Pallerols.

San Felui de Pallerols.

San Felui de Pallerols.

San Felui de Pallerols.

La place centrale de San Felui de Pallerols.

San Felui de Pallerols.

San Felui de Pallerols. Affiché sur ce qui doit être l’hôtel de ville, Année 2024, 17 morts à la suite de violences sexistes

Le tunnel permettant de franchir le col, altitude 578 mètres.

La descente vers Olot après le passage du col à 578 mètres.

L’arrivée sur Olot.

Le centre de la vieille ville d’Olot.

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