Tour en Allemagne – Jour 9 – Gelsenkirchen – Soest – 80 km

Journée froide ( de 2° à 6°), temps assez clair le matin, plus couvert l’après-midi, mais restant assez lumineux.

Cette fraicheur se supporte très bien; sauf un peu le matin, je roule sans gants.

Itinéraire à suivre attentivement au GPS vu le nombre de bifurcations, mais toujours en zones tranquilles à travers des quartiers périphériques et des zones boisées avec beaucoup de piste cyclables de très bonne qualité. Au bout de 36 km, il ne me reste plus que 41% de batterie sur mon smartphone-GPS pour faire les 44 km restants (l’affichage de la carte consomme beaucoup de batterie, mon smartphone-GPS date de 2017). Je cesse de l’utiliser pour le réserver quand cela sera vraiment nécessaire, et c’est Michel, avec son GPS-vélo Garmin qui pilote notre route. C’est le premier voyage depuis 2017 où je suis confronté à ce petit problème (facile à résoudre avec une petite batterie auxiliaire que je n’ai pas, et n’envisage pas d’acquérir, sobriété électronique oblige !).

Traversée de quelques centre-villes ou grosse artères avec des feux, mais le plus souvent sur des voies spécifiques « vélo ».

Nous passons au coeur de Dortmund, nous n’y voyons rien de très remarquable. En y arrivant nous avons traversé le quartier « ViertelUnion » aux nombreuses fresques remarquables. Nous en retrouverons également en quittant l’agglomération.

Après Dortmund, au fur et à mesure qu’on s’en éloigne en longeant une voie ferrée, on retrouve la vraie campagne.

Passage par Unna avec un joli centre-ville ancien.

Trois fois de suite, nous arrivons sur des pistes coupées pour la restauration de ponts de chemin de fer ou autoroutier, l’Allemagne rénove ses infrastructures.

La première fois, le fléchage de déviation « vélo » est impeccable, même si le détour est relativement important.

Les deux fois suivantes, c’est un peu plus compliqué tellement il y a d’itinéraires « vélos » concernés par la rénovation de l’ouvrage. Mais avec la carte électronique sur le smartphone, il n’est pas trop difficile de reprendre le bon cap.

Nous arrivons à Soest de bonne heure, nous avons largement le temps de visiter ses deux églises, l’une catholique, l’autre évangélique, juste à côté l’une de l’autre.

Malgré quelques recherches sur Internet, difficile de savoir les faits historiques qui ont conduit à la répartition des fidèles entre ces deux églises. Le deux ont été fondées vers 800 pour Saint Petri, un peu après pour Saint Patrocle, mais bien avant les schismes du début du XVIème siècle.

Ce soir, Michel et moi, en discutant, avons approfondi nos connaissances, sur les différentes religions en Allemagne, 25 % de catholiques, 25 % de protestants, 4 % pour l’Islam et 46 % sans religion.

En Allemagne, on distingue 20 églises protestantes réunies dans l’EKD (Evangelische Kirche in Deutschland), se décomposant en église luthérienne, église réformée (Calvin), et église unie.

L’église Saint Petri, appartient à l’église protestante de Rhénanie, « Église unie », c’est-à-dire que ses paroisses ont accepté la liturgie commune et le double rattachement luthéro-réformé.

En France, depuis 2013, c’est très récent, les protestants luthériens et réformés sont réunis dans « l’Eglise protestante unie de France ». Bon article à lire sur la différence entre l’église luthérienne et l’église réformée.

Demain nous poursuivons notre route vers l’Est de l’Allemagne.

Fresque dans le quartier Union de Dortmund.
Le quartier « Unionviertel » a connu une transformation significative au fil des ans, passant d’une zone marquée par le structurel changement et le déclin industriel à un lieu dynamique et attractif pour les artistes, les créatifs et les étudiants.

Fresque en quittant Dortmund.

Piste cyclable en quittant Dortmund.

Église dans la ville d’Unna.

Centre-ville d’Unna.

Unna.

Eglise à Ostönnen.

Vieille ville de Soëst.

Vieille ville de Soëst. Rathaus et église catholique Saint Patrocle.

mireille

Église catholique Saint Patrocle.

Dans l’église catholique Saint Patrocle.

Chapelle à la Vierge Marie « Reine de la paix », dans l’église catholique Saint Patrocle.

Vitraux dans l’église catholique Saint Patrocle.

Chemin de croix dans l’église catholique Saint Patrocle.

Dans l’église catholique Saint Patrocle.

Le premier clocher est celui de l’église catholique Saint Patrocle, et derrière celui de l’église évangélique Saint Petri (Pierre).

L’Aldegrever-Brunnen, fontaine près de l’église évangélique St. Petri.

Dans l’église évangélique Saint Petri.

Vitraux de l’église évangélique Saint Petri.

Vitraux de l’église évangélique Saint Petri.

Dans l’église évangélique Saint Petri.

Le retable de l’église évangélique Saint Petri.

Le retable de l’église évangélique Saint Petri.

Le retable de l’église évangélique Saint Petri.

Le retable de l’église évangélique Saint Petri.

La route de Luxembourg à Soest.

Au départ de Gelsenkirchen ce matin.

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Tour en Allemagne – Jour 8 – Musé d’Art Moderne d’Essen – 30 km

Journée grise et froide, mais sèche. L’hiver est un peu revenu. 2° le matin, 9° l’après-midi. Prévision identique pour demain.

La journée a été essentiellement consacrée à la visite du musée d’Art Moderne d’Essen, entrée gratuite pour les expositions permanentes.

Demain nous reprenons la route.

Sculpture moderne.

Sculpture moderne.

Sculpture moderne. Céramiques.

Tiny house.

Vincent Van Gogh.
Portrait d’Armand Roullin – 1888

Otto Dix.
Portrait de Martha Dix. – 1928

Armin Boehm.
Climat change (Greta Thunberg) – 2022.

Paul Gauguin.
Jeune fille à l’éventail – 1902.

Paul Cezanne.
Maison de Bellevue – 1890.

Henri Matisse.
Nature morte aux asphodèles – 1907.

Honoré Daumier.
Ecce homo – 1851.
Ecce homo est une expression latine signifiant « voici l’homme ». Il s’agit de l’expression prêtée à Ponce Pilate, gouverneur romain de Judée, dans la traduction de la Vulgate de l’Évangile selon Jean (19:5) lorsqu’à Jérusalem, il présente à la foule Jésus de Nazareth sortant du prétoire, après la flagellation.

Armin Boehm.
Monetozän – 2017.

John Heartfield.
Alles in schönster ordnung. – 1933
Tout est parfaitement en ordre.
Échange entre Daladier et MacDonald.

Mit dem bisschen Müll werden wir schon fertig.
« Nous pouvons gérer les petits déchets. » (traduction Google, elle ne me paraît pas très satisfaisante).

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Tour en Allemagne – Jour 7 – Brüggen – Gelsenkirchen – 85 km

En France, le mauvais temps est revenu, en Allemagne le soleil se maintient au beau fixe.

Première vraie journée en Allemagne. Nous avons choisi le parcours cyclotouriste, mais il avait beaucoup de passages communs avec le parcours vélo de route.

Le constat : nous n’avons quasiment jamais été mélangé aux voitures. Le réseau cyclable est bien distinct. Le long des routes, c’est toujours une piste cyclable en site propre. En ville, c’est sur les trottoirs qui sont larges, avec une partie pour les piétons et une pour les cyclistes. Peu de mélange et de conflits d’usage, il y a de la largeur. Aux carrefours en ville, il y a toujours un feu spécifique vélo. Pas de bordure de trottoir, les franchissement se font partout à niveau zéro. Tout n’est pas parfait(mais presque). Quel bonheur quand on vient de France !

Dans la campagne, les petites routes sont réservées aux engins agricoles et vélos, voitures interdites.

C’est ainsi que nous avons traversé un peu de campagne avant d’arriver à Krefeld, 230 000 habitants.

Pause au calme en quittant la ville dans un joli par public.

Nous avons ensuite retrouver un peu de campagne avant d’arriver au pont sur le Rhin et de pénétrer dans Duisburg,500 000 habitants.

Pause au centre-ville de Duisburg.

Ensuite nous avons rejoint Gelsenkirchen, en partie sur une « autoroute vélo » jusqu’à Essen.

Itinéraire bien conçu par B-router. GPS au guidon totalement indispensable, bifurcations extrêmement nombreuses. Pour la première fois que j’ai ce smartphone qui me sert de GPS (2017), je suis tombé en panne de batterie juste à l’arrivée. L’écran est resté très souvent allumé, contrairement à d’habitude où je l’allume beaucoup plus rarement.

Ce matin, Michel trouvait qu’il y avait peu de cyclistes. Un peu plus loin, nous apssons devant un groupe scolaire, et c’est une marée de vélo, incroyable.

Pour ma part en traversant Krefeld, et même Dusibourg, je trouvais qu’il n’y avait pas de vélos électriques, mais des vélos « musculaires ».

Cet après-midi, les retraités étaient de sortie, et il y avait énormément de vélos électriques, mais aussi beaucoup de vélos musculaires.

Ce soir nous dormons chez ma sœur Christine qui va nous héberger deux nuits.

Le château de Brüggen.

Le château de Brüggen.

École Empereur Guillaume en entrée de Viersen.

Rue de Krefeld. Rue rectiligne assez longue avec ce clocher en ligne de mire. Dans cette rue (sauf ce dernier tronçon), le vélo est prioritaire sur toute la largeur de la voirie.

La traversée du Rhin en arrivant sur Duisburg.

Le pont de la Solidarité (1988) pour traverser le Rhin.

Le centre-ville de Duisburg. Centre-ville apaisée, les voitures roulent au pas.

Le centre-ville de Duisburg., en face du théâtre de la photo précédente. Il est 12h30, les allemands prennent le soleil.

Mülheim sur la Ruhr. La rivière Ruhr qui a donné son nom à cette région industrielle de l’Allemagne.

Le Radschnellweg de la Ruhr. Un Radschnellweg est un itinéraire cyclable rapide permettant de relier entre eux différents centre urbains. Le Radschnellweg de la Ruhr fait 115 km de long !

Nouveau quartier à Essen (quartier de l’Université), en limite du centre-ville (Berliner Platz). L’ensemble paraît très aéré et agréable à vivre, même si la densité de logement paraît très forte.

L’église Sainte Gertrude au centre-ville d’Essen.

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Tour en Allemagne – Jour 6 – Liège – Brüggen – 100 km

Encore une belle journée, mais longue étape sur itinéraire cyclotourisme, excellent itinéraire, sauf sur la fin, 9 km de piste un peu infernale, très dure pour le matériel.

Départ à 8h de l’auberge de jeunesse de Liège (Belgique) après un excellent petit-déjeuner.

Jusqu’à Maastricht (Hollande), on longe la Meuse au plus près.

Pour passer au centre-ville, on traverse les voies à la gare de Maastricht en utilisant deux ascenseurs, un à chaque bout, l’un pour monter, l’autre pour redescendre, ascenseur assez grand et confortable pour un vélo chargé.

En sortant de la gare, un pont nous permet de traverse la Meuse pour arriver au centre-ville.

Après un tour dans la ville, nous repartons, le pont autoroutier pour refranchir la Meuse dispose d’une piste cyclable, mais nous n’arrivons pas à le prendre et nous nous rallongeons un peu pour utiliser un large pont qui semble réservé aux vélos et aux transports en commun.

Nous faisons notre pause pique-nique à Geleen.

Peu après Sittard, nous faisons une incursion de 5 kilomètres en Hollande en passant par le village de Havert. Le contraste est saisissant. Autant les villes et villages hollandais sont animés, autant Havert est vide, et la campagne est beaucoup moins souriante.

Nous retrouvons ensuite la Hollande et ses très nombreux cyclistes. Impressionnant ! Le matin, beaucoup de cyclo-sportifs, mais aussi de tous âges. L’après-midi, une moyenne d’âge probablement plus élevé, et à 90%, voire 95% en vélo électrique !

Au cours de mes différents voyages en Hollande, j’avais constaté que les personnes âgées étaient très souvent en fauteuil roulant électrique et on en croisait énormément sur toutes les piste cyclables, et je déplorais qu’en France, les aménagements PMR ne permettent quasiment pas de circuler en fauteuil roulant électrique.

Eh bien aujourd’hui, en Hollande, nous n’avons vu dans la journée qu’un seul fauteuil roulant électrique, les Hollandais âgés se sont totalement convertis au vélo électrique. Lors de mon dernier passage en Hollande, au printemps 2017 avec ma filleule Fanny, le vélo électrique était quasi-inexistant.

Ce soir, nous dormons en Allemagne, à 7 km de la frontière hollandaise, et nous resterons en Allemagne toute la suite de notre voyage.

Jalonnement cyclable dans la province hollandaise du Limbourg. Génial !
En chaque point numéroté sur la carte, on trouve cette carte affichée, et pour d’aller d’un point à un autre, il suffit de suivre la flèche numérotée avec le numéro du point à atteindre.
Je connais ce type de jalonnement depuis un précédent voyage en Hollande (avant l’année 2000).
Le vendredi 22 septembre 2000, journée « sans voiture », les 1200 collégiens de La Chapelle sur Erdre avaient sillonné la commune en utilisant ce système de jalonnement.

Le château de Eijsden peu après être entré en Hollande.

Le village de Lanaye en Belgique, de l’autre côté de la Meuse, vu de Eijsden.

La gare de Maastricht et une petite partie de son stationnement vélo.

Intérieur de la gare de Maastricht.

En traversant la Meuse à Maastricht.

En traversant la Meuse à Maastricht.

L’hôtel de Ville de Maastricht.

Maastricht.

Maastricht.

Chaussidoux hollandais.

Économie de ressources naturelles …

En quittant la ville de Geleen.

La place centrale de Sittard. Les terrasses des cafés sont pleines.

Brève incursion en Allemagne. Contraste saisissant.

Brève incursion en Allemagne. Contraste saisissant.

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Tour en Allemagne – Jour 5 – Malmedy – Liège – 60 km avec les photos

Très belle journée encore aujourd’hui, petite étape, mais un parcours moins génial. Une bonne fin de journée.

Pour préparer ce voyage, j’ai sélectionné pour chaque étape deux types de parcours, un parcours « cyclotouriste » et un parcours « vélo de route – faible trafic ».

Pour les trois premières étapes, TGV-Lorraine-Metz, Luxembourg-Bastogne et Bastogne-Malmedy, nous avons réalisé le parcours « cyclotouriste » qui s’est avéré excellent à tout point de vue.

Ce matin, en partant nous avons donc choisi le même type de parcours. Mais, dès le départ, ce fut 1 km de pente à 13% en moyenne, sur goudron, mais nous avons du monter à pied. Et en haut ce fut pour redescendre par un mauvais chemin. En bas, il fallut traverser un torrent via une passerelle accessible par deux marches de chaque côté de la rive, avant de remonter toujours sur cette mauvaise piste.

Nos cinq premiers kilomètres furent donc très difficiles. Dès que nous avons pu, nous avons pris une route goudronnée et nous nous sommes dirigés vers l’itinéraire « vélo de route » (retrouvé km 9). Excellent itinéraire jusqu’à la ville de Spa (km 21).

Mais de Spa à Liège, ce furent 38 kilomètres de descente le long de la rivière Woyai, ancienne vallée industrielle à l’abandon, sur une route avec une certaine circulation, très supportable, mais nous étions loin des beaux paysages et de la tranquillité de ces derniers jours.

Pique-nique à l’entrée de Trooz.

Arrivée à l’auberge de jeunesse de Liège à 15 heures, nous avons eu le temps d’aller faire un grand tour dans Liège, et ce soir d’assister à un concert-concours de 7 jeunes talents musicien (individuel ou groupe) de 15 à 30 ans, dans le cadre des auberges de jeunesse de Wallonie.

Trop tard pour que je mette mes photos …

Le village de Hockai, après avoir retrouvé des routes goudronnées.

Arrivée à Spa. Spa (en wallon : Spå) est une ville francophone de Belgique située dans la province de Liège en Région wallonne. Elle est connue pour ses eaux thermales et a donné son nom au centre d’hydrothérapie éponyme.
Spa était une destination de villégiature thermale particulièrement fréquentée dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle par toute la noblesse européenne. C’est Joseph II, empereur du Saint-Empire romain germanique, qui en séjour à Spa à partir du 19 juillet 1781 déclara la ville Café de l’Europe.

Spa

Spa

Spa

Spa

Spa

Spa

Spa

Au bord de la rivière Hoëgne à Theux.

Les vestiges de l’usine de textile de Pepinster.

Petit château à Goffontaine.

Vestiges d’un château à Trooz.

Liège.

Liège.

Liège.

Dans une belle vitrine de librairie à Liège (le 8 mars !).

Liège.

Liège.

Liège.

Liège.

Liège.

Liège.

Liège.

Liège.

Le palais provincial de Liège.

Liège.

Liège.

Liège.

Concert à l’auberge de jeunesse de Liège.

Concert à l’auberge de jeunesse de Liège.

Concert à l’auberge de jeunesse de Liège.

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Tour en Allemagne – Jour 4 – Bastogne – Malmedy – 80 km

Départ peu avant 8h après une très bonne nuit (merci à Clémentine et Jean-Bernard pour leur accueil).

Il fait un peu moins frais qu’hier (3°), mais le soleil brille et va briller sans interruption toute la journée. Du vent assez fort le matin, mais il nous pousse et nous avançons très vite sur notre véloroute.

Comme hier nous sommes sur une véloroute du Ravel.

Le RAVeL, ou Réseau Autonome de Voies Lentes, est une initiative de la Région wallonne en Belgique, qui vise à réaliser un réseau d’itinéraires réservés aux piétons, cyclistes, personnes à mobilité réduite et aux cavaliers, là où la situation le permet. Ce réseau de voies vertes emprunte des chemins de halage et des voies ferrées désaffectées louées par un bail de 99 ans par la Région. Si cela est nécessaire, des itinéraires de liaisons sont créés pour constituer un maillage entre les différentes parties d’un même tronçon.

Le projet RAVeL a été instauré en octobre 1995.

Nous en avions déjà profité en 2005 avec Chantal lors d’un voyage depuis Tourcoing jusqu’au Pays-Bas, dont nous avions fait le tour, avant de revenir à vélo jusqu’à Quernes dans le Pas de Calais.

Depuis le réseau Ravel s’est bien enrichi ! et c’est vraiment un réseau fantastique !

Nous avons commencé par la véloroute 163 de Bastogne à Gouvy sur une ancienne voie ferrée, puis, après 28 km, notre itinéraire a quitté cette véloroute pour un itinéraire plus direct pour rejoindre Saint Vith, plus direct, mais beaucoup plus sportif ! Mais itinéraire parfaitement jalonné comme itinéraire cyclable. D’un village à un autre, il y a toujours un jalonnement de voie cyclable qui permet d’éviter toute circulation automobile. Il faut néanmoins faire attention aux intersections, priorité à droite et on peut parfois l’oublier quand il n’y a pas de visibilité.

Pique-nique dans le parc de Saint Vith, un parc de jeux idéal pour tous les enfants, très riches en jeux variés pour tous les âges. Ce sont les vacances de Carnaval en Wallonie, et les jeux étaient bienfréquentés ce qui nous as permis de les voir en mode « action ».

Après une heure trente de pause, nous avons repris la véloroute W9, la « Vennbahn » ou chemin de fer des Fagnes avant de bifurquer à Waimes pour nous diriger vers Malmedy sur une autre très belle véloroute, toute en descente.

Un excellent parcours en pleine nature, sans circulation et sans aucune monotonie.

Nous sommes installés à l’auberge de jeunesse de Malmedy, très belle, très animée.

Le monuments aux morts de Bastogne à la mémoire des Bastognards ayant combattus en 14-18 et 39-45.

L’église Saint-Pierre (XIe – XIVe siècles) de Bastogne.

La porte de Trèves (XIVe siècle).

Bastogne est l’une des étapes-clefs de la « classique » Liège-Bastogne-Liège, la « doyenne » des courses cyclistes, créée en 1892 (la plus ancienne se courant encore).

Sur la Ravel 163 de Bastogne à Gouvy.

Sur la Ravel 163 de Bastogne à Gouvy.

L’ancienne gare de Limerlé.

Près de l’ancienne gare de Limerlé.

Paysage.

Le bourg de Maldingen.

Le bourg de Maldingen.

Chemin de croix à Neundorf.

Neundorf.

Neundorf.

Parc de Saint Vith, un parc génial pour les enfants de tous les âges, d’un an à 14 ans, une multitude de jeux très variés.

Parc de Saint Vith, un parc génial pour les enfants de tous les âges, d’un an à 14 ans, une multitude de jeux très variés.

Parc de Saint Vith, un parc génial pour les enfants de tous les âges, d’un an à 14 ans, une multitude de jeux très variés.

Parc de Saint Vith, un parc génial pour les enfants de tous les âges, d’un an à 14 ans, une multitude de jeux très variés.

L’église de Saint Vith.

Un centre social à Saint Vith.

L’église de Born au bord de la véloroute de Saint Vith à Aix la Chapelle.

Le viaduc de Born construit en 8 mois de mars à novembre 1916, viaduc désaffecté aujourd’hui.

Malmedy.

Malmedy.

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Tour en Allemagne – Jour 3 – Arlon – Bastogne – 80 km avec les photos

Hier j’écrivais « Magnifique itinéraire de Luxembourg à Bastogne par un temps splendide.
Excellent accueil chez Jean-Bernard et Clémentine. Commentaires plus détaillés et photos probablement demain. »

Difficile d’écrire après avoir lu les messages quotidiens de Michel, messages que je vous invite à découvrir en suivant le lien : https://blog-trotter.fr/a-berlin-mars-2025/

L’hôtel de ville d’Arlon (Belgique).

Eglise Saint Martin au centre-ville d’Arlon

Piste à travers bois en quittant Arlon.

Borne frontière séparant le Luxembourg belge et le grand duché du Luxembourg, frontière précisée par le traité de Maastricht du 8 août 1843. La création du Grand Duché date du congrès de Vienne en 1815.

Paysage.

Paysage.

Paysage.

Dans la vallée de la Haute Sûre, sur une portion de la véloroute européenne EV5 (la Via Romea Francigena, qui relie Londres à Brindisi en Italie sur une distance de 3 200 km.

Une passe à poisson restaurée dans le lit de la haute Sûre.

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Tour en Allemagne – Jour 3 – Arlon – Bastogne – 80 km

Magnifique itinéraire de Luxembourg à Bastogne par un temps splendide.

Excellent accueil chez Jean-Bernard et Clémentine.

Commentaires plus détaillés et photos probablement demain.

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Tour en Allemagne – Jour 1 et 2 – Metz – Luxembourg

Nous voilà repartis pour un nouveau voyage à vélo, Michel et moi, Michel avec lequel j’ai déjà fait un premier voyage de Nantes à Brest en mars 2022, puis le tour de l’Irlande en mai, un voyage aller de Nice à Istanbul via les Balkans et le retour via la Grèce, le sud de l’Italie, la Sicile, et la Sardaigne en avril-mai-juin 2023, un tour de Bretagne en 2024.

Nous fonctionnons bien ensemble.

Départ hier matin en train de Nantes (8h08) à la gare TGV Lorraine (12h36), à mi-chemin entre Nancy et Metz.

Compagnons agréables dans le train, un jeune angevin qui part rejoindre sa dulcinée du côté de Francfort. Ils devaient partir faire de la marche en montagne. Manque de chance pour eux, elle se fracture la cheville la veille du départ. Leurs vacances seront moins dépaysantes.

Notre deuxième compagne, originaire de Pont à Mousson, nous rejoint à Roissy, elle débarque d’Alicante où elle a pris sa retraite et revient voir sa mère en France. En été, il y a des vols directs Alicante-Luxembourg, en hiver il faut passer par Paris.

En débarquant du train, magnifique soleil et nous prenons la route de Metz via Louvigny.

Parcours très agréable par ce temps printanier, un peu vallonnée, quand soudain, peu avant d’arriver à Fleury, la roue avant de Michel explose, comme cela m’était arrivé en 2017 du côté d’Ingrandes en bord de Loire quand je préparais mon premier grand voyage de retraité.J’avais du rejoindre à pied la gare d’Ingrandes à 3 km et retour sur Nantes en une trentaine de minutes. Pas grave, c’était une semaine avant mon vrai départ et j’avais pu faire réparer dans les délais.

Hier, nous étions à moins de 8 km de Metz. C’était faisable à pied … Il a d’abord fallu démonter la rue pour enlever le pneu intact, la chambre à air explosée et éliminer les bouts de ferraille qui bloquaient la rotation normale de la roue. Et c’est parti pour la marche à pied en poussant le vélo chargé. Un peu plus loin, mince, Michel s’aperçoit qu’il a perdu un gant. D’un coup de pédale, je retourne le chercher …

Michel essaie de joindre un réparateur, sans succès, sur répondeur (mais il rappellera plus tard, sympa les lorrains !). Je lui propose d’aller avec mon vélo au magasin le plus proche, repéré grâce à Google Maps, « les cyclistes du dimanche » pour voir si je peux trouver une roue de 26″, et effectivement, 5 km plus loin, je trouve ce réparateur de vélo (non vendeur de vélos, seulement réparateur) qui dispose de la roue cherchée.

Notre visite de Metz en sera abrégée, mais nous aurons le temps de traverser le centre-ville et de visiter la cathédrale magnifique sous le soleil du soir, un peu comme quand j’avais visité Reims au mois de novembre. Beaux soleils couchants.

Et nous rejoignons, comme prévu au programme, la gare de Metz où nous prenons un train TER pour Luxembourg, capitale du Luxembourg où nous arrivons de jour, mais nous arriverons à l’auberge de jeunesse, deux kilomètres plus loin, dans la nuit complète.

En cette saison, en montagne, le jour se couche très vite, et B-router nous a choisi un itinéraire cyclo-touristique terrible, grande descente, puis grande montée très raide sur des pavés, impossible avec nos vélos chargés, donc, montée à pied en poussant les vélos. A mi-pente, une autochtone nous dira que nous aurions du prendre l’ascenseur …

Excellente nuit et excellent petit-déjeuner à l’auberge et nous partons découvrir Luxembourg à pied, Luxembourg que j’avais déjà découvert avec Chantal en octobre 2023 lors de la visite à notre filleul Jean-Bernard et de son épouse Clémentine, Jean-Bernard.

Luxembourg, pays riche, propre, magnifique, tout est impeccable, transport gratuit, musée gratuit, le paradis sur terre.

Très joli tour en centre ville historique, puis le quartier de la gare avant de prendre le tramway pour le nouveau quartier de Luxembourg, le parlement de l’Europe, l’Université, la Bibliothèque Nationale.

Retour par le funiculaire qui nous permet de descendre sur la gare de Pfaffenhalt-Kichberg, puis un ascenseur nous descend dans la vallée de l’Alzette, la porte des « bons malades » et remontée par l’ascenseur panoramique de Pfaffenthal.

Et nous rejoignons le musée national du Luxembourg, très intéressant sur l’histoire dans la région d’il y a un million d’années à l’époque gallo-romaine, du niveau -5 au niveau 0, les étages 1 et 2 évoquant un peu, très vite, le moyen-âge et l’époque moderne.

Longue journée par un temps plus qu’agréable.

Demain nous prenons la route pour rejoindre dans quelques jours l’Allemagne où se déroulera la plus grande partie de ce voyage.

Architecture futuriste à Metz

Les cyclistes du dimanche – Réparateur de vélos.

La cathédrale de Metz.

La cathédrale de Metz.

La cathédrale de Metz.

L’hôtel de ville de Metz

La gare de Metz

La gare de Metz

Le palais ducal du Luxembourg.

Autour du palis ducal, de nobreux bâtiments sont affectés à la chambre des députés et aux différents partis luxembourgeois. Ici le siège du parti « Piraten ».

Sculpture dans le vieux Luxembourg.

L’église Saint Michel.

L’église Saint Michel.

Ancien mécanisme de l’horloge de l’église Saint Michel.

Vue sur la vallée de l’Alzette.

Vue sur la vallée de l’Alzette. Au fond, en haut à droite, le nouveau quartier de Luxembourg.

Le monument aux morts de la guerre 1914-1918.

Le monument aux morts de la guerre 1914-1918.

Le pont Adolphe qui permet de passer du centre historique de Luxembourg au quartier de la gare.

La cathédrale vue du pont Adolphe.

La cathédrale de Luxembourg et sa vierge Marie, Consolatrice des Affligés, patronne de la ville et du pays.

La cathédrale de Luxembourg

La cathédrale de Luxembourg

La Bibliothèque Nationale du Luxembourg.

Une vue depuis la Bibliothèque Nationale du Luxembourg.

A la Bibliothèque Nationale, dans le volume relié de l’année 1954 dans « La revue du Luxembourg, journal hebdomadaire, page consacrée au Tour du Luxembourg en mai 1954, mois et année de ma naissance. Belle prestation de Gaul, Charly Gaul, qui gagne la dernière étape 200 km, tour gagné par Jean-Pierre « Jempy » SCHMITZ (dont je n’avais jamais entendu parlé).

Le funiculaire de Pafendal pour descendre du pont de la Grande Duchesse Charlotte à la gare ferroviaire de Pfaffenhalt-Kichberg.

Le pont de la Grande Duchesse Charlotte au-dessus de la gare de Pfaffenhalt-Kichberg, vu depuis l’ascenseur de Pfaffenthal.

Le multiculturalisme luxembourgeois à travers cinq grands religions : le christianisme, le judaisme, l’islam, le bouddhisme, et l’hindouisme.

Une librairie qui donne envie de lire, très belle vitrine de livres bien choisis.

Le musée national du Luxembourg, mosaïque d’une riche demeure (locale) de l’époque gallo-romaine.

Enseignes d’artisans luxembourgeois.

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Guerre 14-18 – jour 21 – Visite de Strasbourg – Retour Nantes – 30 km + 10 km

Comme d’habitude, c’est avec retard que je publie mon dernier article sur ce voyage.

Mercredi dernier, j’ai commencé par traverser le Rhin par la passerelle des Deux Rives pour aller faire un tour à Kehl en Allemagne, ville où j’ai vécu six mois, de début avril à fin septembre 1975, à l’occasion de mon service militaire en tant qu’aspirant au 33ème Régiment du Génie (troupe d’occupation, régiment dissous en 1978).

Ville dont je n’ai aucun souvenir ! Même si je m’y suis déplacé à vélo (j’avais emmené mon vélo). Mais j’ai beaucoup de souvenirs « militaires », et plutôt des bons souvenirs. En tant qu’aspirant, élève officier, nous logions par binôme, hors de la caserne, déjeunant au mess des officiers, hors de la caserne.

Mon vélo me permettait d’aller à Strasbourg, et, le week-end, je faisais des randonnées en Forêt Noire et en Alsace.

J’étais déjà passé à Kehl, j’avais revu la caserne laissée à l’abandon. Aujourd’hui il n’y en a plus de trace.

Kehl m’a paru très agréable à vivre, petite ville à la porte de Strasbourg, très agréable à parcourir à vélo.

Puis je suis rentré dans Strasbourg. Si l’on compare les fiches Wikipédia de Nantes et de Strasbourg, que ce soit la ville ou l’agglomération, Nantes apparaît légèrement plus peuplée pour une superficie moindre.

Ce n’est pas l’impression que j’ai eu. Peut-être Strasbourg est-elle plus touristique que Nantes.

Belle ville agréable à circuler à vélo, mais l’après-midi après avoir déjeuner avec mon ami Jean-Michel à l’auberge Ciarus, je suis allé visiter la cathédrale. J’avais raté l’entrée à la cathédrale le matin, elle est fermée de 11h15 à 12h45, j’étais arrivé à 11h16 pour voir l’accès se fermer, et l’après-midi, j’arrive à la Petite France, pile au moment où le dispositif de contrôle d’accès au marché de Noël se met en place, barrage policiers armés … et fouille des sacoches et du sac à dos… En arrivant à la cathédrale, je m’aperçois que j’ai perdu une lanière d’une sacoche. Je visite quand même la cathédrale, et une demi-heure après, je refais le chemin en sens inverse, et je retrouve ma lanière. Ouf !!!

Comme prévu, je prends le soir le train direct pour Nantes et arrive à 22h23, accueilli par un bon crachin nantais ! Plus que 10 kilomètres à faire pour arriver à la maison.

J’ai eu beaucoup de chance au cours de ce voyage, n’ayant pas eu à subir trop d’aléas climatiques. Le brouillard, la pluie, le froid étaient prévus, je m’y suis parfaitement adapté, le vent était prévu, il est globalement resté supportable alors qu’à la même période le vent a été terrible dans certaines régions de France, en particulier à Nantes. J’ai eu de la neige, modérément et sans verglas.

Merci à Wikipédia pour toutes les informations que j’y trouve, aux auberges de jeunesse qui m’ont accueillies à Péronne, Bouillon, Châlons en Champagne, Verdun, Colmar, Strasbourg, aux petits hôtels, et à mon hôtesse en Argonne.

et merci à tous ceux qui m’ont lu et/ou envoyés des petits mots, vous m’accompagnez dans mes voyages et je pense à vous quand je pédale.

Tout cela fut un voyage très intéressant sur les traces de mon grand-père Fernand.

Je suis revenu en pleine forme !

Hier matin, je m’occupais de ma petite fille Adèle, presque deux ans, et … je me suis bloqué le dos en la portant …

Aujourd’hui, avec antalgique et anti-inflammatoire, je suis un peu décoincé, et j’ai même pu nettoyer, contrôler mon vélo neuf apès 1500 km.

Nettoyage facile. Les freins à disque salissent moins que les freins à patins, la boite de vitesse dans le moyeu ne nécessite pas d’entretien (vidange tous les 5000 kilomètres, ou tous les deux ans), le mono-plateau, une chaîne assez courte et l’unique pignon sont plus faciles à nettoyer que 3 plateaux, une cassette 10 vitesses, un dérailleur, et une longue chaîne.

Je suis totalement satisfait de mon nouveau vélo !

Et demain, mon lumbago devrait être guéri. Utinam !

Monument à la mémoire de la libération de l’Alsace le 16 avril 1945.

La passerelle des Deux Rives, entre Strasbourg et Kehl (Allemagne) par dessus le Rhin. La passerelle est l’élément central du jardin des Deux Rives (en allemand Garten der zwei Ufer), et est destinée à marquer la force des échanges franco-allemands. Lors du sommet de l’OTAN de 2009 qui se tenait à Strasbourg et à Kehl, les chefs d’État emmenés par la chancelière allemande Angela Merkel se retrouvèrent le 4 avril au milieu de la passerelle où les attendait Nicolas Sarkozy arrivé lui du côté français.

La passerelle des Deux Rives.

La passerelle des Deux Rives. Vers 8h20, un mercredi, cette passerelle est assez fréquentée par piétons et cyclistes.

Au milieu de la passerelle des Deux rives, avec à droite, la piste cyclable, et à gauche, la voie piétonne, deux voies distinctes, mais beaucoup de piétons prennent la voie cyclable.

Le Rhin vu de la passerelle des Deux Rives, vue vers le sud.

Le Rhin vu de la passerelle des Deux Rives, vue vers le nord. Ensemble de 3 ponts en parallèle, le pont routier, la passerelle tram-vélo, le pont de chemin de fer.

Quartier de Kehl, au niveau de la passerelle des Deux Rives. Un quartier très agréable.

L’ancienne porte d’une école historique de Kehl (sauf erreur). Un accès (libre) au lycée Einstein.

Le Einstein-Gymnasium (lycée Einstein) de Kehl. Lycée général avec le profil scientifique et littéraire. En plus de l’Abitur, les lycéens peuvent préparer le baccalauréat français .

Le lycée Einstein, école sans racisme, école avec courage (?).

La cour du lycée Einstein, ouverte, pas de grille, accessible à tous !

Un parking vélo du Einstein-Gymnasium.

Un deuxième parking vélo du Einstein-Gymnasium.

Le vieux Kehl (maison de 1905).

Route vélo ! Le bonheur !

L’hôtel de ville de Kehl, et le tramway qui conduit à Strasbourg par dessus le Rhin.

La ligne de ponts qui relient Kehl et Strasbourg. A droite le pont de chemin de fer, à gauche, la passerelle tram-vélo, et encore plus à gauche, non visible, le pont routier.

Les trams de Strasbourg sont accessibles au vélo, sauf du lundi au samedi de 7h à 9h et de 17h à 19h. 2 vélos par rame maximum, si l’affluence le permet.

A Strasbourg, au rez-de-chaussée d’un immeuble de logements, un très grand local vélo !

L’église de Tous-les-Saints, église orthodoxe russe. La consécration majeure de l’église a été célébrée par le patriarche Cyrille de Moscou le 26 mai 2019

La Cour Européenne des Droits de l’Homme.

Le Hall Sportif AGR (Avant Garde du Rhin – je n’ai pas trouvé sur Internet ce qu’est exactement cet équipement).

Conseil de l’Europe. Le Conseil de l’Europe (à ne pas confondre avec l’Union Européenne) est une organisation internationale qui rassemble environ 675 millions de ressortissants de 46 États membres, par le biais des normes juridiques dans les domaines de la protection des droits de l’homme, du renforcement de la démocratie et de la prééminence du droit en Europe. Le Conseil de l’Europe est doté de la personnalité juridique, reconnue en droit international public. Cette organisation intergouvernementale est instituée le 5 mai 1949 par le traité de Londres. Les activités du Conseil de l’Europe intéressent tous les domaines de la vie courante – sauf les questions de défense. Elles ont abouti à l’élaboration d’un large éventail de normes, chartes et conventions destinées à faciliter la coopération entre les pays membres du Conseil et à renforcer la construction européenne. Le Conseil a également pour but de favoriser le progrès économique et social. La Convention européenne des droits de l’homme ainsi que la Cour européenne des droits de l’homme qui l’applique, constituent les chevilles ouvrières du Conseil. C’est auprès de cette Cour que tous les individus, ressortissants ou non des États parties à la Convention, peuvent introduire des requêtes s’ils estiment qu’un État partie à la Convention a enfreint leurs droits

Conseil de l’Europe. L’accès au batiment du conseil est contrôlé, il faut un badge pour passer la grille. On peut supposer que les agents disposent d’un accès pour les vélos, mais devant l’accès principal, c’est un peu n’importe quoi. Décevant !

Le Palais de l’Europe, siège du Conseil de l’Europe. Ce n’est pas le siège du Parlement Européen (que je n’ai pas identifié, j’ai du le voir, il est à côté du hall sportif AGR).

Le Palais de l’Europe, siège du Conseil de l’Europe. Ce n’est pas le siège du Parlement Européen (que je n’ai pas identifié, j’ai du le voir, il est à côté du hall sportif AGR).

Le lycée international des Pontonniers.


Le consulat de la Fédération de Russie.

Place Saint Étienne.

A la porte du collège privé Saint Étienne.

La cathédrale de Strasbourg.

La cathédrale de Strasbourg.

La cathédrale de Strasbourg

L’horloge astronomique de la cathédrale de Strasbourg.

La cathédrale de Strasbourg.

La cathédrale de Strasbourg.

Une des tentures de la cathédrale de Strasbourg.

Retable de la cathédrale de Strasbourg.

Retable dans la cathédrale de Strasbourg.

Un élément de la crèche de la cathédrale de Strasbourg.

Élément de la crèche napolitaine de la cathédrale de Strasbourg

Le 5eme Lieu, à côté de la cathédrale. Espace ouvert à tous les Strasbourgeois-es, aux visiteurs-euses et à tous-tes les curieux-ses, pour permettre de (re)découvrir la ville de Strasbourg à travers son patrimoine, son architecture et sa vie culturelle. Donne en particulier des fiches thématiques pour parcourir la ville (descriptifs et cartes). Très intréessant

Décoration dans le hall de l’auberge de jeunesse Ciarus, centre ville (à 200 mètre de la Petite France, 1 km de la cathédrale). Hébergement en dortoir pas plus cher qu’à l’auberge de jeunesse des Deux rives, mais probablement de meilleure qualité, et beaucoup plus central. Excellent restaurant-cafétaria (16 €, entrée, plat, dessert, le tout délicieux)

Décoration dans le hall de l’auberge de jeunesse Ciarus, centre ville (à 200 mètre de la Petite France, 1 km de la cathédrale). Hébergement en dortoir pas plus cher qu’à l’auberge de jeunesse des Deux rives, mais probablement de meilleure qualité. Excellent restaurant-cafétaria (16 €, entrée, plat, dessert, le tout délicieux).

La Porte de Guerre de la nouvelle enceinte de Strasbourg, construite entre 1875 et 1884, entrée dans le parc public du Glacis.

La gare de Strasbourg. Strasbourg, avec son marché de Noël se revendique Capitale de Noël.

Mon vélo dans le train Strasbourg-Nantes.

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