Alpes Européennes – Jour 16 – Peschierra del Garda – Bagolino – 90 km

Bonne journée comme d’habitude.

J’ai repris de l’altitude, passant de 66 mètres à 748 mètres. Il fait moins chaud. 26°, mais il faisait bien chaud à monter 300 mètres de dénivelé en fin d’étape.

Départ à 6h15 après un petit-déjeuner pris sur un banc dans un parc. L’auberge de jeunesse fournissait le petit-déjeuner, mais pas avant 7h00 et je voulais bénéficier au maximum de la fraîcheur du matin. Et ce sera pareil demain matin, grosse étape de montagne, lever 5h00, départ 6h00. Et je dors pour mieux la nuit suivante avec ma dose de nescafé du matin qu’avec leur café italien, excellent, mais trop fort pour mon organisme.

Je commence par longer le lac de Garde, mais cela ne présente pas un grand intérêt, peu d’aperçu sur le lac, je le pensais entourer de montagnes très hautes le dominant. Pas du tout. Ce n’est pas l’image que j’en avais. Tout le long du lac ce sont des hôtels touristiques. Bof.

A Decenzano, je retrouve la campagne, beau parcours mixte chemins-petites routes, très vallonées.

Je fais mes courses et ma pause à Bostone, et ma route remonte ensuite la rivière Chiese, jolis petits villages, jusqu’au Lac d’Idro que je longe pendant une dizaine de kilomètres avant de bifurquer et de monter vers Caffaro en remontant le torrent Caffaro.

Arrivée à Bagolino peu avant 14h30.

A Peschierra del Garda, ils appellent ça une piste cyclable ! Il faut protéger toutes les sorties de voitures ! N’importe quoi ! et ce n’est qu’un exemple. Au début, j’ai joué le jeu, ensuite j’ai pris la route. A 6h30 du matin, j’étais presque tout seul.

Aperçu sur le lac de Garde à Desenzano del Garda.

Ouf ! A Decenzano, je retrouve la campagne et les vignes.

Route de campagne.

En approchant de Calvagese della Riviera.

Véloroute à Tormini.

Roé

Ancien pont de chemin de fer à Roé, c’est la véloroute, je l’ai raté. Pas grave, je la récupère après.

Je suis passé par ce pont. Pas mal non plus.

Le village de Vobarno.

Au bord de la Chiese à Vobarno.

Sabbio Chiese.

Vestone.

Monuments aux morts de Vestone, à la mémoire de la compagnie de chasseurs alpins le « Battaglione Vestone », créée en 1889.

Lavenone.

Aperçu sur le lac d’Idro.

Monument à la mémoire d’Ottorino Villa, entrepreneur, fondateur, entre autres, de la Société du lac Idro pour l’irrigation de la plaine de Brescia.

Le village d’Anfo.

Aperçu sur le lac d’Idro.

Aperçu sur le lac d’Idro.

Le sanctuaire de Monte Suello. Il a été érigé en mémoire des soldats garibaldiens tombés lors de la bataille de Monte Suello, le 3 juillet 1866, entre les troupes de volontaires du général Giuseppe Garibaldi et l’armée autrichienne commandée par le général von Kuhn, dans le cadre de la troisième guerre d’indépendance italienne. Le théâtre de la bataille se trouvait au lac d’Idro, dans la province de Brescia.

La pierre commémorative de Monte Suello, située près du sanctuaire, commémore l’endroit exact où, le 3 juillet 1866, Giuseppe Garibaldi fut blessé à la cuisse et le capitaine Angelo Bottino fut tué alors qu’il tentait de le protéger du feu des kaiserjäger autrichiens.

En approchant de Bagolino.

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Alpes Européennes – Jour 15 – Trente – Peschierra del Garda – 100 km

Étape longue, mais très facile.

Parti à 6h15, je termine à 14h30 courses faites.

Temps très chaud, la température est montée à 31°, mais il y avait de l’air et je n’ai pas du tout souffert de la chaleur.

Très bel itinéraire, sur piste cyclable en site propre le long de l’Adige, en général loin de la route et de l’autoroute, même si, parfois, on en croise.

L’eurovéloroute 7 arrive du Cap Nord à Trente et passe ensuite à Vérone. C’est à 27 km de Vérone que ma route a bifurqué pour le lac de Garde, il ne me restait que 20 km pour rejoindre Peschierra del Garda, avec un petit col à passer, altitude 230 mètres (130 mètres de dénivelé).

Ce soir je suis à l’altitude 66 mètres au bord du lac de Garde. Ma plus basse altitude depuis le départ.

Mais cela ne va pas durer…

Peschierra del Garda n’est pas Bike-Friend, pas d’aménagement cyclable, et le long du lac (le peu que j’en ai fait), c’est bagnoles, bagnoles …

En quittant Trente

Le village de Matarello.

Pont sur l’Adige.

Je roule sur l’Euro Véloroute 7, la véloroute du soleil, du Cap Nord à Malte, plein nord, plein sud.

Borne Google sur l’EV 7, n’importe quoi … et en plus, je n’ai pas réussi à la faire fonctionner.’

Paysage.

Station de pompage d’eau de l’Adige pour l’irrigation.

Digue de protection contre les crues de l’Adige ? Proège la route qui est derrière, mais pas la voie ferrée qui est dessous.

Jalonnement.

L’Adige.

Paysage.

Protection de l’autoroute contre les chutes de pierre ? ou mur anti-bruit ?

Pont cyclable, près du village de Nomi.

Paysage près de Nomi.

Palio delle Zattere. Je n’ai pas trouvé la signification précise que cela peut avoir ici, probablement une fête locale, mais c’est une compétition historique en Vénétie sur le bois transporté par le fleuve.

Le village de Rovereto.

Passerelle vélo à Rovereto.

Passerelle vélo à Rovereto.

Ma pause pique-nique.

Serravalle.

Paysage. Toute la journée, j’ai longé des vignes. A l’odeur, elles devaient être bien sulfatées

Paysage.

Le village de Pilcante.

Le village de Pilcante.

Convoi de camions sur l’autoroute.

Canal le long de l’Adige, le canal Biffis, initié par Mussolini en 1929 et terminé en 1943, objectif l’irrigation. Appelé autorute de l’eau, il est considéré comme ayant une importance stratégique.

Belluno Veronese.

Belluno Veronese.

Belluno Veronese.

Preabocco.

Paysage.

Paysage.

Rivoli Veronese.

Rivoli Veronese.

Rivoli Veronese.

Eoliennes.

Paysage.

Fontaine d’eau très fraîche.

Peschierra del Garda.

Peschierra del Garda.

Peschierra del Garda.

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Alpes Européennes – Jour 14 – Visite de Trente

Excellent petit-déjeuner à 7h30 (dommage demain matin, je vais partir à 6h00 pour éviter la chaleur de l’après-midi, étape assez longue),

et je pars directement visiter Trente à pied (L’auberge de jeunesse est en plein centre-ville).

Je déambule tranquillement dans la ville, température idéale.

Je termine par la visite du château où je passe 2h30, visite très intéressante. En sortant, il fait 29°. Quand j’arrive dans ma chambre, la climatisation est à nouveau en marche, j’apprécie. L’aurais-je allumé ? Pas impossible, mais je l’éteins et hier soir et cette nuit, je ne l’ai pas rallumé.

Demain je reprends la route.

Plazza del Duomo

Plazza del Duomo

Plazza del Duomo

Plazza del Duomo

Basilique Sainte Marie Majeure

Basilique Sainte Marie Majeure

Basilique Sainte Marie Majeure

Basilique Sainte Marie Majeure

Basilique Sainte Marie Majeure

Basilique Sainte Marie Majeure

Basilique Sainte Marie Majeure

Basilique Sainte Marie Majeure

Basilique Sainte Marie Majeure

Basilique Sainte Marie Majeure – Relique du martyr Saint Jean l’Evangéliste

Basilique Sainte Marie Majeure

Basilique Sainte Marie Majeure

Basilique Sainte Marie Majeure

Basilique Sainte Marie Majeure

Basilique Sainte Marie Majeure

Basilique Sainte Marie Majeure

Palais de la Philarmonie.

Site du département de Sciences Sociales et de Recherche Sociale.

Basilique Sainte Marie Majeure

La boutique Moser, Francisco Moser, né en 1951 à Trente, est un ancien coureur cycliste italien, qui compte 250 victoires professionnelles à son palmarès, de 1973 à 1988.

Maison des avocats – Noter le drapeau Pace, le drapeau de la Paix, le drapeau arc-en-ciel comme drapeau de la paix a été utilisé pour la première fois en Italie en 1961, inspiré de drapeaux similaires dans des manifestations anti-nucléaire. Il est devenu de nouveau populaire lors du mouvement Pace da tutti i balconi en 2002 en protestation contre l’engagement de l’Italie dans la Guerre en Irak.

Art faciste

Monument Alcide de Gasperrei, il est considéré comme l’un des Pères de l’Europe, aux côtés de Robert Schuman, Jean Monnet, Johan Willem Beyen, Paul-Henri Spaak et Konrad Adenauer.

Monument Alcide de Gasperrei, il est considéré comme l’un des Pères de l’Europe, aux côtés de Robert Schuman, Jean Monnet, Johan Willem Beyen, Paul-Henri Spaak et Konrad Adenauer.

Approche pédagogique autour du concept de « un filo alla volta » pour les enfants.  « Un fil à la fois » représente l’idée de procéder délicatement et progressivement, en tissant un réseau de relations et de connaissances qui accompagne le parcours de croissance des enfants, afin qu’ils se sentent en sécurité, reconnus et impliqués dans leur propre processus de développement.

Église San Bernardino

Église San Bernardino

Église San Bernardino

Torrent Fersina

Torrent Fersina et Église San Bernardino

Lycée Scientifique Galilée

Lycée Scientifique Galilée. Le parc vélo est moins imposant qu’en Allemagne et à côté un très grand parking auto. Noter que j’ai pu entrer dans le lycée sans difficulté, tout est ouvert …

Torrent Fersina

Torrent Fersina

Vieille porte des remparts ?

Le Torrione et le vieux rempart.

Le Torrione.

Musique de rue – sans amplification.

Oeuvre de Gino Pancheri, La Femme au faisceau, Trente (1937), avec une citation de Mussolini tirée du discours de proclamation de l’Empire italien du 9 mai 1936 ; le nom de Mussolini et le faisceau ont seulement été maladroitement effacés.

Les jardins San Marco

Les jardins San Marco

Les jardins San Marco

Les jardins San Marco

Le château du Bon Conseil (castello del Buonconsiglio)

Le château du Bon Conseil (castello del Buonconsiglio)

Le château du Bon Conseil (castello del Buonconsiglio)

Le château du Bon Conseil (castello del Buonconsiglio)

Le château du Bon Conseil (castello del Buonconsiglio)

Le château du Bon Conseil (castello del Buonconsiglio)

Le château du Bon Conseil (castello del Buonconsiglio)

Le château du Bon Conseil (castello del Buonconsiglio)

Collier d’ambre.

Collier de verre?

Casque ( à droite 3eme siècle avant JC, à gauche 5éme avant JC)

Campagne électorale de Cesare Battisti (irrédentiste)

Cesare Battisti sort du tribunal le jour de sa condamnation à mort.

Moyen de transport de l’aristocratie au XVIII ème siècle, à l’occasion de fêtes ou de parades.

Moyen de transport de l’aristocratie au XVIII ème siècle

Décoration datée de 1648, date du mariage de Maria Christina von Paumgarten et de Maximilian Karl von Wolkentstein.

Décoration datée de 1648, date du mariage de Maria Christina von Paumgarten et de Maximilian Karl von Wolkentstein.

La famille d’Arsio, 1585, 6 enfants dont 2 morts.

Les filles de Ferdinand 1 of Habsburg et Anne of Bohemia. 1534

Le Tsar Paul 1er de Russie.

Sculture napolitaine datant du 17-18 éme siècle.

La Cène, par Albrecht Dürer, 1523.

Hurdy-Gurdy
La hurdy-gurdy est un instrument à cordes ancien, dont l’invention remonte au Moyen Âge. Elle est classée selon le système Hornbostel-Sachs sous le code 321.322-72, ce qui correspond à un cordophone composite sonorisé par une roue rosinée. Elle produit un son en faisant tourner une roue à la main, qui frotte contre les cordes, semblable à l’archet d’un violon ou d’une nyckelharpa. La mélodie est jouée au moyen d’un clavier qui presse des tangentes (petits cales en bois ou en métal) contre les cordes pour changer leur hauteur. La hurdy-gurdy possède généralement plusieurs cordes de drone, qui offrent un accompagnement constant, donnant une sonorité proche de celle des cornemuses.

La bibliothèque.

Le concile de Trente. Trente est l’un des conciles les plus importants de l’histoire du catholicisme ; il est le plus abondamment cité par le concile de Vatican II (19621965).

Vieille porte

Statue Famiglia Trentina

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Alpes Européennes – Jour 13 – Cavalese – Trente – 62 km

Départ tardif ce matin, 9h15, puisque j’ai rédigé avant de partir le compte-rendu de ma journée d’hier.

Temps ensoleillé, mais très brumeux. Hier soir il y a eu un orage avec de la pluie, mais pas de trace ce matin, la route est sèche.

La voie cyclable commence par monter au col de Lugano, 130 mètres de dénivelé, mais c’est assez raide. Heureusement, c’est goudronné. Par contre, le descente sur l’ancienne voie ferrée du Val di Fiemme est en gravillon. Au bout de 5 km, je m’arrête pour casser la croûte dans un endroit sympa, et je reprends la piste qui est belle dans la forêt. Mais plus bas, fini la forêt, et je reprends la route où je retrouve les vélos de course, ça glisse tout seul. Sur le chemin, je croisais essentiellement des VTT électriques et quelques VTT musculaires (dur pour eux la montée !). Cela peut se comprendre pour une petite sortie de la journée.

Globalement, c’est 900 m de dénivelé à descendre en 17 kilomètres. Pour finir, j’ai un tunnel de 1 km de long, non interdit aux vélos, tout au moins, je n’ai rien vu, je ne me sens pas très à ma place, et il n’y a plus de vélos, les vélos de course doivent connaître l’endroit où bifurquer pour éviter le tunnel. Hier, c’était la même chose, un tunnel de deux kilomètres de long… De très beaux tunnels, bien éclairés, sans grande circulation. Heureusement, dans les deux cas en descente, donc vite passés. En montée, j’aurais peut-être trouvé la bifurcation vélo avant le tunnel.

Arrivé dans la vallée, la piste cyclable le long de l’Adige est de très bonne qualité, et très circulée. En Italie, ce n’est pas jour férié.

En arrivant à Trente par un itinéraire cyclable bien jalonné jusqu’au coeur de ville, il fait 29°.

Je suis à l’auberge de jeunesse de Trente, mais craignant la chaleur et sachant que j’aurai besoin de bien récupérer après ces 3 grands jours de montagne, j’ai pris une chambre seule, et j’ai la surprise de trouver une climatisation, et une climatisation en marche. Je l’ai immédiatement arrêté. Pour l’instant, je n’en ressens pas le besoin.

Demain journée de repos, je visite Trente.

En quittant Cavalese ce matin, le village de Castello di Fiemme.

En quittant Cavalese ce matin, le village de Castello di Fiemme.

Le col de San Lugano. 1116 mètres.

Descente par l’ancienne voie de chemin de fer du Val di Fiemme
50 km – 873 mètres de dénivelé positif, construit par les Autrichiens pendant la guerre de 1914. Ligne très fréquentée. En 1932, 10 trains de voyageurs par jour. Fin d’activité en 1963 face à la concurrence de la route.

Descente par l’ancienne voie de chemin de fer du Val di Fiemme

Vergers de pommiers, traités (à l’odeur).

La vallée de Ora.

La vallée de Ora.

La vallée de Ora.

Piste cyclable le long de l’Adige.

Piste cyclable le long de l’Adige.

Piste cyclable le long de l’Adige.

Piste cyclable le long de l’Adige.

Paysage le long de l’Adige.

Paysage le long de l’Adige.

Paysage le long de l’Adige. Le village de Rovere della Luna.

Le village de San Michele all Adige.

Le village de San Michele all Adige.

Le quartier de Gardolo en arrivant à Trente.

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Alpes Européennes – Jour 12 – Saviner di Laste – Cavalese – 68 km

Hier, 3ème étape de haute montagne, après la Hochtor (2504 mètres), le col de Giau (2236 mètres), c’était le tour du col de Fedaia (2057 mètres).

Temps idéal, même si les sommets sont un peu cachés par les nuages, pas de pluie et température agréable.

Départ à 7h30 après un bon petit-déjeuner servi par mes hôtes. Courte étape, pas besoin de partir trop tôt.

L’échauffement est plus que rapide, dès le départ cela monte dur. 5 kilomètres à 5%,

mais ce n’est que pour l’échauffement, ensuite ce sera terrible, et c’est largement à pied (probablement 4 km à pied) que je parcours les 8 km qui me permettront d’atteindre le col de Fedaia.

Montée dans la fraîcheur et dans le calme. Sur la fin, je suis doublé par des cyclistes américains en vélo de course, bien espacé les uns des autres, c’est dur pour tout le monde. En haut, j’ai droit aux félicitations de ces cyclistes rassemblés.

Ensuite ce sera la très longue descente vers Cavalese, avec une petite remontée (150 mètres) pour atteindre cette petite station touristique. Arrivée à 15h.

Douche, restauration, récupération, le temps passe vite.

Petite lessive, tous les 3 jours environ.

Dépannage de mon internet mobile à l’aide de l’internet wifi. J’ai pas trouvé comment, mais ça a fini par marcher.

Entretien de mon vélo indispensable, je trouve qu’il freine moins bien. Contrôle des plaquettes, elles n’ont pas l’aire trop usées. C’est simplement un resserrage à faire (très facile à faire, à condition d’avoir la bonne clé, que j’ai). Première fois que j’ai des freins à disque, je ne suis pas familiarisé avec eux, mais je commence à comprendre.

Et c’est tard que je finis la rédaction de ma journée de samedi. publié à 22h53.

Avant de partir ce matin, je rédige ce compte-rendu de la journée d’hier. Mon étape d’aujourd’hui sera courte, et devrait être facile.

Le col de Fedaia depuis Saviner di Laste :

Je distingue deux grandes parties :

  •  la première de Saviner à Sotoguda : 5,4 km parcourus en 50 minutes environ, soit à une vitesse de 6,5 km/h pour un dénivelé de 291 mètres, pente moyenne 5,4 %, dont un tronçon de 400 mètres à plus de 10 %, probablement monté en partie à pied
  • la deuxième partie de Sotoguda au col : 7,8 km parcouru en 2h15, soit 3,5 km/h, pour un dénivelé de 747 mètres auquel il faut ajouter 55 mètres perdues dans une descente de 400 mètres, soit 802 mètres de dénivelé positif. 802 mètres en 7,4 km, pente moyenne de 10,8 %.

Dans cette deuxième partie, je pourrais détailler plus : 6 tronçons à plus de 10 % dont un de 2,7 km pour 314 mètres de dénivelé, pente moyenne 11,6 %

Au total, ces 6 tronçons à plus de 10%, ce sont 4,5 km sur les 7,8 km de la deuxième partie que j’ai probablement largement parcouru à pied en poussant le vélo (environ 35 à 38 kg en comptant les bagages). Noter que c’est dimanche, et j’ai mes provisions pour la journée, et celle que je n’ai pas consommé hier soir et ce matin puisque mes hôtes m’ont offert dîner et petit-déjeuner.

Si j’avais analysé cette ascension lors de la préparation de ce voyage, je n’aurai peut-être pas conservé ce col dans mon programme, mais je n’ai aucun regret. Il est toujours possible de passer un col en poussant son vélo, et je suis toujours en forme.

Le village de Sottoguda dans la montée du col de Fedaia.

Tunnel dans la montée du col de Fedaia.

Dans la montée du col de Fedaia. Le col se trouve sur la gauche.

Dans la montée du col de Fedaia. Vue sur ce que je viens de monter à pied.

Dans la montée du col de Fedaia.

Dans la montée du col de Fedaia.

On aperçoit le col de Fedaia.

On aperçoit le col de Fedaia. J’y suis presque, c’est juste à droite, et même avant le virage à droite. Ce n’est pas en haut de la barre rocheuse. Là-haut ce sont des remontées mécaniques.

Une petite partie des cyclistes américains (des hommes et beaucoup de femmes, dans toutes mes ascensions, il y a une majorité d’hommes, mais énormément de femmes, dans toutes les catégories d’âges)

Vue d’où je viens.

Le sommet du col de Fedaia.

Vue vers où je vais. Je quiitte la région de Vénétie pour entrer dans le Trentin – Haute Adige.

Au col de Fedaia.

Lac au sommet du col de Fedaia.

Lac au sommet du col de Fedaia. En fait il y a deux lacs un petit d’abord, et un plus grand, aussi vide l’un que l’autre. Quelle explication ? Sécheresse ?, Barrage en cours de révision (aucune trace) ? Aucune information sur le niveau d’eau de ce lac, il ne faut pas effrayer le touriste … A mon avis, soit on consomme trop d’eau pour faire de l’électricité, soit il y eu peu de neige cet hiver. Mais en juin, si peu d’eau, cela ne me paraît pas très normal, mais je peux me tromper.

Lac au sommet du col de Fedaia.

Lac au sommet du col de Fedaia.

Dans la descente du col de Fedaia.

Dans la descente du col de Fedaia.

Ca monte, ça monte, en vélo de course uniquement.

ou en moto …

ça descend aussi.

Le village de Penia, station touristique.

Dans la descente, au-delà de Canazei, très belle prairie fleurie.

Fête locale à Soraga en ce dimanche de Pentecôte avec un bon orchestre.

Cavalese.

Cavalese.

 

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Alpes Européennes – Jour 11 – Iselsberg – Saviner di Laste – 120 km

Du retard à la parution du compte-rendu de ma journée d’hier.

La route a été longue … Parti à 6h du matin, je suis arrivé à 18h à Saviner di Laste.

Petit problème, depuis que je suis en Italie, je n’ai plus d’accès à Internet Mobile, alors que je n’ai eu aucun problème en Allemagne et en Autriche, le roaming a été automatique sans que j’ai besoin d’intervenir. Là rien, même en redémarrant mon smartphone (problème résolu ce soir).

Deuxième problème, la localisation de mon hébergement AirBnb était erronée. Au point indiqué par Google Maps, pas d’hébergement. Avec les informations AirBnb hors ligne, on n’a pas le numéro de téléphone de l’Hébergeur, prétexte la confidentialité (avec Booking, on a toujours le numéro de téléphone de l’hébergeur). Le seul moyen quand on veut communiquer avec l’hébergeur, c’est la messagerie AirBnb. Ey quand on n’a pas internet, on fait comment ?

On téléphone à l’assistance AirBnb, répondeur vocal, taper 0 1 2, date du jour … on finit par avoir une personne physique. Si on se trompe, faut tout recommencer.

Premier appel 17h56. durée 5mn 22s Echec

Deuxième appel : 18h02, durée 13 minutes 31s

la première personne vérifie tout et passe le dossier à un collègue qui doit faire le nécessaire et me rappeler.

Trosième appel : 18h28, durée 6mn6s, le dossier est en cours, il faut attendre, non on ne peut pas me donner le numéro de téléphone de l’hébergeur.

Quatrième appel : 19h04, oui oui, on va secouer le collègue qui a en charge le dossier, il vous rappelle.

19h13 : l’hébergeur me rappelle et vient me chercher. Il s’excuse et m’invite à dîner avec son épouse, deux italiens, la quarantaine, très sympathique. Je dîne avec des pâtes à l’italienne, des tomates, du fromage.

Un peu tard ensuite pour que je rédige quelque chose, même un article simpliste, la journée n’avait pas été de tout repos.

Je n’utilise jamais AirBnb par déontologie. Dans toute la mesure du possible, je prends des réservations, via booking, dans des auberges de jeunesse, des hôtels, des Bed and Breakfast, un réseau commercial plutôt qu’un hébergement chez un particulier, concurrence que je trouve un peu déloyale.

En l’occurence, je n’avais trouvé sur booking qu’une réservation (faite) à 151 € pour une nuit de samedi à dimanche de Pentecôte. Trouvant cela excessif, j’ai surveillé si d’autres opportunités survenaient, après quelques jours, j’ai testé Airbnb et j’ai trouvé une résa à 129 € (faite, et booking annulée). Après quelques autres jours, j’ai trouvé celle à Saviner di Laste pour 111 €, et en plus, ne m’épargnant quelques kilomètres supplémentaires et retour en arrière ce matin. Bingo ! Mais assistance AirBnb peu efficace.

En général, cela tourne à 60 € (45 € à Iselsberg pour une hébergement au top du top), les dolomites sont très chères !

Donc reprenons la journée d’hier.

5h, je fais mes bagages.

5h30 je descends prendre mon petit-déjeuner dans la cuisine. Ma logeuse m’avait dit ou je pourrais trouver de quoi manger (petit-déjeuner compris), et je m’étais surtout assurer que le garage ne serait pas fermé à clef.

Oh surprise ! Quand j’arrive dans la cuisine, ma logeuse m’a préparé des sandwichs, mais surtout elle est là à préparer les petits-déjeuners de la maison. Elle est aussi surprise de me voir que je le suis de la voir. Elle pense que je vais prendre les sandwichs et partir, mais j’aime autant manger avant de partir. Je pensais prendre comme d’habitude ma dose de café dans un bol d’eau. Mais elle me propose du café, et zut, le café collectif n’est pas prêt. Elle retourne dans sa maison chercher un café expresso à partir de la machine familiale. J’ai droit aussi à un verre de yaourt décoré de myrtilles et d’une framboise. Très chic !

Et avec mes sandwichs et une pomme, j’ai droit à une tablette de chocolat. J’ai goûté ce soir. Succulent ! Pas bon pour la santé le sucre !

Je vous disais avant-hier « Demain sera très différent, mais pas plus facile. »

La lecture du profil de l’étape le montre bien.

Dans la vallée de Lienz à San Candido, 55 km, très belle piste cyclable goudronnée.

De San Candido à Cortina d’Ampezzo, 30 km, une piste cyclable sur piste gravillonnée. De mon point de vue, une aberration. J’ai vite pris la route, il y a avait de la circulation, tout à fait supportable avec des automobilistes respectueux des cyclistes. Si la piste avait été goudronnée, les nombreux vélos de course l’auraient pris.

La difficulté de la journée commence au 85ème kilomètres à Cortina d’Ampezzo. C’est très long avant de trouver la difficulté, déjà beaucoup d’énergie a été consommée.

Initialement, je pensais passer par le col de Falzarego (2117 mètres) que j’avais escaladé avec François en 1977, mais Brouter, moyennant une dizaine de kilomètres en plus et 120 mètres de dénivelé supplémentaire, me propose un itinéraire par une plus petite route. Pourquoi pas ? Il y aura certainement moins de circulation, et quand on aime on est pas à quelques kilomètres près ou dénivelé supplémentaire.

Question circulation, c’est un peu raté, week-end de Pentecôte, les gros cubes sont de sortie, et les voitures de course, à qui fera le plus de bruit.

Mais pas de grosse surprise, les grands cols attirent toujours beaucoup de véhicules motorisées. L’astuce étant de se lever tôt, on roule beaucoup plus tranquille.

Parti à 6h, j’arrive vers 13h30 à Cortina d’Ampezzo, et 16h18 au col de Giau. 1020 mètres de dénivelé en 15 km, 6,8 % de pente moyenne à 5,35 km/h.

Beaucoup beaucoup de vélos de course me doublent, bien sûr, aucun vélo électrique, la haute montagne n’est pas faite pour eux, un randonneur à vélo chargé, comme moi, d’une quarantaine d’année, peut-être ou plus jeune. Je le rattrape alors qu’il est arrêté. Je le double. Il me redouble un peu plus tard. Je le redouble alors qu’il téléphone, il me redouble, plus loin, il s’arrête, je le redouble, je crois qu’il est cuit et j’arrive en haut dix minutes avant lui. Nous nous serrons la pince. Pas croisé d’autres randonneurs dans ce col.

J’arrive en forme à Saviner di Laste, je fais quelques courses, et ce sont ensuite mes déboires dans la localisation de l’hébergement.

Demain matin, je raconterai ma journée d’aujourd’hui. Demain je roule, mais journée cool.

En quittant Iselberg ce matin.

La descente sur Lienz.

La descente sur Lienz.

Piste cyclable en quittant Lienz.

Piste cyclable en quittant Lienz.

Ce doit être le village de Strassen, ou Tassenbach.

Le château de Heinfels.

Sur la piste cyclable, indication de l’entrée en Italie. La piste cyclable se poursuit !

L’arrivée sur Innichen – San Candido (Italie). Innichen appartenait au comté princier de Tyrol au sein de l’empire d’Autriche puis de l’Autriche-Hongrie et fut ville de garnison d’un régiment tyrolien de l’Armée territoriale impériale-royale autrichienne. Conformément aux dispositions du traité de Saint-Germain-en-Laye conclu en 1919, elle passa au royaume d’Italie.

Cimetière austro-hongrois de la guerre 1914-1918 à San Candido.

Innichen – San Candido.

Innichen – San Candido.

Innichen – San Candido.

Panneau attirant le lecteur sur l’importance de la protection de l’eau, en bord de piste cyclable en approchant de Dobbiaco.

Usine électrque à base de bois déchiqueté.

Grand hotelde Dobbiaco.

La gare de Dobbiaco. Trains transfrontaliers Italie-Autriche.

Piste en quittant Dobbiaco. Je renonce vite et préfère récupérer la route.

Lac de Landro.

En approchant de Cortina d’Ampezzo.

En approchant de Cortina d’Ampezzo.

Le sommet du col de Giau – 2236 mètres.

Le sommet du col de Giau – 2236 mètres. Colle San Lucia est une commune. Mais on est bien au col de Giau. Panneau plus propre que le précédent (un honte !).

Le sommet du col de Giau – 2236 mètres.

Le sommet du col de Giau – 2236 mètres.

La descente du col de Giau, comme pour la montée, motos et voitures de course, à qui fera le plus de bruit …

Selva di Cadore.

Vue sur Saviner di Laste.

Vue depuis mon hébergement hier soir.

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Alpes Européennes – Jour 10 – Bruck an der Großglocknerstraße – Iselsberg – 77 km

Temps idéal !

L’objectif du jour, voire du voyage, était de repasser le col du Groosglockner, la Hochtor que mon frère et moi avions monté depuis Lienz le 13 juillet 1977. Aujourd’hui je le montais depuis Zell am See.

2 pauses dans la montée. Quand nous étions jeunes, ce n’était pas nécessaire. Aujourd’hui, c’est indispensable dans une montée de 32 kilomètres avec 1919 mètres de dénivelé positif.

En plus des deux pauses, j’ai marché deux fois en poussant mon vélo, probablement sur 2 des 3 passages de 200 mètres de long qui sont identifiés avec plus de 16 % de dénivelé (en fait j’ai du marché 3 fois, mais j’ai déjà oublié la première).

Dans la journée, j’ai vu beaucoup de vélos de course (qui m’ont doublé dans la montée, ou que j’ai croisé dans la descente), quelques vélos-rendonneurs avec bagages croisés dans la descente (aucun ne m’a doublé, partant à 6h15, je n’ai pas beaucoup de concurrence),
et un seul vélo électrique, ils doivent avoir peur de ne pas arriver en haut avec leur batterie, où ils se lèvent trop tard pour que je les vois.

Parti à 6h15, j’étais en haut à 11h30 pile, et au col d’Iselsberg à 15h15 (après une bonne pause dans la descente).

Dans la descente, il a fallu remonter de 45 mètres. Dur, dur, de relancer la machine.

Au pied du col d’Iselsberg, j’avais repris le rythme en fin de descente, moins pentu et où il fallait pédaler, avec un bon vent contre. Vent plutôt contre aussi dans la montée du Hochtor.

La petite cerise sur le gâteau, c’était l’ascension en fin d’étape du col d’Iselsberg. Petite montée que l’on voit sur le profil. 347 mètres en 4,7 kilomètres. 4 tronçons avec une pente de 10 à 15 %.

Demain sera très différent, mais pas plus facile.

Profil de l’étape du jour.

Hochtor – 13 juillet 1977 – A gauche François – à droite Pierre?

Hochtor 2504 mètres – Le 6 juin 2025.

Au départ ce matin.

Au départ ce matin.

Début de la route du Grossglockner.

Paysage.

Paysage.

Paysage en montant.

Première pause à l’altitude 1434 mètres. Au départ altitude 766 mètres.

Première pause à l’altitude 1Le col d’Iselsberg – Altitude 1204 mètres.434 mètres. Au départ altitude 766 mètres.

Première pause à l’altitude 1434 mètres. Au départ altitude 766 mètres.

Première pause à l’altitude 1434 mètres. Au départ altitude 766 mètres.

Deuxième pause à l’altitude 1963 mètres.


Le col d’Iselsberg – Altitude 1204 mètres.

Altitude 2428 mètres.

Altitude 2428 mètres, mais la route redescend jusqu’au lac, altitude 2261 m.

Altitude entre 2428 m et 2261 mètres, on voit bien la route du col.

Sommet du col, côté SalzbourgLe col d’Iselsberg – Altitude 1204 mètres..

Sommet du col, côté Salzbourg.

Sommet du col, côté Salzbourg.

Sommet du col, côté Salzbourg. Un tunnel permet d’atteindre l’autre côté du col, le Hochtor.

Hochtor 2504 mètres.

Hochtor 2504 mètres – Le 6 juin 2025.

Hochtor 2504 mètres – Le 6 juin 2025.

Hochtor 2504 mètres.

Hochtor 2504 mètres.

La descente vers Lienz.

Véhicules de collection dans la montée du Hochtor (moi je descends).

Véhicules de collection dans la montée du Hochtor (moi je descends).

Le col d’Iselsberg – Altitude 1204 mètres.

Véhicules de collection dans la montée du Hochtor (moi je descends).

Paysage dans la descente.

Paysage dans la descente.

Paysage dans la descente.

Paysage dans la descente.

Paysage dans la descente. Au Le col d’Iselsberg – Altitude 1204 mètres.fond, le col d’Iselsberg.

Le col d’Iselsberg – Altitude 1204 mètres.

Le col d’Iselsberg – Altitude 1204 mètres.

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Alpes Européennes – Jour 9 – Salzburg – Bruck an der Großglocknerstraße – 93 km

Toute la journée, j’ai remonté le cours de la rivière Saalach qui est, rappelons-le, un affluent de la Salzach (confluent à Salzburg), et ce soir, juste avant d’arriver, j’ai traversé la Salzach. Les deux rivières passent, l’une au nord, l’autre au sud du lac de Zell am See, à 10 kilomètres l’une de l’autre, dans une plaine, mais se dirige vers Salzburg en prenant deux vallées très différentes.

Je craignais, comme c’est une vallée étroite d’être sur une route à circulation, mais pas du tout, j’ai roulé le plus souvent en pleine nature. J’ai eu pas mal de chemins, mais rien de monotone, tout en virages et en montées-descentes. De quoi ne pas s’ennuyer.

Beau temps le matin, j’ai roulé toute la journée en T-shirt, très menaçant en arrivant, mais finalement, il n’a pas plu.

Parti vers 6h45, je suis arrivé à 15h30, un peu trop tôt, l’hébergement ouvrait à 16h. Mieux vaut ça que de finir sous la pluie.

Aujourd’hui, 855 mètres de dénivelé positif, un peu plus que d’habitude.

Fini l’entraînement, demain les choses « sérieuses » commencent.

Surpise ! 10 kilomètres après avoir quitté Salzburg, je rentre en Allemagne pour 25 kilomètres. Rien ne me dira que je re-rentre en Autriche !

Paysage.

Paysage.

Centre de cure de Bad Reichenhall (Allemagne).

Bad Reichenhall (Allemagne).

Bad Reichenhall (Allemagne).

Pont sur la Saalach à Bad Reichenhall (Allemagne).

Barrage sur la Saalach à Bad Reichenhall (Allemagne).

Paysage et chapelle à Schneizlreuth, Allemagne.

Paysage à Schneizlreuth, Allemagne.

Chemin en bord de Saalach.

Paysage à Schneizlreuth, Allemagne.

Paysage à Schneizlreuth, Allemagne.

Monument « Protéger la paix » à Lofer (Autriche). Cela relate la révolte du Tyrol contre Napoléon et les Bavarois. A lire Rébellion du Tyrol

Il est très curieux que ce soit Napoléon, ennemi du Tyrol, qui soit mis en évidence sur ce monument.

Calvaire à Lofer.

Lofer.

Lofer.

Lofer.

Stationnement vélo à un arrêt de’autocar à Sankt Martin bei Lofer.

Sankt Martin bei Lofer.

Extractreuse de gravier de la rivière Saalach à Sankt Martin bei Lofer.

Sculpture « Escargots à longue distance » « LangStreckenSchnecken » créée par un projet d’école de Saalfelden en 2010 pour agrémenter la voie cyclable « SteinbergRunde »

Paysage à Saalfelden am Steinernen Meer. (côté gauche de la route).

Paysage à Saalfelden am Steinernen Meer. (côté droit de la route).

Saalfelden am Steinernen Meer.

Paysage au-delà de Saalfelden am Steinernen Meer.

Le village de Gerling.

Zell am See.

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Alpes Européennes – Jour 8 – Visite de Salzburg

Aujourd’hui, c’était visite de Salzburg, 4éme ville d’Autriche, mais petite ville, 150 000 habitants (plus petit qu’Angers dont l’agglomération compte 250 000 habitants).

On se repère donc assez facilement dans la ville. J’ai pris mon vélo pour découvrir la ville sans trop marcher, mais je suis monté à la forteresse à pied.

La visite de la forteresse et de ses musées est vraiment intéressante et bien animée avec des documents vidéo brefs, mais pertinents.

J’ai commencé par parcourir la vieille ville, c’est vite fait, et visiter la cathédrale, puis je suis monté à la forteresse, où j’ai passé près de 3h. Peu de monde en arrivant à 8h45. 1 million de visiteurs par an. Il doit y avoir des jours chargés !

En redescendant je découvre le tunnel qui permet de passer sous la forteresse, le tunnel historique est fait pour les automobiles, mais il y a un tunnel particulier pour les piétons et les vélos.

Je vais faire un tour vers le château, mais c’est une propriété privée et il ne semble pas que l’on puisse y accéder. Par contre, je pique-nique sur un banc au bord de l’étang de ce château.

Ensuite, je vais faire un tour du côté du Hangar 7, à côté de l’aéroport, mais il est fermé en cours d’un nouvel aménagement. Tout autour, on a l’impression d’un espace-prison. Je crois que je ne manque pas grand’chose. Le site est parrainé par le poison Red-Bull.

Je vais faire un tour ensuite du côté du château Mirabell, mais je ne suis pas très enthousiasmé (et fatigué).

En rentrant je passe devant la maison de Mozart.

Demain je reprends la route.

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Alpes Européennes – Jour 7 – Bad Feilnbach – Salzburg – 105 km

Longue étape aujourd’hui, mais très semblable aux précédentes. Dénivelé positif 697 mètres, dans la moyenne depuis 7 jours.

Temps un peu incertain le matin, il a dû bien pleuvoir dans la nuit, mais beaucoup de soleil un peu plus tard.

Départ 8h15, comme hier, c’est l’inconvénient du petit déjeuner inclus dans le prix de l’hébergement. C’est toujours très bien, le café est bon, bien fort, peut-être un peu trop pour mon organisme. La dosette Nescafé ne vaut pas le café servi, mais me convient mieux, et me laisse la liberté de partir beaucoup plus tôt.

Beaucoup de vélos randonneurs avec bagages encore aujourd’hui, et de vélos de ville à Salzbourg, mais jusqu’à 10h, je suis tout seul sur la route …

A Aschau im Chiemgau, je demande à un réparateur de vélo de me prêter sa burette d’huile pour en remettre sur la chaîne, j’ai oublié la mienne.

Après sept jours de route, demain, c’est jour de repos et de découverte de Salzbourg.

Ce n’est pas la première fois que je viens à Salzbourg. Fin juin-Début juillet 1977, avec mon frère François, nous avions fait un Paris-Salzbourg 1700 km en 17 jours. François venait de terminer son diplôme d’Ingénieur Institut du Nord (Centrale Lille aujourd’hui) et c’est avec quelques-uns de ses copains que nous étions partis de Paris. L’itinéraire était prévu, mais pas les étapes, nous dormions probablement en camping sauvage, peut-être en vrai camping. Les copains nous avaient quittés quand nous approchions de l’Allemagne (ou de la Suisse). C’était notre première randonnées dans les Alpes non françaises.

A Salzbourg, le 13 juillet 1977, nous n’avions pas pris le temps de découvrir la ville (à l’époque nous ne faisions pas de tourisme urbain), nous avions directement pris un train-couchettes direct pour Paris (quel heureux temps pour les cyclo-randonneurs, les trains de nuit ! ça revient, pas très vite …), nous réveillant le 14 juillet matin à Paris. Après une journée de repos à Paris (où habitait alors nos parents), nous avions rejoint en deux jours La Roche sur Yon (420 km).

Extrait de notre carnet de photos de 1977.

File de camions sur l’autoroute vers l’Autriche.

Paysage en arrivant sur Aschau im Chiemgau.

Aschau im Chiemgau.

Aschau im Chiemgau.

Paysage.

Château à Bernau am Chiemsee, restauré en maison de vacances.

Gué dans la forêt.

Site de l’ancienne gare d’exploitation de la tourbe extraite dans les environs. La tourbe extraite était transportée sur une voie de chemin de fer à voie étroite 880 mm, longue d’une trentaine de kilomètres.

Site de l’ancienne gare d’exploitation de la tourbe extraite dans les environs. La tourbe extraite était transportée sur une voie de chemin de fer à voie étroite 880 mm, longue d’une trentaine de kilomètres.

Ancien wagonnets de transport de la tourbe.

Le train circule encore le samedi et le dimanche de mai à octobre.

Dans la forêt, j’ai monté sur une centaine de mètres une côte signalée à 18 %.

Pont de l’autoroute Munich-Salzburg, en réfection, pont au-dessus de la Grossache, rivière venant d’Autriche et se jetant dans le Chiemsee, pour finir dans le Danube.

Paysage à mon point culminant de la journée, 631 mètres. peu après le village de Lauter.

Entrée en Autriche.

C’est la rivière Saalach qui marque la frontière entre l’Allemagne et l’Autriche. La rivière Saalach est un affluent de la Salzach, donc un sous-affluent du Danube par l’Inn. Les eaux sont très boueuses, c’est probablement lié aux orages de la nuit.

Dès le passage de la frontière, on entre dans l’agglomération de Salzbourg.

Passerelle sous le pont autoroutier pour franchir la rivière Salzach. Type de passerelle dont rêvent les habitants de La Chapelle sur Erdre pour franchir l’Erdre sans avoir besoin de prendre le pont de la Jonelière, bien plus en aval.

Sous le pont autoroutier, vue vers Salzbourg.

Barrage sur la Salzach en approchant de Salzbourg.

La route vélo d’accès à Salzbourg, tranquille, de très bonne qualité et très fréquentée.

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