Ardéchoise – Jour – 3 – Montluçon – Gannat – 78 km

Très belle étape encore aujourd’hui.

Pas de tout repos !

Beau temps au départ, mais pluie nécessitant la cape à partir de Louroux de Double.

Que des routes avec très peu de circulation, et souvent de très petites routes très sinueuses avec des belles descentes … et de belles montées.

Forme meilleure qu’hier.

Profil de l’étape Montluçon Gannat – 1005 mètres de dénivelé positif.

La gare de Montluçon-Rimard. Étonnant, une deuxième gare à Montluçon, À 1400 mètres de l’autre !

Montluçon, vu du sommet de la côte bien raide par laquelle on quitte la ville.

Entrée du parc d’un chateau en arrivant à Commentry.

La cité des Brûlés en arrivant à Commentry. La Cité des Brûlés, à l’entrée de Commentry, a été construite sur le modèle des corons. Une cinquantaine de maisons toutes mitoyennes. Chaque maison a un jardinet devant et derrière, sur le principe des cités jardins du début du siècle, réadapté à des dimensions plus étriquées. Une maison de mineur était plus étroite que celle d’un contremaître. Une rue principale rectiligne dessert une grande partie des maisons. Le plan de la cité est orthogonal.
La ville de Commentry est un exemple d’urbanisme industriel, organisé autour des voies ferrées et des usines. Un tiers de la superficie urbaine est occupé par le rail, les zones d’entrepôts, les usines chimiques, les forges, les bassins, les zones de dépôts et les terrains de friches minières…

La gare de Commentry.

L’hôtel de ville de Commentry.

Maisons au centre-ville de Commentry.

Grosse usine à Commentry. Non identifiée.

L’église du village de Colombier.

L’église du village de Colombier.

La Merlerie à Colombier.

Absurde ce rappel sur cette route qui devrait être limitée à 50 km/h vue sa largeur et sa sinuosité. Que vient faire ce panneau démago ici ?

Lapeyrouse.

L’église de Lapeyrouse.

La gare de Lapeyrouse.

Panneau d’affichage dans la gare de Lapeyrouse. Peu de trains s’arrêtent …

La gare de Lapeyrouse.

Le viaduc ferroviaire de la Double.

Louroux de Bouble.

La voie de chemin de fer à Louroux de Bouble.

La gare de Louroux de Bouble.

Coustansouze.

L’église de Coustansouze.

Le viaduc de la Perrière à Coustansouze.

La gare de Bellenaves.

La gare de Bellenaves.

Moisson ou fenaison ? près de Veauce.

L’église de Veauce.

Portai d’entrée (pas très authentique, du château de Veauce (bien caché) dont in aperçoit une tour au fond. 1200 ans d’histoire https://www.chateaudeveauce.fr/

Le viaduc de Rouzat.

Le viaduc de Rouzat.

Le viaduc de Rouzat.

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Ardéchoise – Jour – 2 – Guéret – Montluçon – 85 km

Très belle étape, Très beau temps, pas très facile, surtout au début, et ce soir, je ne suis pas dans de bonnes conditions pour faire un compte-rendu.

Ce sera pour un autre jour.

Hier soir, dans ma chambre, pas de bureau, pas de chaise.

Aujourd’hui je mets les photos d’hier en ligne.

Vue des hauteurs de Guéret où j’étais hébergé à la Pause Vélo.

L’hôtel de ville de Guéret.

La place de l’hôtel de ville et sa fontaine publique (Place Bonnyaud).

Bains douches à Guéret. Inscription « Hygiène Sociale ».

L’église Saint Pierre et Saint Paul de Guéret.

L’église Saint Pierre et Saint Paul de Guéret.

L’église Saint Pierre et Saint Paul de Guéret.

L’église Saint Pierre et Saint Paul de Guéret.

L’église Saint Pierre et Saint Paul de Guéret.

La gare de Guéret. Il est 8h.

Devant la gare de Guéret, la Librairie Laïque.

Le village de Saint Laurent.

Le village de Saint Laurent.

Le parcours de pêche sur la Creuse, après le lieu-dit « Pont à l’Evêque » (par erreur, j’avais grimpé 2 km et 85 mètres de dénivelé, au lieu de prendre un petit chemin qui longeait la Creuse, chemin empierré, un peu pénible.

Le viaduc de Busseau sur Creuse.

Le viaduc de Busseau sur Creuse.

Le viaduc de Busseau sur Creuse.

Crossat.

Fresque à Crossat.

La Celle sous Gouzon.

Trois-Fonds. Dommage, le remembrement est passé par là, plus de haies.

La chapelle de Trois-Fonds.

Troupeau élevé en liberté.

Les Pierres Jaumâtres sont un chaos granitique comme il en existe plusieurs dans le département de la Creuse. Elles constituent un site naturel classé en 1927. Souvenir d’enfance, nous y allons faire de l' »escalade ». J’avais entre 5 et 9 ans.

Panneau à Lavaufranche, visiblement pas satisfait du comportement des automobilistes.

La gare de Lavaufranche.

Panneau démago du département de l’Allier. Peu importe la sécurité. Je suis sur une toute petite route qui devrait être limitée à 50 km/h.

La gare de Treignat, désaffectée.

L’église de Treignat.

L’église d’Archignat.

La gare d’Huriel, désaffecté.

Arrivée sur Montluçon.

Domérat.

L’ancienne hôtel de ville de Domérat.

L’église de Domérat.

L’église de Domérat. Noter le RF sur la façade.

La gare de Montluçon.

Fresque en bois dans la gare de Montluçon.

La gare de Montluçon.

L’Hôtel de ville de Montluçon, boulevard de Courtais.

Le château de Montluçon.

Le château de Montluçon.

La maison du doyen en face de l’église Notre Dame.

Hubertine Auclert, une illustre « montluçonnaise » (l’attribution à Montluçon paraît un peu abusive), journaliste, écrivaine et militante féministe française qui s’est battue en faveur de l’éligibilité des femmes et de leur droit de vote.

Association A.C.T.I.V.E
« Association Chrétienne de Terrain, un Idéal à Vivre Ensemble »
Association culturelle unitaire chrétienne, loi de 1901.

L’église Notre Dame.

L’église Notre Dame et le Mu Pop (musée des musiques populaires).

L’église Notre Dame.

L’église Notre Dame.

La maison de mon enfance à Montluçon de 1959 à 1964.

La maison de mon enfance à Montluçon de 1959 à 1964.

La maison de mon enfance à Montluçon de 1959 à 1964.

Lieu où était la niche du chien.

Autrefois des appartements, et nous allions chez Bernadette (une fille de notre âge), regarder Zorro sur la télévision que nous n’avions pas. Aujourd’hui une annexe du tribunal.

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Ardéchoise – Jour – 1 – Nantes – La Souterraine – Guéret – 10 km + 47 km

Me voilà reparti pour un petit voyage que j’ai intitulé l’Ardéchoise, mais hier en bavardant avec Chantal, je me suis aperçu que dans mon organisation, j’avais fait chevauché deux semaines, ma dernière semaine de périple à vélo et la première de notre séjour dans les Alpes.

Incroyable ! Et c’est moi qui avais pris les billets de train de Chantal de Nantes à Lyon et de notre retour de Lyon à Nantes le 4 juillet après 15 jours dans les Alpes et une petite semaine à Saint Paul en Jarez chez notre fille Isabelle.

Donc, hier soir, j’ai dû supprimé une semaine de périple à vélo. Heureusement, tous mes hébergements étaient annulables sans frais.

L’Ardéchoise est une randonnée cycliste qui traverse l’Ardèche et la Drôme en juin. C’est une épreuve sportive qui se déroule sur 4 jours et qui fait le tour du département de l’Ardèche en passant par de très nombreux cols. Mon intention était de faire ce tour, non pas en 4 jours sans bagages, mais en 8 jours avec bagages et hors de la période de la randonnée officielle.

Pour me mettre en jambe, j’ai décidé de partir de Guéret pour reprendre le parcours du Grand Défi Railcoop, itinéraire de Bordeaux à Lyon préfigurant la réouverture de la ligne de train Bordeaux-Nantes. J’avais fait la partie Bordeaux-Guéret et était rentré sur Nantes en train via la Souterraine.

Ce matin, lever 4 heures, départ de la maison 5h, train à 6h26 après 10 kilomètres de vélo, je prends toujours de bonnes marges qui m’ont servi au moins deux fois, une fois, rupture de chaîne à 5 kilomètres de la gare, j’ai réparé, une autre fois, oubli de ma carte bancaire en partant pour la Russie. Heureusement, Chantal était là pour me la ramener à la gare.

Nantes-Vierzon, une heure de retard à l’arrivée à Vierzon, troisième fois cette année que je vais recevoir un avoir dans le cadre de la garantie G30 de la SNCF.

Là aussi j’avais pris des marges pour la correspondance de Vierzon à La Souterraine où j’ai débarqué à 13h30 pour rejoindre Guéret par de toutes petites routes en passant par Le Grand Bourg, Gartempe, Brionne, Saint Léger le Guérétois, en passant un col à 654 mètres.

A partir de demain, je prends la route de Guéret à Lyon, je descend ensuite la vallée du Rhône jusqu’à Tournon sur Rhône où j’entamerai le tour de l’Ardéche, un ovale, dont je ne ferai que la descente par l’Est avant de remonter en train sur Lyon où je rejoindrai Chantal. Je ne ferai qu’une demi-Ardéchoise.

Avant de mettre quelques photos d’aujourd’hui, je vais vous montrer quelques photos de conduite d’un attelage de deux chevaux de trait qui sont utilisés, avec une très grande maîtrise, dans l’exploitation de la forêt de Rohane, sur la Zad de Notre Dame des Landes que j’ai eu l’occasion de redécouvrir dans le cadre de la Porte Ouverte dimanche 26 mai (tous les ans fin mai), où une vingtaine de collectifs accueille le public pour faire découvrir les lieux et présenter leurs activités, dans le bocage sauvé de la bétonisation.

Attelage utilisé dans l’exploitation de la forêt de Rohane sur la Zad de Notre Dame des Landes.

Attelage utilisé dans l’exploitation de la forêt de Rohane sur la Zad de Notre Dame des Landes.

Attelage utilisé dans l’exploitation de la forêt de Rohane sur la Zad de Notre Dame des Landes.

Attelage utilisé dans l’exploitation de la forêt de Rohane sur la Zad de Notre Dame des Landes.

Tracteur construit en 1953 par la société SDV à Vierzon.

Le site de la SDV à Vierzon, aujourd’hui, c’est, en partie, un établissement du CNAM.

Plaque sur la gare de la Souterraine où le train arrivait en 1856.

L’église du Grand Bourg.

Les trésors de l’église du Grand Bourg.

Petit château peu avant d’arriver à Gartempe.

Gartempe.

Gartempe.

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Costa-Brava – jour 10 – Olot – Perpignan – 123 km

Hier soir s’est terminé cet excellent séjour sur la Costa Brava après une étape de 123 kilomètres avec le passage d’un col pyrénéen à 1513 mètres.

1160 mètres de dénivelé en 43 kilomètres (comme on aurait calculé autrefois avec les cartes Michelin, du point le plus bas 354 mètres au point le plus haut 1913 mètres), soit 2,7 % de dénivelé. Pas très méchant.

Une montée à peu près continue avec le passage d’un premier col, le Capsacosta à 820 mètres d’altitude (mais on n’est pas vraiment en haut, on est à 900 mètres d’altitude un peu plus loin !).

Je fais ma première pause casse-croûte à Camprodon, 30 km après le départ et 3 heures de route. Mon petit-déjeuner a été moins riche et moins copieux que ceux de Lloret de Mar.

La deuxième partie de la montée se passe bien aussi. Tous les kilomètres, il y a un panneau indiquant le reste de route à parcourir et le pourcentage moyen restant, information pas très pertinente. Il vaudrait mieux savoir le pourcentage moyen du kilomètre suivant. Certains sont plus durs que d’autres. Sur la fin, le pourcentage moyen est plutôt 5%, avec des portions à 10%.

Parti à 8h, après 48 kilomètres, je suis au sommet du col d’Arès peu avant 13h, ce qui correspond à mon tableau de marche.

Toute la route s’est faite sur une route d’excellente qualité avec une certaine circulation, mais supportable, sauf 11 kilomètres avec le col de Capsacosta, où la circulation était nulle, pas une voiture, montée super agréable, les voitures prenant un autre itinéraire avec un long tunnel interdit aux vélos.

Comme le montre les photos, temps magnifique toute la journée.

Dès l’entrée en France, la qualité de la route change … et il n’y a plus du tout de circulation.

Dans la montée du col, j’avais croisé ou était doublé par de très nombreux cyclistes espagnols. Côté français, jusqu’à Perpignan, je ne verrai pas un seul cycliste, sauf en arrivant sur Prats de Mollo où je croise un groupe de 6 cyclistes qui s’apprête à remonter le col d’Arès par le versant français, mais ce sont des Espagnols qui m’avaient doublé dans la montée et qui rentrent chez eux.

Mais il est 13 heures passés et dans la vallée du Tech, il fait très chaud. Peut-être que les cyclistes français ont roulé le matin et sont maintenant tranquillement en train de prendre l’apéro au frais.

La descente du Tech est belle, mais il fait très chaud et j’ai un bon vent de face, vent chaud.

Je fais une deuxième pause casse-croûte à Arles sur Tech, il me reste 50 kilomètres jusqu’à Perpignan.

Passage à Amélie les Bains, puis la vallée s’élargit, le vent est plus frais, rafraîchissant, même s’il est toujours défavorable.

Je suis sur une grande route rectiligne, mais j’ai une bonne bande cyclable et la circulation n’est pas très importante. La pénétration dans Perpignan n’est pas très secure pour les vélos, aucune proposition ou possibilité évidente d’alternative. Heureusement, on est dimanche, et ce ne sont pas encore les retours de week-end par ce côté là !

J’arrive vers 17h30 après cette longue et dernière étape. Aujourd’hui journée tranquille à Perpignan avant le retour sur Nantes, en train, demain.

Ainsi se termine ce voyage sur la Costa Brava :

  • 10 jours
  • 950 kilomètres
  • 11 300 mètres de dénivelés positifs cumulés (calcul Brouter, à peu près équivalent à OpenRunner).

Profil du jour : 1160 mètres de dénivelé en 43 kilomètres (comme on aurait calculé autrefois avec les cartes Michelin, du point le plus bas 354 mètres au point le plus haut 1913 mètres), soit 2,7 % de dénivelé

L’église d’Olot ce matin au départ.

En descendant d’Olot, vue vers les Pyrénées.

Paysage.

San Salvador Ca l’Escola.

Entrée dans le parc naturel de la zone volcanique de la Garrotxa.

Sommet du premier col de la journée, le Capsacosta à 870 mètres d’altitude.

Paysage au sommet du col de Capsacosta.

Paysage dans la descente du col de Capsacosta.

Saint Pau de Seguries.

Chevaux, avec cloches tintinnabulantes, à Saint Pau de Seguries.

Paysage à Saint Pau de Seguries.

Début de la montée au col d’Arès à partir de Camprodon. 17,9 km de montée, moyenne 3,2 %.

Début de la montée au col d’Arès à partir de Camprodon. 17,9 km de montée, moyenne 3,2 %.

Église de Mollo.

Église de Mollo.

Le village de Mollo vu d’au-dessus.

Paysage dans la montée du col d’Arès.

Sommet du col d’Arès, 1513 mètres.

Du sommet du col d’Arès, vue vers Molllo, le côté espagnol.

Du sommet du col d’Arès, vue vers le massif du Canigou, le côté français.

Du sommet du col d’Arès, vue vers le massif du Canigou, le côté français.

Arivvée sur Prats de Mollo.

Prats de Mollo.

Descente de la vallée du Tech.

Ponts sur le Tech à Pont de Reynès.

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Costa-Brava – jour 9 – Lloret de Mar – Olot – 75 km

Très belle journée aujourd’hui, la température est montée à 30 degrés à Olot. Quand j’y suis arrivé vers 14h30, il ne faisait que 26 degrés.

Départ vers 8h30 ce matin après un dernier et toujours excellent et très copieux petit-déjeuner, et les adieux au groupe. Certains rentrent directement pour la Vendée, le Maine et Loire, La Chapelle sur Erdre, et sont bien arrivés d’autres y vont plus doucement profitant d’être dans le Sud, sur d’autres plages de la Costa Brava, ou dans le Lubéron.

Merci à tous pour l’excellente ambiance de ce séjour, particulièrement à Jean-Claude son organisateur et animateur, et à Philippe qui a transporté mon sac de vêtements complémentaires à ce que je transporte sur mon vélo.

Moi je prends la direction d’Olot, empruntant au départ, sur les 40 premiers kilomètres, le même itinéraire que mes copains cyclo-sportifs hier.

5 kilomètres de montée un peu raide pour rejoindre le tunnel qui permet ensuite de basculer vers Vidreres.

Puis ce sera le passage à Sils, et à Riudarenes, où je suis déjà passé plusieurs fois sans prendre le temps de m’arrêter, mais aujourd’hui, l’étape est courte et je prends mon temps.

J’arrive ensuite à Sant Coloma de Farners que j’ai visité jeudi, et je continue jusqu’à Angles, route que j’ai déjà parcouru hier dans l’autre sens.

12 kilomètres que j’avais trouvé un peu pénible hier, même sensation aujourd’hui dans l’autre sens. De longues montées-descentes pas très douces sur une route large et assez rectiligne et avec une certaine circulation, pas gênante en terme de sécurité, je suis dans ma bande, mais circulation bruyante et rapide. J’ai bien pensé à mes copains, particulièrement Philippe qui n’aime pas les côtes, qui ont parcouru ces 12 kilomètres dans les deux sens hier. Il est vrai qu’en groupe, et ils étaient nombreux, une quarantaine peut-être, il y a un entraînement mutuel.

Pause casse-croûte à Amer sur la place centrale en face de l’affiche invitant Carles Puigdemont à ne pas capituler.

Il commence à faire bien chaud, montée vers les Plannes d’Hostoles.

Découverte du village de San Felui de Pallerols, un peu à l’écart de la route, je ne suis pas pressé.

Puis fin de la montée du jour, un col à 578 mètres avant de redescendre sur Olot.

Pas de difficulté particulière aujourd’hui, mais cette nuit, j’avais eu une petite crampe à la jambe après une heure de sommeil, soignée avec massage et exercice et n’ayant pas récidivé (ouf !),

et un peu de mal aux jambes ce matin, et dans certaines reprises dans la journée.

Bonne sieste en arrivant, et je termine très bien cette journée de récupération.

Demain c’est le retour en France, mais toujours en Catalogne !

La gare de Sils.

Riudarenes.

Riudarenes.

Riudarenes.

Indication routière de la Cellera de Ter. Peut-être le point où les copains du groupe ont fait hier leur demi-tour avant de rentrer à Lloret de Mar.

La vallée du Ter, vue vers l’amont.

La vallée du Ter, vue vers l’aval.

La place centrale d’Amer pavoisée avec le drapeau catalan à connotation politique (L’estelada, drapeau indépendantiste catalan. L’étoile blanche sur fond bleu est empruntée au drapeau cubain, des volontaires catalans ayant participé aux révoltes de Cuba contre l’Espagne).

Place du village d’Amer. Invitation pour Carles Puigdemont à ne pas capituler.

Fresque revendiquant le retour des exilés politiques (suite à la tentative d’indépendance de la Catalogne en 2017).

Amer.

En montant vers les Planes d’Hostoles.

En montant vers les Planes d’Hostoles.

En montant vers les Planes d’Hostoles.

San Felui de Pallerols.

San Felui de Pallerols.

San Felui de Pallerols.

San Felui de Pallerols.

La place centrale de San Felui de Pallerols.

San Felui de Pallerols.

San Felui de Pallerols. Affiché sur ce qui doit être l’hôtel de ville, Année 2024, 17 morts à la suite de violences sexistes

Le tunnel permettant de franchir le col, altitude 578 mètres.

La descente vers Olot après le passage du col à 578 mètres.

L’arrivée sur Olot.

Le centre de la vieille ville d’Olot.

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Costa-Brava – jour 8 – Boucle Lloret de Mar – 160 km

Boucle Lloret de Mar – Tossa de Mar – Sant Grau de l’Ardenya – Llagostera – Cassa de la Selva – Aéroport de Girone – Aiguaviva – Anglès – Santa Coloma de Farners – Sant Hilari Sacalm – Arbucies – Hostalric – Blanes – Lloret de Mar

Profil de la journée : essentiellement 2 cols : 473 mètres et 820 mètres – Selon l’application utilisée, le dénivelé positif est évalué à 2282 mètres par Brouter, 2933 mètres par LocusMap, 3578 mètres par MyGpsFiles

Photos sans commentaires aujourd’hui.

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Costa-Brava – jour 7 – Boucle Lloret de Mar – Sant Hilari Sacalm – 100 km

Journée magnifique aujourd’hui.

Frais le matin, mais je termine la journée en T-shirt.

Mon objectif de la journée est de monter jusqu’à l’altitude de 820 mètres.

Je pars par la même route que dimanche mation avec le groupe officiel « détente ».

Route le long de la côte (mais on ne la voit pas) jusqu’à Blanes, puis on bifurque vers l’intérieur des terres jusqu’à Hostalric où le groupe avait sa pause ravitaillement dimanche.

Mais au lieu de revenir directement sur Lloret de Mar via Sils et Vidreres,

je poursuis vers l’intérieur des terres en traversant Hostalric que j’avais visité au retour de ma sortie de lundi,

et j’arrive à Arbucies, malheureusement sur une route avec une certaine circulation, pas trop, mais route un peu large.

Je continue jusqu’à Sant Hilari Sacalm, le point culminant de ma boucle, toujours sur cette route un peu large. Dommage !

Je casse la croûte sur la place de cette petite ville, plutôt village, mais bien animée, surtout à l’heure de sortie d’école qui doit être vers 12h30.

Je repars ensuite vers Santa Coloma de Farners par une petite route très tranquille, belle descente.

Visite de Santa Coloma de Farners et retour à Lloret de Mar via Sils et Vidreres, et la route habituelle avec son tunnel jusqu’à Lloret de Mar. Difficile de trouver un autre itinéraire pour rentrer, les routes sont rares et certaines strictement réservées aux automobiles.

Carte de l’étape du jour. Lloret de Mar, Blanes, Hostalric, Arbucies, Sant Hillari Sacalm, Santa Coloma de Farners, Sils, Vidreres, Lloret de Mar.

Profil de l’étape du jour. Point culminant altitude 820 mètres.

La forteresse d’Hostalric et le ruban jaune, expression de la volonté indépendantiste de la Catalogne.

En Catalogne, nombreuses sont les communes qui affichent leur volontarisme dans la lutte contre les agressions sexistes.

Hostalric.

Hostalric.

Hostalric.

Décor d’un restaurant sur la route entre Hostalric et Arbucies.

Décor d’un restaurant sur la route entre Hostalric et Arbucies.

En s’approchant d’Arbucies, montagnes et champs de colza.

La Riera d’Arbucies, vue vers l’aval.

La Riera d’Arbucies, vue vers l’amont.

Le château de Montsoriu, je n’y monterai pas, mais je l’aurai lontemps à vue, dans la montée à Sant Hilari Sacalm, point culminant de la journée, et même en redescendant.

Arbucies.

Arbucies.

Vue dans la montée entre Arbucies et Sant Hilari Sacalm.

Échangeur dans la montée entre Arbucies et Sant Hilari Sacalm.

Vue dans la montée entre Arbucies et Sant Hilari Sacalm.

Fontaine au sommet en entrant dans Sant Hilari Sacalm.

Monument mégalithique daté entre le néolithique et l’âge de bronze (de -2500 à -1800 ans avant Jésus-Christ)

Monument place Joseph Moragues à Sant Hillari Sacalm. Je suppose, n’ayant pas trouvé explicitement le sens de ce monument, que cela symbolise la tête de Joseph Moragues, mise dans une cage suspendue à une porte de la muraille de Barcelone. Josep Moragues i Mas, né en 1669 à Sant Hilari Sacalm et mort en 1715 à Barcelone est un général catalan austrophile qui lutta aux côtés de Charles de Habsbourg lors de la Guerre de Succession d’Espagne, souvent considéré comme un défenseur et martyr de la Catalogne dans sa lutte contre l’armée française de Philippe d’Anjou, futur Philippe V d’Espagne. A la fin de la guerre, il fut torturé et exécuté le 27 mai 1715. Auparavant, les honneurs militaires lui sont retirés, et une fois déchaussé et habillé avec une tunique de pénitence, il est traîné par un cheval dans les rues de Barcelone. Puis, il est égorgé, dépecé, et sa tête est mise dans une cage suspendue à une porte de la muraille de Barcelone, pour prévenir d’éventuels intéressés du destin qui attend ceux qui veulent se soulever.

Lieu de ma pause casse-croûte à Sant Hilari Sacalm.

Église de Sant Hilari Sacalm.

Église de Sant Hilari Sacalm.

Vieille maison (1692) de Sant Hilari Sacalm.

Le château de Roca à Sant Hilari Sacalm.

Dans la descente de Sant Hilari Sacalm.

Viaduc de l’autoroute C25.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Santa Coloma de Farners.

Peinture représentant Santa Coloma de Farners.

Sainte Marie de Montserrat, appelée la « Moreneta », réplique de l’originale vénérée à la basilique de Montserrat. (même réplique que celle vue hier à Tossa de Mar).

Rond-point d’entrée dans Santa Coloma de Farners en venant de Lloret de Mar.

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Costa-Brava – jour 6 – Lloret de Mar – Tossa de Mar – 24 km

Journée dite « de repos ».

Ce matin,

visite de l’église Sant Roma dans un vieux quartier de Lloret de Mar,

balade sur le remblai de Lloret de Mar,

et visite du Musée de la Mer de Lloret de Mar

Petit musée qui se visite en moins d’une heure (entrée 4 €) avec un audioguide en français à écouter sur son smartphone, très intéressant et facile à écouter.

On y apprend qu’autrefois le village était très pauvre.

Pour survivre, les habitants construisait des bateaux qui leur permettait de descendre la côte jusqu’en bas pour passer dans l’Atlantique et remonter ensuite jusqu’à Cadix pour vendre leur production agricole locale (de Lloret) et l’échanger avec des marchandises venues d’Amérique.

Les bateaux ramenaient alors ces marchandises jusqu’à Alicante où ils les revendaient, et rentrer ensuite à Lloret plus riches qu’à leur départ. Voyage long et difficile.

En 1778, il y eut la libéralisation du marché des produits venus d’Amérique. Auparavant, seuls les bateaux venant de la ville de Cadix avait le droit de commercer avec les Amériques, à partir de 1778, tout le monde eut ce droit.

Ce fut l’âge d’or de Lloret. Les chantiers navals se multiplièrent à Lloret, des gros bateaux furents construit à même le sable sur la plage, et le commerce avec les Amériques se développa intensément. Ce fut l’histoire des Indianos, pauvres habitants qui partirent en Amérique et en revinrent colons riches.

Mais les bateaux à vapeur firent disparaître la navigation à la voile et les chantiers navals n’était pas adapté à la construction de bataeaux à vapeur. La ville de Lloret déclina,

jusqu’à ce que l’industrie du tourisme vienne réveiller la ville.

L’après-midi, route à vélo jusqu’à Tossa de Mar, 12 kilomètres, mais avec une bonne côte de 200 mètres de dénivelé,

et visite de la vieille ville et de sa forteresse.

Commentaires des photos un peu baclés, les journées sont trop courtes …

Il y aurait pourtant beaucoup de choses à raconter.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

Sainte Élisabeth et Saint Jean.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

Sainte Christine.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’église Sant Roma à Lloret de Mar.

L’Economie (?).

Cabestan pour remonter la flottille de 17 embarcations de 8 à 10 mètres de long, opérationnel de 1934 à 1975.

Hommage à la danse traditionnelle catalane, Sardena ! (La Sardane).

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Vue de la terrasse du musée de la Mer de Lloret de Mar.

Vue de la terrasse du musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Le musée de la Mer de Lloret de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

Tossa de Mar.

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Costa-Brava – jour 5 – Vélo « master adapté » – 136 km – 2076 mètres de dénivelé positif

Départ 8h – Retour 18h.

Très bel itinéraire, très belle étape.

Initialement prévue 123 km, mais ayant subi une très grosse averse de durée une heure pendant laquelle il était à peu près impossible de regarder l’écran tactile de mon smartphone GPS, c’est avec 7 km de retard que je me suis aperçu que j’avais oublié de bifurquer. Pas grave … demi-tour sur 7 km, moins un petit raccourci, soit un total de 136 km. Peu d’influence de l’erreur sur le dénivelé, j’étais dans une plaine à peu près plate. 2076 mètres de dénivelé.

Profil du jour – 136 kilomètres, 2076 mètres de dénivelé positif cumulés, 5 sommets sans compter toutes les montées-descentes sur la corniche entre Tossa de Mar et San Feliu.

L’itinéraire officiel « master » prévoyait de prendre la route en corniche le long de la mer vers le nord jusqu’à Calonge avant de bifurquer dans l’intérieur des terres jusqu’à La Bisbal d’Emporda, via le col de la Ganga à 211 mètres,

mais prévoyait le retour par le même itinéraire. Dommage !

J’ai préféré boucler. A partir de La Bisbal d’Emporda, j’ai repris la route que j’avais faite samedi en arrivant de Figueres, repris le joli col de Santa Pellaia (360 mètres), redescendu sur Cassa de la Selva (et c’est là que j’ai oublié de bifurquer).

Après retour sur mon erreur, passage à Lagostera, puis le Collet de Can Noguerea à 245 mètres avant de redescendre sur Tossa de Mar où j’étais passé à l’aller. Il me restait 12 kilomètre pour rejoindre Lloret de Mar avec une bonne côte (170 mètres de dénivelé) pour finir.

La boucle du jour : Tossa de Mar, San Feliu Guixols, Platja d’Aro, La Bisbal d’Emporda, Cassa la Selva, Lagostera, Tossa de Mar.

En rouge, mon étape de Figueres à Lloret de Mar. En bleu, mon étape d’aujourd’hui avec la partie commune de La Bisbal d’Emporda à Cassa de la Selva.

Je fais une première pause casse-croûte à La Bisbal d’Emporda, devant le château, comme samedi lors de mon étape Figueres – Lloret de Mar.

Comme je suis bien dans mon planning horaire, je prends le temps de visiter le village de Cruilles et le village de Sant Sadurni de l’Heura, légèrement à l’écart de la route.

Deuxième pause casse-croûte à Lagostera après le gros orage avec éclairs et tonnerre dans la montée du col de Santa Pellaïa et la descente sur Cassa de la Selva où je pensais m’arrêter sous un abri-bus pour regarder ma route, mais les abri-bus sont rares et fort occupées sous l’orage …

Forme excellente à l’arrivée. On verra demain matin …

Ce matin, très bonne récupération, mais cela fait six jours que je roule sans interruption et il me semble plus raisonnable de faire une journée de repos, ce qui m’a laissé du temps pour compléter cet article avant d’aller faire un tour à pied.

Vue de la corniche entre Lloret et Tossa de Mar.

Vue de la corniche entre Lloret et Tossa de Mar.

Vue vers l’intérieur des terres, de la corniche entre Lloret et Tossa de Mar.

Rond-point à l’entrée de Tossa de Mar.

Tossa de Mar, et en particiler, l’enceinte de la vieille ville, vue de la corniche en poursuivant vers San Feliu.

La route de la corniche entre Tossa de Mar et San Feliu de Guixols.

Habitat touristique au niveau de la Cala Pola (une calanque) à Tossa de Mar.

Habitat touristique (camping ?) au niveau de la Cala Pola (une calanque) à Tossa de Mar.

La route de la corniche entre Tossa de Mar et San Feliu de Guixols.

La route de la corniche entre Tossa de Mar et San Feliu de Guixols.

La route de la corniche entre Tossa de Mar et San Feliu de Guixols.

Le port de San Feliu Guixols.

Le port de San Feliu Guixols.

Sur un rond-point à Platja d’Aro.

Vue côté mer au sommet du col de la Ganga (211 mètres) entre Platja d’Aro et La Bisbal d’Emporda.

Borne indiquant le sommet du col de la Ganga (211 mètres) entre Platja d’Aro et La Bisbal d’Emporda, Forallac est le nom de la commune dans laquelle on entre.

Petit château (ferme ?) avant d’arriver à La Bisbal d’Emporda.

Château de la Bisbal d’Emporda.

Château de la Bisbal d’Emporda.

Le château de la Bisbal d’Emporda (photo prise samedi, lors de mon voyage d’arrivée de Figueres à Lloret de Mar).

Village de Cruilles.

Village de Cruilles.

Village de Cruilles.

Village de Cruilles. En quittant de Cruilles, je pars par la mauvaise route, je m’en aperçois très vite et revient sur mes pas, découvrant une nouvelle vue du village.

Sant Sadurni de l’Heura, photo prise samedi lors de mon voyage d’arrivée de Figueres à Lloret de Mar, mais je n’étais pas entré dans le village.

San Sadurni de l’Heura.

San Sadurni de l’Heura.

San Sadurni de l’Heura.

Dans la montée du col de Santa Pellaïa. Pause photo, j’en profite pour préparer mon équipement de pluie, j’enfile les couvre-chaussures et met ma cape de pluie à portée de main. 5 minutes après, c’est une pluie torrentielle qui commence et va durer une heure.

Santa Pellaïa sous la pluie.

Ruisseau débordant sur la route.

Ruisseau débordant sur la route.

Après la pluie et l’erreur de parcours à Cassa de la Selva, arrivée à Lagostera.

Lagostera.

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Costa-Brava – jour 4 – Vélo « master » – 97 km

Comme prévu, ce matin petit-dejeuner à l’ouverture 7h30 et départ à vélo à 8h en solo.

Je serai rejoint par le groupe de tête des master à 10h30 environ dans les deux derniers lacets du col de Collsacreu (361 mètres), col régulier, sans difficulté particulière.

Ce groupe d’une vingtaine de coureurs me dépasse à toute allure, très concentré sur leur allure. La queue de ce petit peloton est plus souriante, mais pas un Chapelain. Dès le départ, un feu rouge a scindé le peloton et la tête n’a pas attendu le reste.

Au sommet du col, les coureurs ont une pause ravitaillement, je les redépasse et poursuit directement dans la descente, très tranquillement.

Peu après Vallgorgina, ils me redépassent, encore plus vite.

Je pensais voir arriver mes copains peu après, mais je ne les verrai pas. M’étant détourné de l’itinéraire pour aller visiter la forteresse de Hostalric, je pense que c’est à ce moment là qu’ils ont du me doubler.

Je m’adapte aux itinéraires, les routes sont rares et sur certaines portions très fréquentées, mais on est toujours en sécurité sur une bande cyclable, un peu moins quand il y a des travaux, mais les Espagnols respectent bien les cyclistes.

La fin de parcours est la même qu’hier, ce qui me permet de prendre des photos que je n’avais pas pu prendre hier, respectant la marche du groupe.

A l’apéro, je montre la photo des silos de la société Esporc, où nous sommes passés deux fois, hier et aujourd’hui, certains se rappellent de cet élément caractéristique du paysage, mais d’autres, pas du tout. En groupe, il faut être concentré sur le groupe, la roue de celui qui précède pour être prêt à réagir à tout incident, pas trop le temps de regarder le paysage.

Je suis dans ma chambre à 14h30.

A 7 kilomètres de Lloret, la traversée du fleuve Tordera, 55 kilomètres de long. Bien à sec, juste avant de se jeter dans la mer.

Le remblai de Malgrat de Mar.

La plage à Santa Susanna.

La plage à Santa Susanna.

Maraîchage à Pineda de Mar.

Bord de côte à Calella.

Arrivée sur Sant Pol de Mar.

Sant Pol de Mar.

Bord de côte à Sant Pol de Mar. La voie ferrée est sous la route, presque au ras des flots.

Arenys de Mar.

Dans la descente du col de Collsacreu (365 mètres).

Vallgorgina.

Le chemin pour monter à la forteresse de Hostalric.

La forteresse de Hostalric.

La forteresse de Hostalric.

Mon point casse-croûte à la forteresse de Hostalric.

Vue de mon point casse-croûte, en bas une école, les enfants jouent dans la cour et je les entends.

Le village de Hostalric vu de la forteresse.

Vue de la forteresse.

Vue de la forteresse.

L’entrée dans la vieille ville de Hostalric.

Descente dans la vieille ville de Hostalric.

L’hôtel de ville d’Hostalric.

Mannequins (à préciser, probablement les costumes locaux autrefois) dans l’enceinte de l’hôtel de ville de Hostalric.

La rivière Santa Coloma, affluent de la Tordera (elle n’est pas tout à fait à sec, mais doit s’infiltrer dans le sol avant d’arriver à la mer).

Ce doit être une usine de traitement de céréales pour augmenter la teneur en protéines de l’alimentation animale d’hiver … Société Esporc. Le mur des silos est recouvert de panneaux photovoltaïques.

Tunnel au sommet du petit col qui permet de descendre à Lloret de Mar. C’est la troisième fois que je prends ce col dans le même sens. Cela vaut bien une photo.

Je termine ma journée en me rendant à pied, après ma sieste, au cimetière moderniste des Indianos, à Lloret de Mar.

C’est l’un des principaux cimetières indianos de Catalogne et l’un des plus représentatifs de tout le territoire espagnol. À Lloret de Mar, l’arrivée des Indianos, ces émigrants partis faire fortune en Amérique, définit l’essence du cimetière. Conçu par Joaquim Artau i Fàbregas, il comporte une allée principale le long de laquelle se succèdent toute une série de panthéons et de caveaux rutilants marqués par un modernisme extrêmement évocateur. Bonaventura Conill i Montobbio, élève de Gaudí, est un des architectes qui y a réalisé le plus d’œuvres, comme les croix élevées, les dragons qui surveillent l’obscurité et la mort, ainsi que des anges qui pleurent la mort comme le commun des mortels.

Forts de leurs bonnes relations, les Indianos purent compter sur les services d’architectes comme Puig i Cadafalch, qui y laissa des créations telles que la statue de la femme, en marbre pâle, symbolisant la mort, reposant entourée de roses rouges, créées par Ismael Smith i Marí. Au fond de l’allée centrale se trouve la chapelle, entourée des caveaux de deuxième rang. Des rues entières de panthéons mitoyens, pratiquement tous identiques, arborés de décorations, ornés de fleurs fraîches ou non, arpentent le cimetière.

Plus on s’éloigne du centre du cimetière, plus les tombes sont modestes, reflétant la hiérarchisation de la vie sociale (voulue par les concepteurs du cimetière, construit entre 1896 et 1901).

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le cimetière moderniste de Lloret de Mar.

Le vol de la Liberté. Statue dans le parc de l’Aguila à Lloret de Mar, traversé en revenant du cimetière.

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